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La Cendre des Pistes voulais-tu dire !

Ça me va aussi.

Et merci beaucoup pour ton retour Tarann !
Perso, j'aime beaucoup Calider.

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Et

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Est-ce que je lirais une autre roman dans cet univers? Je croise les doigts pour qu'il y en ait un.

Achetez-le en 5 exemplaires, à vot' bon cœur !

Gillossen a écrit :
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Je vois ce que tu veux dire concernant l'alternance des chapitres. Mais vient justement la fin de la 2e partie : on a envisagé de briser cette alternance Azel/autre narrateur, sauf que pour ma part, j'y tenais beaucoup. Dès lors, rajouter des chapitres avec Zuhaitza - ou quelqu'un d'autre - c'était risqué d'enchaîner deux chapitres Azel par exemple. Et j'avais peur qu'"on" me le reproche.

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tu sembles être le premier à ne pas avoir "adoré" l'épilogue. Dans ma tête, je n'imagine pas Cérès souriante en tout cas. Plutôt... en paix ? J'avais cette scène en tête depuis très longtemps.

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Pour le premier point,

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Une petite présentation des personnages par l'auteur himself, joliment illustrée qui plus est :

http://www.emmanuel-chastelliere.com/blog/2020/4/15/la-piste-des-cendres-prsentation-des-personnages

Ce qui me fait penser que je n'ai pas encore entamé ma lecture de la Piste, bien que le livre trône en bonne place sur ma PAL. La semaine prochaine avec les vacances, qui sait

Je n'ai pas lu le bouquin encore, mais les illustrations des personnages sont vraiment belles.

Merci !
Eh bien, ça fait plaisir quand même, vu que j'ai sûrement passé plus de temps à chercher des artworks qui collaient + ou - (à part évidemment pour la miniature de la couverture de Xavier Collette) qu'à rédiger les bios qui forcément me sont venues assez facilement.

Artemis est tel que je me le représentais un peu, avec un côté Dorian en bien plus vieux, de Dragon Age Inquisition

Pour Zuhaitza, l'illustration est vraiment sympa !

Ça donne bien le ton du roman, tout ça.

Belle sélection de beaux personnages.

Je ne parle pas que de la Piste (loin de là d'ailleurs), mais je me permets vu qu'il y a quand même de la matière... J'ai répondu à une longue interview ici.

Ser Garlan a écrit :Une petite présentation des personnages par l'auteur himself, joliment illustrée qui plus est :

http://www.emmanuel-chastelliere.com/blog/2020/4/15/la-piste-des-cendres-prsentation-des-personnages

Ce qui me fait penser que je n'ai pas encore entamé ma lecture de la Piste, bien que le livre trône en bonne place sur ma PAL. La semaine prochaine avec les vacances, qui sait

Très sympa, cette présentation de personnages. Elle va m'aider à mieux cerner les héros et anti-héros de cette histoire lorsque je la lirai !

J'avoue qu'Azel semble être totalement le type de personnage que j'apprécie retrouver dans une oeuvre ! Tourmenté à souhait !

Mais les autres personnages ne sont pas en reste ! Je suis surpris de retrouver Artémis.

En tout cas, c'est une chouette initiative!

Très belle initiative ces illustrations de personnages, les images sont bien choisies.
L'illustration de Zuhaitza est très réussie, elle représente très bien le personnage et son aspect exotique, Calider me paraît un peu jeune sur l'illustration, cela mis à part il est très proche du Calider que je me représentais dans mon esprit.
Les autres illustrations sont elles aussi très bien rendues !

Merci également pour cette interview

(je suis tout à fait d'accord sur les nuances possibles à l'héroïsme , d'ailleurs)

Nephtys a écrit :(je suis tout à fait d'accord sur les nuances possibles à l'héroïsme , d'ailleurs)

Disons qu'une histoire ne peut pas s'écrire - euh, "pour de vrai" non plus bien sûr - à l'aune des seuls "exploits" sur un champ de bataille ou ailleurs.

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Tout cela AMHA, bien entendu.

Fini en début de semaine, et ce fut une lecture plaisante et maîtrisée.
Les persos sont sans conteste le point fort de ce livre, j'ai beaucoup apprécié Cortellan, Azel et Zuhaitza. Ils sont tout en nuance, et le fait de s'attacher sur leur personnalité et leurs sentiments permet de rendre très crédibles leurs actions et leur façon de voir les événements.

La plume et le style ne sont pas en reste, il y a quelques événements et révélations que je n'ai pas vus venir, et c'est tant mieux, c'était je pense le but recherché.

Content d'avoir retrouvé l'univers du Nouveau Coronado, et la fin laisse planer la (voir les ) possibilité de retrouver un jour cet univers

?

Anarion a écrit :Content d'avoir retrouver l'univers du Nouveau Coronado, et la fin laisse planer la (voir les ) possibilité de retrouver un jour cet univers ?

Une question que l'on se pose aussi du côté de… La Voix du Nord.

L'intérêt des insomnies liées au manque de fatigue physique pendant le confinement, c'est qu'il y a bien un moment où on arrête de bosser pour prendre le temps de lire : La piste des cendres fut dévorée en deux nuits et appréciée. Mon seul regret vient du fait que j'ai lu cet ouvrage avant l'empire du léopard (je ne lis pas les 4emes de couverture ou autres résumés donc... je n'avais pas réalisé le lien). Cela n'a pas atténué mon plaisir de lecture mais je crains que cela n'affaiblisse un peu celui que j'aurai à lire cet autre ouvrage, vues les informations grappillées dans celui-ci.
J'ai aimé le cadre original, s'inspirant d'une partie du monde m'ayant toujours intéressé et étant assez peu traitée en fantasy. J'ai apprécié suivre les traces de certains personnages ne manquant parfois pas de panache. Je pourrais revenir une nouvelle fois sur le style qui ne m'a pas ébloui mais en fait je le dis quasiment à chaque fois que je parle d'un livre ces derniers temps... (il faudrait que j'arrête de tout comparer immédiatement à certaines grandes plumes) et je retiens surtout que la lecture en fut fluide et que je n'avais nulle envie de refermer le livre. Pour faire une comparaison avec je suis fille de rage, lu juste avant, je dirais que cette piste des cendres me marquera en ce sens que j'en garderai des images, des sensations, des personnages, d'une façon durable. Il fera parti des livres qui, si je les regarde, m'évoqueront quelque chose.
Le scénario est bien ficelé et évite certaines facilités qui auraient pu le rendre trop banal. Il m'a ainsi donné fortement envie de lire l'empire du léopard (je sais que je dois le faire depuis un moment mais je n'y peux rien la couverture me faisait toujours prendre un autre ouvrage de ma liste avant... je sais, les goûts, les couleurs). Quoiqu'il en soit j'ai passé un bon moment, et j'en remercie l'auteur

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Cela n'a pas atténué mon plaisir de lecture mais je crains que cela n'affaiblisse un peu celui que j'aurai à lire cet autre ouvrage, vues les informations grappillées dans celui-ci.

Sincèrement, je ne pense pas.

La Voix du Nord était cité juste au-dessus, leur journaliste n'a pas lu L'Empire non plus et ça ne l'a visiblement pas gêné. Je crois vraiment qu'il n'y a pas d'ordre précis.

Pour le style, ma foi, j'aurais bien sûr aimé disposer de trois mois de plus (tout le monde voudrait toujours trois mois de plus de toute façon), mais il y a tout de même quelques "envolées" dont je suis plutôt fier.

je dirais que cette piste des cendres me marquera en ce sens que j'en garderai des images, des sensations, des personnages, d'une façon durable. Il fera parti des livres qui, si je les regarde, m'évoqueront quelque chose.

C'est déjà un joli compliment.

Content d'avoir retrouvé l'univers du Nouveau Coronado, et la fin laisse planer la (voir les ) possibilité de retrouver un jour cet univers ?

Ma foi...
Il faut avouer que cette période jusqu'au 28 mai (et l'arrivée de nouveautés en librairie) va être très importante pour les livres sortis en début d'année. J'espère pour ma part de tout cœur que le roman retrouvera son élan de fin février/début mars.

Lecture terminée de mon côté !

C'est encore un beau roman que nous offre Gillo ici. Une nouvelle fois le synopsis me laissait songeur et une fois de plus, j'ai été ravi de ma lecture.
C'est un réel plaisir que de retourner dans ce Nouveau-Coronado. Il porte d'ailleurs bien son nom parce qu'on y découvre de nouvelles facettes, un pays en pleine mutation, en pleine réflexion.
Là où l'Empire du Léopard me faisait penser aux conquêtes espagnoles, j'ai vraiment eu l'impression de me retrouver en pleine guerre d'indépendance américaine avec ce livre...

J'ai beaucoup plus apprécié les chapitres sur Artemis et Calider que sur Azel étrangement. J'ai eu vraiment du mal avec ce protagoniste, trouvant ses réactions pour une majeure partie du roman assez exécrables.
Au contraire des deux premiers qui sont d'une telle justesse dans l'idéologie que je m'en suis faite.
J'aurai aimé en savoir plus sur la relation entre Azel et son demi-loup également, plutôt mis en avant sur la couverture et finalement un peu trop en retrait selon mes souhaits.

Je retiens encore et surtout la fluidité de la lecture. C'est propre, c'est clair, cela donne envie, je n'ai pas lâché le roman, je l'ai même dévoré.
L'intrigue découle d'elle-même. J'ai bien aimé la séparation des "deux" intrigues pour se rejoindre afin de nous donner un final encore une fois très intense.
Très satisfait de celui-ci d'ailleurs qui ne vire clairement pas dans le mélo-drame et n'en fait pas trop. Cette scène sur le bateau... Pfiou ! Je pourrais la lire encore et encore !

Puis cet épilogue. Bon, je m'y attendais. Enfin, vu les messages disséminés et les attentes des lecteurs, il était clair que cela devait se finir ainsi

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J'aurai aimé en savoir plus sur la relation entre Azel et son demi-loup également, plutôt mis en avant sur la couverture et finalement un peu trop en retrait selon mes souhaits

Pour la couv, je plaide coupable, mais il fallait une illustration plus "grand public" que L'Empire, dont la présence de sang avait visiblement rebuté certains... :/ Si j'avais fait deux tomes de 800 000 signes chacun, on aurait davantage vu Apisi, c'est certain.

Cette scène sur le bateau... Pfiou ! Je pourrais la lire encore et encore !

Ce fut une belle... galère, c'est le cas de le dire.

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Oh, et si vous avez aimé le roman...

https://www.babelio.com/prix-babelio?categorie=7

C'est super Vita Nostra, mais le roman a déjà eu le Prix Imaginales.

Et c'est un roman de 2019.

Gillossen a écrit :Ce fut une belle... galère, c'est le cas de le dire.
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Au début, je voulais lui faire affronter 50 adversaires, voire 100, mais...

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Critique ! [La Piste des cendres - E. Chastellière]