Posté : lun. 4 sept. 2017 01:18
Je me suis acheté le tome 1 (les deux parties) et j'avoue que l'épaisseur du truc me fait flippé, mais au vu des commentaires, je vais prendre mon courage à deux mains et me lancer !
Mélanie pourra peut-être confirmer ? (ou pas )I know that Poland, Spain, France, and a few others are actively working on translations shooting for as close to the English release date as possible.
Je crois qu'il y a un malentendu, je travaille actuellement sur Bands of Mourning et la traduction de Oathbringer prendra forcément un peu de temps. Je ne sais pas précisément quand il sortira, mais pas immédiatement après la sortie de la VO.verseb a écrit :Lu sur le blog de l'auteur à propos du tome 3 :Mélanie pourra peut-être confirmer ? (ou pas )I know that Poland, Spain, France, and a few others are actively working on translations shooting for as close to the English release date as possible.
Il faudrait vérifier, mais :Duda a écrit :Qui plus est, après avoir lu les passages mis en ligne (merci Mélanie), je sens poindre une ambiguïté majeure dans l'intrigue principale de l'oeuvre► Afficher le texte
Je ne peux pas répondre à la place de l'éditeur mais il s'agit d'un demi-format, pas d'un poche. La Voie des rois était lui aussi sorti initialement dans ce format avant d'être repris en poche. Et Le Livre des Radieux est un peu plus long que La Voie des rois.Je constate en tout cas au fil des avis que je suis décidément une des rares qui n'accroche pas au personnage de Kaladin, en tout cas tel qu'il est présenté au départ (j'aime beaucoup son évolution dans Le Livre des Radieux). Il faut dire que je n'ai jamais trop aimé les figures de héros classiques. Je trouvais Shallan et Dalinar plus complexes et leurs intrigues plus prenantes. Et Dalinar me touche énormément. Mais je suis en minorité sur ce point.Aventurine a écrit :Edit : Petite question qui fâche : pourquoi Le Livre des Radieux est un livre poche mais est aussi cher qu'un broché ? Il a moins de pages que La Voie des Rois et bon, je veux bien que ça puisse être plus cher vu la quantité de mots, les illustrations, etc. mais à 21,90€, ça m'étonne beaucoup !
Je crois que c'est aussi que son intrigue me touche beaucoup moins -- c'est de loin celle de Shallan qui touche aux thèmes qui m'intéressent le plus. Je le trouvais "classique" dans le sens où c'est le personnage courageux, volontaire, ingénieux, qui trouve réponse à tout et finit par sauver tout le monde. Ça en fait un personnage très efficace, mais faute de trouver meilleur terme, c'est davantage un "personnage" qu'une "personne", davantage un archétype que le reflet de ce qu'une personnalité peut avoir de complexe. J'ai toujours un peu de mal avec ces personnages parce que je trouve qu'ils résonnent assez peu chez moi en tant que lectrice et qu'il est difficile de s'y identifier ou d'avoir de l'empathie pour eux. Alors que Shallan et Dalinar me semblent plus complexes et donc plus vivants et m'ont beaucoup plus parlé.Et ce choix entre "se sauver lui-même et sauver les autres", etc, il me semble justement que c'est aussi quelque chose d'assez archétypal chez les figures de héros, en tout cas c'est très bien fait, très efficace, mais pas du tout surprenant à mes yeux.Cela dit, j'aime beaucoup ce que devient Kaladin dans Le Livre des Radieux où je l'ai trouvé moins monolithique, moins "héroïque" et plus intéressant.Aventurine a écrit :Sinon, par rapport à Kaladin, c'est très étrange car il ne m'a pas fait du tout penser à un héros "classique". Au contraire, je trouve que l'on retrouve davantage ce genre de personnalité dans les personnages secondaires (ou un peu moins mis en avant). En tout cas, je ne vois pas Kaladin comme quelqu'un qui va sauver tout le monde parce que c'est ce que les héros font, il a un fort questionnement intérieur sur ce choix-là entre se sauver lui-même, emmener les autres dans son sillage ou en finir avec la vie. Je trouve les réflexions intérieures de Kaladin très vraies et il pourrait parfois dévier sur un tout autre chemin s'il n'avait pas eu son éducation, son père et son vécu, parce que les situations qu'il a traversées l'ont assez amoché pour qu'il considère sérieusement l'abandon comme porte de sortie, plutôt que le combat quel qu'il soit !