@ alana chantelune : Je pense que tu fais bien parce que j'ai moyennement aimé le premier tome, déjà plus le deuxième et j'en suis au premier quart du troisième qui me plait encore plus donc, ça peut valoir la peine.

Voila j'ai fini ! Merci à toi Zakath Nath, je comprend "l'incohérence", maintenant.Et je confirme mon post précédent, j'ai vraiment beaucoup aimé le troisième tome, ça vaut la peine d'aller jusqu'au bout...

Malgré vos commentaires, je ne suis pas allée au bout de la trilogie... J'avais pourtant acheté l'intégrale Bragelonne, mais le premier tome m'a suffi. Le style ne m'a pas plu (la traduction bancale n'a pas aidé...), j'ai trouvé qu'on avait affaire à une série de saynètes plutôt qu'à une histoire construite, les ellipses sont parfois franchement déroutantes, les personnages sont plats, sans dimension...Le rituel des Lames est intéressant mais sous-exploité, à mon sens. J'ai eu du mal à comprendre l'abnégation totale des Lames pour ce monarque un peu rustre, copie à peine déguisée d'Henry VIII. Et que dire de Bref, au placard, la trilogie. Une belle déception, j'en attendais plus que ça.

@ Saffrontu as lu la VO pour savoir que la traduction était bancale?

Non, mais pendant la lecture, je suis tombée en arrêt devant quelques phrases très mal tournées qui sentaient la traduction mot-à-mot...

un bilan assez mitigé pour cette trilogie. J'étais bien rentrée dans le premier tome (au début). J'ai eu un peu plus de mal avec la fin. Le second tome est un peu long à démarrer je trouve mais ça s'arrange nettement par la suite et le dernier tome a été selon moi le meilleur des trois. Bref, une trilogie qui n'est pas exceptionnelle mais qui finalement passe assez bien.

L'insigne du chancelier convient parfaitement pour une petite lecture estivale que l'on veut rapide. Le roman a beaucoup de défauts et plusieurs fois on peut se demander si l'auteur s'intéresse réellement à son monde et ce qu'il écrit....mais on tourne les pages malgré tout. Par contre inutile de chercher du Dumas là dedans, il manque à l'auteur une grosse qualité pour y prétendre: la subtilité.Ce sont des images d'Epinal qui s'agitent sous nos yeux et de événements attendus, tellement attendus que la dernière partie du roman en devient presque pénible. Ce côté terne est accentué selon moi par le manque de charisme et d'ambition concernant le personnage du grand méchant. Il n'a rien de mémorable, rien d'effrayant, rien d'intrigant....La naïveté un peu old school de tout ça m'a cependant aidé à lire. Avec le soleil, la fatigue de la chaleur et tout, ça passe...Je tenterai plus tard les autres tomesEt du coup ça m'a donné envie de terminer le cycle de Kushiel également, pour y trouver les rebondissements qui m'ont manqué ici