C'est plutôt cool aventurine, l'autoédition c'est ton choix dès le départ ou tu a tenté d'autres sentiers ?Pour moi dans la vie je fais... un peu de ci un peu de ça... J'ai des diplômes de lettres, de psychologie, d'électricien, des formations de vendeur et de peintre... Bref je rigole quand je fais un CV ^^Je travail quand je veux/peu et je m'occupe de mon fils. J'espère finir un roman un jour même si je trouve difficilement le temps...

Good luck on your own way, Lady.https://www.youtube.com/watch?v=A7ChoM2Rh60

Je suis vendeuse en librairie ! Je partage mon temps entre le rayon jeunesse et le rayon arts et loisirs (pas vraiment le même type de client, une vraie gymnastique de l'esprit ). Être au quotidien entourée de livres n'aide pas vraiment mon porte-feuille

Merci ! :DAuto édition, un choix, parce que je desirais commencer par là. Pour voir, pour tester, et surtout pour avoir mon premier livre vite entre mes mains, car les maisons d'édition peuvent ne pas répondre avant un an (même pour un refus) et donc j'avais besoin de quelque chose de plus rapide pour commencer. Mais, sans souci, le prochain je l'envoie à des maisons d'édition (reste déjà à l'écrire !) ;)Bon courage à toi, Poisondub, pour ton livre ! :)Kaellis, c'est vrai que le portefeuille doit prendre des coups de chaud !

Pour ma part, je suis libraire, à Lyon.Librairie généraliste, car j'aime lire de toutes sortes de littératures, petite structure (nous sommes deux), librairie indépendantes...Et je pense reprendre un de ces jours parallement à mon boulot des cours de socio et littérature en licence.Kaellis, dans quelle librairie travaille tu ?Aventurine, ton livre as il marché ? Le problème de l'auto édition, c'est que cela constitue souvent un frein pour une future publication en édition classique. Le marché du livre est déja surchargé (80 000 nouveauté par an), le filtre qualitatif de l'éditeur est fondamental pour les libraires et les éditeurs eux mêmes, du coup, l'autoédition est souvent mal vue, et cela peut te fermer les portes de certaines maison d'éditions (gallimard par exemple)...

Alors c'est compliqué ! Pour répondre à ta question très clairement c'est "mon livre se vend peu". Mais je ne vois pas là un échec, c'est juste le début. Vu que je suis en auto edition, et que mon livre n'est pas dispo en librairie, ni dans les magasins en ligne... Les seules ventes que je peux espérer ce sont celles qui se font par le bouche à oreille et bientôt des bloggeurs-lecteurs vont lire mon livre et leur avis (s'il est bon) va permettre de donner une visibilité ! Pour le moment, n'ayant pas d'avis à partager, personne n'ose passer le pas d'acheter un livre inconnu d'une fille de 19 ans sur un site d'auto-edition mais pour le moment, des ventes que j'ai pu faire, les retours sont bon. Là, je pense que c'est surtout une affaire de patience plutôt que de regarder les statistiques comme un livre vendu dans une situation normale ! :)Après pour ce qui est des maisons d'éditions, je ne chercherai pas à leur envoyer ce livre-là. Si je dois en contacter une, ce sera pour le prochain et là je ne vois pas le souci... y en a-t-il un ?

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D'ailleurs, je vois une certaine Nnedi Okorafor au programme Gillossen va être content

De soucis, pas fondamentalement non, la seule chose est que certains éditeurs refusent de publier un auteur ayant déja publié ultérieurement en autoédition. C'est une pratique (discutable certes ) qui vise à faire un tri parmi les auteurs motivés pour une publication "pro".Justi, tu édite chez qui ?

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(Sinon on clique sur Site Web ?)

Et personnellement, je ne comprend pas cette pratique d'ostracisme vis-à-vis des auteurs déjà auto-publiés.Il y a de très bonnes choses qui s'auto-publient (et ce sera de plus en plus le cas). Je pense que, plus qu'un tri, c'est juste un moyen pour certains de ne pas devoir faire face aux piles de manuscrits qui s'entassent. Ce qui est justifiable mais discutable...

Je la comprends dans le sens où souvent, les auteurs qui s'auto-publient font ça par dessus la jambe (pas de correction, pas de vraie couv, pas de professionnalisme en somme) et un éditeur pourrait craindre pour les relations lors des corrections par exemple. Cela dit, des éditeurs qui refusent de parler à des auto-publiés, c'est rareMais surtout, un roman déjà auto-édité n'offre que peu d'intérêt à être réédité, sauf cas exceptionnels, puisqu'il a potentiellement déjà rencontré son public. Donc là oui, ils ne vont pas examiner le manuscrit, mais rien n'empêche de lire le prochain.

Bellovese, je travaille au Hall du Livre, à Nancy. La "librairie-promenade", comme disent les Nancéiens

Libraire du côté de Grenoble. Je m'occupe de plusieurs rayons, dont l'imaginaire.

Nariel a écrit :Je la comprends dans le sens où souvent, les auteurs qui s'auto-publient font ça par dessus la jambe (pas de correction, pas de vraie couv, pas de professionnalisme en somme) et un éditeur pourrait craindre pour les relations lors des corrections par exemple. Cela dit, des éditeurs qui refusent de parler à des auto-publiés, c'est rareMais surtout, un roman déjà auto-édité n'offre que peu d'intérêt à être réédité, sauf cas exceptionnels, puisqu'il a potentiellement déjà rencontré son public. Donc là oui, ils ne vont pas examiner le manuscrit, mais rien n'empêche de lire le prochain.

Deux petites remarques (parce que c'est pas le sujet, on devrait peut-être lui consacrer un topic)La première : les relations avec les auteurs, c'est comme avec les humains. Je veux dire qu'il y en a qui accepte la critique et les corrections, d'autre moins....La deuxième : je parlais du refus de parler à des auteurs déjà auto-édités. Pas de reprendre un manuscrit déjà auto-édité. Du refus de considérer quoi que ce soit de quelqu'un provenant de l'auto-édition. Je ne sais pas si c'est aussi rare que tu le crois. Une "enquête" serait intéressante...

Kaellis a écrit :Bellovese, je travaille au Hall du Livre, à Nancy. La "librairie-promenade", comme disent les Nancéiens

A Gallimard tu veux dire non ? Puisqu'ils ont été racheté. J'y vais souvent, tu travailles à quel rayon?

La librairie a effectivement été rachetée par Gallimard, mais nous avons gardé notre nom d'origine Je travaille en début de semaine au rayon Jeunesse, et en fin de semaine au rayon Arts & Loisirs.

Et ça paye bien les librairies ? C'est une question que je me pose parce que franchement je n'en ai aucune idée ! Ouais, je suis curieux je sais...

Merci de cesser le HS sur l'édition. :)L'intitulé du sujet est tout de même clair.