Elbakin.net

Si je puis me permettre Merwin...Je te hais !!!

:DTout ça pour dire que mon pote Steven est super cool, très disponible pour discuter et naturellement très intéressant Plein de bonnes petites choses à vous faire partager !Le colloque était aussi l'occasion de rencontrer quelques autres fans d'Erikson dont une personne qui a également lu l'intégrale du cycle (on devait pas être beaucoup dans la salle ) et qui, j'espère, se manifestera sur ce topic ;)PS : Pour Steven, mon prénom est "a cool name". Maman, papa, vous êtes Erikson approved ! Je vous aime tout plein.

Ca y est, il a craqué !:p:lol:

On l'excuse, il y a de quoi. :)J'avais adoré (enfin, c'est pas le bon terme...) rencontrer Michael Moorcock, même si je n'ai eu l'occasion de le croiser aussi longtemps.

Merwin Tonnel a écrit :PS : Pour Steven, mon prénom est "a cool name". Maman, papa, vous êtes Erikson approved ! Je vous aime tout plein.

Le vrai ou Merwin ?

Le vrai ; à ma connaissance, mes parents n'ont pas choisi mon pseudo

Merwin Tonnel a écrit :Le vrai ; à ma connaissance, mes parents n'ont pas choisi mon pseudo

D'après les psys, ça se discute...

Je débarque de manière un peu cavalière sur ce topic mais puisque Merwin Tonnel m'a mentionné, allons-y! J'ai également assisté au colloque, vendredi dernier, colloque auquel Steven Erikson nous a fait l'honneur de sa présence. Je ne vais pas le cacher, je suis aussi un adorateur de la secte malazéenne. Non, j'exagère à peine.

PS : Pour Steven, mon prénom est "a cool name". Maman, papa, vous êtes Erikson approved ! Je vous aime tout plein.

Jaloux, je suis!! Je devais avoir la langue qui a fourché ou que sais-je mais Steven Erikson sur le coup, n'a pas compris mon nom... Bon, il a quand même signé mon Crippled God.En tout cas, j'attends avec une certaine impatience l'interview que vous avez faite avec lui pendant la table ronde. Pour les bouts que tu m'as évoqués, Mervyn, ça m'a l'air tout à fait appétissant.

Espérons que la clé USB ait survécu !

Gillossen a écrit :Espérons que la clé USB ait survécu !

Elle a survécu, le fichier est sur ma dropbox, sur mon PC du boulot, sur mon PC perso, sur le PC de Guigz, sur l'enregistreur de Guigz et sur ma clé USB (ptet même sur le PC d'Aléthia). Même les podcasts sont pas aussi bien protégés contre la perte informatique.

Où l'on reparle de la sortie de la novella The Wurms of Blearmouth http://www.elbakin.net/edition/17183-Un ... en-Erikson

Mise à jour avec le synopsis complet.

Ah, ah, même Merwin en reste bouche bée ! :p

Bon et bien voilà, j'ai acheté Deadhouse Gates, 938 pages, mon été livresque est rempli :pJ'ai lu près d'une centaine de pages pour le moment et je dois avouer avoir été un peu perdu lors de certaines séquences, notamment lors des scènes avec Coltaine. En revanche retrouver les Bridgeburners possède un côté sacrément jouissif, car d'entrée de jeuEn fait, retrouver des personnages connus aide beaucoup dans ma tentative de mettre en place l'univers d'Erikson, qui me parait encore très nébuleux, j'ose espérer que j'y verrais un poil plus clair à la fin de Deadhouse Gates. En tous les cas j'avance plus rapidement et suis moins perdu dans ce 2e tome que dans le 1er, ce qui me parait un bon signe ! :)PS : Et j'ai activement contribué à renforcer la secte malazéenne en conseillant lors de mon achat du 2e tome, le 1er tomeVO à un sympathique amateur de fantasy rencontré dans la librairie WHSmith

Guigz a écrit :j'ose espérer que j'y verrais un poil plus clair à la fin de Deadhouse Gates.

Non :DIl te faudra sans doute lire le 3 et 4 au moins

Luigi Brosse a écrit :

Guigz a écrit :j'ose espérer que j'y verrais un poil plus clair à la fin de Deadhouse Gates.

Non :DIl te faudra sans doute lire le 3 et 4 au moins

je ne suis pas sûre que vous soyez des super commerciaux pour cette série.

Mais si, on pousse à la consommation :)On ne le répétera sans doute pas assez mais c'est clairement un cycle qui gagne à être relu. Il y a beaucoup de choses qui ne sont expliquées que bien après (au niveau de la tomaison, s'entend).

J'ai terminé Deadhouse Gates pour enchaîner de suite sur Memories of Ice.L'impression que j'ai du récit de Steven Erikson est que l'oeuvre est plus story driven que character driven (je m'excuse pour les anglicismes). Dans la plupart des romans, la narration se centre sur les personnages. Je trouve que c'est beaucoup moins le cas ici, surtout pour le premier tôme, et je me demande si ce n'est pas ce qui rend l'oeuvre un peu rude au premier abord pour certains. Car on ne s'attache pas facilement aux personnages comme on pourrait le faire dans d'autres romans. C'est moins vrai au fil des pages et des tômes, mais on n'est clairement pas dans un registre léger où on pourrait rire des frasques d'un jeune héros.Et puis l'auteur n'écrit pas pour ne rien dire. Je n'ai pas de souvenirs de temps morts dans le récit, ça rend l'ensemble très intéressant, jamais ennuyeux mais bien dense.J'espère juste que ça va se maintenir... parce que jusqu'à présent, je ne connais aucune série avec de nombreux gros volumes qui tiennent la distance (et oui, j'inclus A song of Ice and Fire dans ce lot). Et pas trop de deus ex machina, siouplait...Mais jusque là, c'est quasi un sans faute

@ Jed

L'impression que j'ai du récit de Steven Erikson est que l'oeuvre est plus story driven que character driven (je m'excuse pour les anglicismes). Dans la plupart des romans, la narration se centre sur les personnages. Je trouve que c'est beaucoup moins le cas ici, surtout pour le premier tôme, et je me demande si ce n'est pas ce qui rend l'oeuvre un peu rude au premier abord pour certains.

C'est un peu ce qui m'avait rebuté à lecture du 1er tome, au-delà de toutes les qualités du roman (et du cycle)

L'impression que j'ai du récit de Steven Erikson est que l'oeuvre est plus story driven que character driven (je m'excuse pour les anglicismes).

C'est effectivement beaucoup le cas de Gardens of the Moon, mais comme tu le dis, ça s'inverse au fur et à mesure des tomes, jusqu'à être parfois complètement "character driven", comme dans Toll the Hounds.Et pour ton spoiler, t'inquiètes, ce sera vite expliqué