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Reçu Bitterblue samedi...

T'es chanceux toi

Alors, ce n'est vraiment pas dans le but de cracher dans la soupe, mais je suis assez dubitatif sur la manière de communiquer autour de Rouge dans la pub de cette semaine.En fait je trouve qu'il y a un décalage entre la tonalité dégagée par le livre et les connivences avec la phrase entre parenthèse ou encore le "Tapez 1 pour que Rouge sauve le Royaume" qui sonne quelque peu téléréalité.J'aimerai bien savoir si le but ici est de s'attirer un public plus jeune ou justement de se donner une image plus jeune pour l'éditeur. Franchement je suis perplexe...Je précise bien que je ne remets absolument pas en cause la publicité pour Rouge qui mérite bien un coup de projecteur par rapport au potentiel du bouquin, simplement le message qui est fait autour et qui ne me semble pas refléter l'esprit du livre.

Je n'avais pas vu ... c'est effarant Est-ce que je peux taper sur 1 pour enlever la pub de mon écran ?

Mon Dieu :blink:Le commentaire de Guigz m'a bien fait marrer mais je reste totalement ébahie : ok, quand on est ado on a des goûts parfois douteux mais on n'est pas non plus stupide. Ce genre d'appel du pied bien lourdingue est à mon sens très méprisant.Et combien de temps aurons nous le plaisir d'avoir cette merveille du marketing pour égayer le forum ?

Une semaine.

Et en plus si certains veulent faire des dons plus conséquents pour éviter que le site et l'asso ne "dépendent" de la publicité, ils sont toujours les bienvenus

Je ne critique pas le fait que la publicité soit là, je me suis peut-être mal exprimé, mais ça n'est pas du tout cela qui est remis en question. Qui plus est la série n'a pas l'air mauvaise et mérite à mon sens un coup de projecteur.Ce que je critique c'est le message de cette publicité; qui ne parait pas, amha bien entendu, en adéquation avec le livre sur lequel la pub communique. Qu'on me dise si je me trompe, mais Rouge ne semble avoir que peu de lien avec la téléréalité et je me demande aussi si un quelconque humour est suffisamment présent dans l’histoire pour déclencher des parenthèses s’adressant au lecteur.

Voilà le compte-rendu de la rencontre avec Kristin Cashore et Deborah Harkness Rencontre avec Kristin Cashore et Deborah Harkness au Dernier Bar avant la Fin du Monde

Merci pour ce retour.

Lu rapidement, et tant mieux pour moi je dirais.J'ai pas aimé.Rien de neuf dans cette histoire, c'est un premier roman en même temps, je m'y attendais plus ou moins.L'évolution des personnages dans ce roman je ne l'ai pas vu, ce qui m'a sauté aux yeux c'est l'aspect par trop caricatural des personnages qui sont tous monochromatiques en diable. Niveau gestion du rythme c'est raté aussi, selon moi. Concentrer l'intrigue pour moitié sur de la ballade à cheval à travers plusieurs royaumes, et pour 1/4 en bateau et à pied, voilà qui ne m'a pas vraiment tenu en haleine. En fait ce roman est une sorte d'ôde au voyage, pour ça c'est réussi :/Le climax et la fin font également hyper précipité, un peu comme tout le roman en somme. Bref, je crois surtout qu'en ayant lu cette histoire je me suis tout bonnement trompé de bouquin par rapport à ce que j'aurais pensé y trouver, à savoir quelque chose de peut-être moins jeunesse et plus YA. Bon, là encore c'est le pas connaisseur en fantasy jeunesse qui s'exprime...

Mais pourquoi, pourquoi, pourquoi En même temps cette fois comme tu le dis toi-même cela semble confirmer que tu es à la recherche dans les livres jeunesse d'un truc que tu ne trouveras pas parce que toi-même tu sais qu'il n'y est pas . Ce qui ne veut en aucun cas dire que tu as perdu ton âme d'enfant hein Juste qu'après Erikson faut que tu trouves autre chose pour tes lectures plus "légères" que le rayon jeunesse :unsure:Si tu lis mon message (#47 je crois) et ceux de quelques autres il me semble qu'il y avait communauté d'avis sur le fait que le classement est jeunesse "jeunesse" bien plus que YA Katsa est loin d'être monochromatique à mon sens et c'est bien l'évolution de sa psychologie que l'on suit. Maintenant c'est clair qu'elle n'a pas la complexité d'un Tyrion mais si on laisse une chance à Sansa, on peut aussi lui en laisser une à elle ! Ah et tant que j'y suis : ne tente pas Kushiel ça voyage aussi beaucoup, façon road book

Guigz a déjà pris sa place ! http://www.elbakin.net/fantasy/news/189 ... -au-cinema

Ben s'il en font une adaptation à la HBO hyper réaliste qui lorgne du côté d'Hunger Games ça peut lui plaire Edit : La vache, j'avais pas lu la news !!! Pile poil !!

Et bien pourquoi pas ! J'avoue que je serai curieuse de voir ce que ça donne.

Witch a écrit :Ben s'il en font une adaptation à la HBO hyper réaliste qui lorgne du côté d'Hunger Games ça peut lui plaire Edit : La vache, j'avais pas lu la news !!! Pile poil !!

Mouais, sauf que le matériau de base n'est pas franchement le plus excitant qui soit Comment donner à Graceling un aspect Trône de Fer franchement ? Non mais ya rien de dark dans le fait ... Et puis c'est pas le gros méchant de l'histoire Et pis il va parler de quoi ce film ? De ballade à cheval et d'entraînements au combat à mains nues ? Vous voyez autre chose vous ?

Motivée par Stéphane Marsan et les interventions de Witch et Aléthia dans vos derniers podcasts j'ai attaqué la lecture de Graceling. :)J'ai apprécié ma lecture mais de façon un peu mitigée, j'ai bien aimé le personnage principal et son côté tête brûlée indépendante mais je trouve son acolyte plus intéressant, probablement en raison de sa complexité plus marquée. J'aurai aimé avoir plus d'informations sur le concept des grâces qui part pas trop mal, avec un côté admiré et rejeté en société et une vraie diversité dans les pouvoirs. Mais pour la première fois en fantasy je me prend à regretter la présence d'un vieux sage grisonnant qui nous lancerait un "aaah il y a bien longtemps ..." pour nous expliquer au moins un minimum d'ou tout cela provient. Mon plus gros reproche concernant ce roman est surtout le fait que les bonnes idées (et il y en a) tombent parfois à plat, ce que je trouve dommage.L'héroïne est également un peu trop aidée par l'auteur, alors certes elle n'a pas un job réjouissant, ni une enfance sympathique maisJ'ai connu un regain d'intérêt dans le dernier tiers du romanBref, j'en sors avec un "sympathique mais sans plus", ça m'a occupée dans le train dirons nous mais on est loin d'un grand moment de fantasy YA.(et pour parer à toute éventualité: je lis régulièrement du young adult, dernièrement La Peau des Rêves par exemple que j'ai trouvé bien meilleur )

Je remonte le sujet étant donné que j'ai récemment lu Graceling puis Rouge.Honnêtement je m'attendais à de la fantasy young-adult sympathique et sans plus et pourtant j'ai quand même réussi à être déçue légèrement. Je vais commencer par le positif l'univers ou plutôt le concept des graceling dans le 1, des monstres dans le deux, le roi Leck et quelques personnages principaux m'ont plutôt bien plu, le style est agréable à lire sans être exceptionnel. Et ça s'arrête là. J'ai vraiment eu l'impression que l'histoire à chaque fois était un prétexte pour nous servir une histoire d'amour, qui dans les deux tomes n'est pas tellement intéressante en plus, comme on voit à quel point la fin de l’ennemi du tome 1 est arrivée trop facilement par exemple (et qu'on continue derrière encore l'histoire sur pas mal de chapitres. De plus, comme je l'ai dit on a un concept intéressant (graceling ou monstre) mais trop peu développé au final je trouve et c'est dommage car c'est vraiment le point fort du roman. Quand à l'histoire je la trouve quand même assez survolé et trop prévisible, même si ce n'est pas tellement une surprise. Enfin et pour le coup je vais aller à contre courant de la plupart des critiques j'ai trouvé Katsa, puis Rouge insupportables et assez peu crédibles avec ce qu'on sait sur elles (l'une est sensé être une tueuse depuis des années, l'autre la fille d'un monstre mais ça ne se voit pas du tout).Pour conclure je pense donc ne pas lire Bitterblue au final puisque même si j'ai lu les deux tomes assez rapidement je les ai trouvés bien fades.

Garde-Hiver est une terre de merveilles : une république démocratique dont le ciel est parcouru de dirigeables, où les citoyens communiquent avec des créatures marines intelligentes et adoptent des renards télépathes comme animaux de compagnie. Cependant, lorsque les émissaires dépêchés là-bas par Bitterblue, la jeune reine de Monsea, se volatilisent ainsi que leur bateau dans des circonstances suspectes, celle-ci décide de se rendre sur place afin d’enquêter. Mais très vite, elle-même est portée disparue en mer…

Un roman d’action fascinant doté d’une intrigue irrésistible. The Horn Book Magazine.

Kristin Cashore excelle dans l’élaboration de personnages complexes ainsi que dans l’exploration des effets que provoquent des parents toxiques sur leurs enfants. Kirkus Reviews.

Dans l’univers de Graceling : Graceling Bitterblue Fire Winterkeep

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Thibaud Elirof.

Intrigant. Ça sort directement en poche ?