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La manière dont Hollywood a traité Alex Proyas est proprement honteuse. Il a quand même derrière lui Dark City, un petit chef d'oeuvre. Ce type est une mine d'idées. Il voulait adapter Bradbury ou Zelazny. Il avait des projets personnels sympa il y a environ dix ans. Et à chaque fois on lui a proposé des films de commandes et pas toujours sympathiques.Il ferait mieux de se tourner vers la TV pour ses projets futurs.

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This time of course they have bigger axes to grind - they can rip into my movie while trying to make their mainly pale asses look so politically correct by screaming "white-wash!!!” like the deranged idiots they all are. They fail to understand, or chose to pretend to not understand what this movie is, so as to serve some bizarre consensus of opinion which has nothing to do with the movie at all.
:lol: Enfin ça laisse dubitatif quant à la capacité de remise en question du bonhomme hein. Non pardon, c'est vrai, le fait que quasiment tous les acteurs du film soient blancs pour incarner des égyptiens n'est qu'un détail quand on le compare au message si profond et subtil véhiculé par ce chef-d'œuvre.

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C'est surtout que Proyas, que j'aime pourtant beaucoup, devrait arrêter de jouer les yes-man. Car visiblement, ça ne lui permet pas pour autant de tourner des projets plus personnels derrière, donc... :/

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Si il y avait un classement des réalisateurs les plus poissards d'Hollywood, Proyas serait à la première place ou peu s'en faut. Vu le nombre de projets avortés qu'il a à son actif c'est pas mal.Enoch's Portal projet de thriller surnaturel - abandonnéUne adaptation d'un nouvelle de Bradbury - abandonnéUne adaptation d'une nouvelle de Zelazny - abandonnéDracula year zero - abandonnéParadise lost - abandonnéUne adaptation d'une nouvelle de Heinlein - abandonnéEt il est probable que j'en ai oublié.
C'est surtout que Proyas, que j'aime pourtant beaucoup, devrait arrêter de jouer les yes-man.
Il n'a peut être pas envie de se prendre un procès dans la gueule s'il désavoue la production. Il n'aime peut être pas le projet final, mais il est obligé de fermer sa gueule et de défendre le film. Bref, Hollywood est le royaume des hypocrites, ce n'est pas nouveau.

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Il n'a peut être pas envie de se prendre un procès dans la gueule s'il désavoue la production. Il n'aime peut être pas le projet final, mais il est obligé de fermer sa gueule et de défendre le film. Bref, Hollywood est le royaume des hypocrites, ce n'est pas nouveau.
Je parle de sa carrière en général depuis 3-4 films, pas spécialement de celui-ci. :)

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Il n'a peut être pas envie de se prendre un procès dans la gueule s'il désavoue la production. Il n'aime peut être pas le projet final, mais il est obligé de fermer sa gueule et de défendre le film. Bref, Hollywood est le royaume des hypocrites, ce n'est pas nouveau.
Bien heureusement, il y a la Directors Guild of America et la possibilité de créditer le film en Alan Smithee si vraiment il juge (et le syndicat avec lui) qu'il n'a pas pu exercer le contrôle créatif qu'il souhaitait. Donc en théorie, il assume tout à fait ce film, qu'il soit principalement dicté par les producteurs ou pas.