Posté : mar. 26 mars 2013 17:57
Heu, je veux rien dire
mais, je crois bien que j’écoute des trucs très diversifiés !Tiens entre dimanche et hier j’ai écouté :












Parle pas trop vite, écoute d'abord, dis moi ce que t'en penses, et on verra si j'ai le droit de reposter ou pas.Yksin a écrit :Trop cool ! Dès que je rentre chez moi ce soir j'y jette une oreille ;)A partir de maintenant tu vas davantage participer au topic NeoSib
On se comprend !Sardequin a écrit :pour la petite histoire Bernard Lenoir a longtemps sévi sur France Inter, le soir tard. Et c’était à une époque le seul endroit ou écouter de la vraiment bonne musique !
Sardequin a écrit :Encore une autre découverte musicale. je la dois cette fois à un collègue sur le forum Shelter From The Storm. Cette découverte musicale, c’est Mickey Newbury. Je vous laisse aussi le soin de lire sa bio sur wikipedia. Mais encore une fois, comme un Sixto Rodriguez, comme un Townes Van Zandt, il fait parti de ces « perdants » magnifiques que l’histoire de la musique, et surtout que l’industrie de la muzak a laissé sur le bas coté. Et en même temps, il est de ces mêmes artistes dont l’intégrité humaine et artistique a rejeté cette industrie. Le résultat c’est une musique forte, sincère, poignante.Comme pour Townes Van Zandt, en écoutant Newbury, on ne peut s’empêcher de penser qu’il tient à coté de lui, pendant qu’il chante, une bouteille de whisky et un pistolet (ou une corde pour se pendre). Mais comme Townes Van Zandt, il ne fait en fait que chanter « sa tristesse ».J’ai découvert aujourd’hui Mickey Newbury au travers d’un album de reprises (un « cover » comme il est d’usage de dire). Accompagnement minimal, une guitare, un violoncelle. Et pour vous faire écouter, une reprise d’un standard éternel : « Summetime ». C’est beau, c’est poignant, c’est magnifique, c’est magique ! À ne pas écouter un soir d’intense cafard quand même. Me reste maintenant à trouver ces disques… La magie d’internet c’est de permettre de découvrir ces merveilles et de les partager, n’en déplaise à certains esprits chagrins