30 Rock saison 5 : C'est toujours aussi agréable à suivre, parfois en dents de scie, mais il y a toujours beaucoup de bonnes idées. Leur épisode en direct live était un peu faiblard vu l'évènement, mais il y a des arcs très sympathiques, notamment en fin de saison. Tina Fey et Alec Baldwin sont toujours impeccables (et il n'y a pas qu'eux).Je crois que j'ai tout couvert 
:mrgreen:Je ne vais pas te sauter à la gorge, mais je ne suis qu'à moitié d'accord.Bon, déjà, j'ai beaucoup aimé le final de Carell, surtout les 5 dernières minutes et la récupération d'une idée du The Office UK (le dialogue sans micro avec Jenna Fischer, où l'on devine un "That's what she said"Merwin Tonnel a écrit :Mais là où NeoSib va carrément me sauter à la gorge comme un lapin tueur, c'est que je me demande réellement si le départ de Carell ne va pas permettre à la série de bien se renouveler.
).Et dans les deux épisodes post-Ferrell, j'ai adoré celui où Dwight devient le boss, où là effectivement y'a une super alchimie avec tout le cast. Par contre je suis très déçu par le season finale, que je trouve très mal écrit, avec des cameos pas super bien gérés.Donc bon, le premier me fait pas mal espérer pour la prochaine saison, tandis que le second m'a filé pas mal de craintes. On verra.Sinon Community Saison 2 
: Bon, la saison 2 est géniale.Elle enterre la première, largement.C'est tellement mortel que ça atteint presque les niveaux d'Arrested et Spaced, tout en étant une sorte de croisement entre ces deux séries.Et même les persos relous en première saison deviennent intéressants.Quelques tueries :- Les 21 ans de Troy qui est probablement le premier épisode où tous les personnages sortent de leur côté caricatural pour réellement évoluer, le tout en 20 minutes (dans ta gueule Hangover 2). Magnifique épisode désabusé.- Le Christmas Special en stop-motion.- Le jeu de rôle sur plateau, ou comment rendre absolument épique un épisode entièrement tourné autour d'une table.- Chevy Chase à l’hôpital pour un épisode en faux-docu à la The Office tourné par Abed.- Jeff et Abed au resto alors que que le premier a organisé une soirée spéciale Pulp Fiction pour le second. Un monument d'écriture (impossible d'en dire plus sans spoiler et ce serait bien dommage de dévoiler quoique ce soit).- Et bien évidemment le double-épisode final, double hommage d'abord aux westerns puis à Star Wars.Et j'en oublie...EDIT : La véritable série geek reste Spaced, et elle enterre en inventivité cette daube de BBT, où les références sont plus du pauvre racolage qu'autre chose.(Sinon en terme de série référentielle, celle dont je parle juste au-dessus est très bien aussi)Eolan a écrit :C'est une comédie sur la génération Geek/intello avec beaucoup de référence et c'est ce qui fait, amha, son originalité.
:lol:Neo tu trouves vraiment que les références sont racoleuses ? Ne sont-elles pas tout simplement compréhensibles par le commun des mortels qui n'a peut-être pas la culture geek/US/ou que sais-je, nécessaire au décryptage de certaines séries plus "pointues" ? EDIT : la réponse de Merwin juste en dessous apporte un éclairage à ma question.Mais je ne suis pas du tout d'accord avec l'idée du "surf" sur les références supposées universelles du geek : quand je vois que dans une assemblée d'Elbakiniens personne ne sait qui est Chakotay dans Star Trek 
je me dis qu'il n'y a pas qu'une question de génération et qu'on a tous un peu tendance à croire que ce qu'on aime est laaaargement diffusé et reconnu par les gens avec qui l'on partage un certain nombre de goûts communs.Le final de Carell est très sympa mais j'aurais aimé plus d'émotions je pense, comme on a pu en avoir avec Jim/Pam ou même quelques storyline de Michael Scott. Mais axer la fin surBon, déjà, j'ai beaucoup aimé le final de Carell, surtout les 5 dernières minutes et la récupération d'une idée du The Office UK (le dialogue sans micro avec Jenna Fischer, où l'on devine un "That's what she said").
Le final est effectivement un cran en dessous du précédent, excellent, mais il m'a beaucoup fait rire. Certains caméos de luxe sont un peu inutilesEt dans les deux épisodes post-Ferrell, j'ai adoré celui où Dwight devient le boss, où là effectivement y'a une super alchimie avec tout le cast.Par contre je suis très déçu par le season finale, que je trouve très mal écrit, avec des cameos pas super bien gérés.
Vendu ! Mauvais temps + week-end prolongé, je vais y jeter un œil attentif. Archer est à battre question découverte comique.Bon, la saison 2 est géniale.Elle enterre la première, largement.C'est tellement mortel que ça atteint presque les niveaux d'Arrested et Spaced, tout en étant une sorte de croisement entre ces deux séries.Et même les persos relous en première saison deviennent intéressants.
100 % d'accord. Spaced c'est un vrai hommage aux geeks, un cri du coeur d'au moins trois d'entre eux (Pegg, Stevenson et Wright). TBBT, c'est juste surfer sur la mode actuelle en pensant qu'en citant du Star Trek et des comics mainstream on arrive à cerner une certaine geekitude. Enfin, Chuck Lorre quoi...La véritable série geek reste Spaced, et elle enterre en inventivité cette daube de BBT, où les références sont plus du pauvre racolage qu'autre chose.
Personnellement, j'inverserai. :)Je serai donc beaucoup + critique avec HIMYM. J'ai trouvé cette saison 6 pas loin d'être catastrophique, en dehors de 2-3 épisodes en général détachés de l'intrigue principale. Et puis alors, le vieux cliffhanger moisi de fin de saison...Merwin Tonnel a écrit :How I Met Your Mother saison 6 : Je comprends toujours pas ceux qui râlent parce qu'on ne voit pas la mother, parce que l'intrigue n'avance pas, etc. Pour moi, ça reste avant tout une sitcom (les rires enregistrés sont toujours là pour nous le rappeler) et ni un drama ni une dramédie. Ce que je demande à la série, c'est de me faire rire chaque semaine. C'était pas gagné la saison dernière, c'est un peu mieux cette saison. On ne retrouve certes pas la fraîcheur des premières saisons, mais c'est quand même toujours efficace. Des arcs sympathiques, notamment autour de Barney que les scénaristes arrivent un peu à renouveler, mieux qu'en début de saison 5 en tout cas.The Big Bang Theory saison 4 : Sérieusement, c'est encore possible de faire des sitcoms avec un mec qui porte des montures de lunettes sans verre ? Ils sont si manchots que ça les réals pour ne pas être capables de gérer les reflets alors qu'il n'y a qu'UNE caméra ?Lourd, redondant, qui se caricature elle-même, la série tombe vraiment très très bas (c'est pas comme si elle avait "sauté le requin", elle partait pas de haut non plus). Mention spéciale pour l'écriture du personnage d'Amy qui cumule tous les défauts de la série. Même Wolowitz n'est plus capable de sauver les meubles.
Si on découvre la mère dans les 5 dernières minutes du dernier épisode de la toute dernière saison, je n'en serais plus surpris, mais déçu malgré tout. A l'inverse, on dirait qu'il est de bon ton depuis quelques temps - mais là je ne parle pas de toi ou Neosib qui avez dû détester depuis le début 
de casser en deux TBBT. Alors, certes, cette quatrième saison est totalement bancale, la sœur de Raj est insupportable, mais je garde un très bon souvenir des trois premières. :)Maintenant, évidemment que Spaced, c'est plus "sincère".Même s'il y a du vrai, j'ai toujours été surpris que cette critique ne soit que très rarement reprise pour TBBT avec la surutilisation de Sheldon. C'est un peu moins vrai dans la dernière saison (comme ça l'est pour Barney d'ailleurs), vu que les histoires d'amour moisies viennent voler du temps d'antenne, mais la saison 2 et 3 ont bien réussi à tuer le personnage, déjà pas bien folichon au départ.Et juste pour revenir à l'EDIT de Witch que je n'avais pas vu :Pour moi, la série repose beaucoup (trop ?) sur Barney.
Universelles, peut-être pas, mais américaines, très certainement. Ce que je veux dire c'est que les références Star Trek ont forcément un peu plus de mal à être connues en France vu que les différentes séries ont eu du mal à être diffusées et découvertes en France. Ce qui n'est pas le cas aux États-Unis. Je m'empêtre, je sais pas si je suis clair.En bref, les scénaristes sont américains, ils ciblent un public américain et il prennent des références "geek mainstreams" pour les Américains. Tu parlais de Star Trek, mais ça vaut aussi pour Green Lantern ou autre, qui sont peu connus en France (avant les films en tout cas), mais sont très bien assimilés aux États-Unis. Le fait que ce ne soit pas mainstream en France n'entre pas en ligne de compte.Et on n'en a pas parlé mais concernant les références scientifiques (notamment mathématiques et physiques) je trouve Futurama bien plus efficace dans le domaine. :)PS : si nécessaire, je critique TBBT, mais en aucun cas je ne me permettrais de critiquer les gens qui la regarde et l'apprécie, hein.Mais je ne suis pas du tout d'accord avec l'idée du "surf" sur les références supposées universelles du geek : quand je vois que dans une assemblée d'Elbakiniens personne ne sait qui est Chakotay dans Star Trek whistling je me dis qu'il n'y a pas qu'une question de génération et qu'on a tous un peu tendance à croire que ce qu'on aime est laaaargement diffusé et reconnu par les gens avec qui l'on partage un certain nombre de goûts communs.
Enfin, j'imagine bien que ça doit donner et perso, de toute façon, ça a été tellement mal amené toute la saison que j'espère que ça se fera. :mrgreen:Pour les références comics, Green Lantern, c'est tout de même bien moins populaire qu'un Spider-Man ou les X-Men, non ? Mais plus connu qu'en France, certes. Racoleuses n'est peut-être pas le mot. Ce que j'essaie de dire, c'est qu'elles sont à l'image de 90% des vannes dans les séries estampillées Chuck Lorre, à savoir faciles, dénuées de liant avec la scène dans laquelle elles sont dites, semblant avoir été piochées dans un sac à vannes/références et couchées en plein milieu de phrase.Ce gars, c'est définitivement la junk-food de la série TV (dans le genre série racoleuse voire putassière, Mon Oncle Charlie se pose là, aussiWitch a écrit :Neo tu trouves vraiment que les références sont racoleuses ? Ne sont-elles pas tout simplement compréhensibles par le commun des mortels qui n'a peut-être pas la culture geek/US/ou que sais-je, nécessaire au décryptage de certaines séries plus "pointues" ?
).Et donc au cas où vous l'auriez pas compris, comme le dit Gillo j'avais effectivement détesté dès le début. @MerwinOuais, le cameo de Spader est bien sympa, car c'est le seul qui ne semble pas avoir été intégré au dernier moment dans le scénar. Sa scène avec Dwight est probablement la meilleure de l'épisode.Pour le final de Carell, les émotions je les ai eu dans les 5/10 dernières minutes, probablement parce qu'ils n'en ont pas fait des caisses et que ça m'a du coup rappelé la capacité de la série à émouvoir juste au travers des petites touches, de petits détails.Concernant Community, je mentirais si je disais qu'il n'y a pas de moments un peu bofs dans la saison 1, mais par contre j'ai vraiment été sur le cul avec la 2. Ils arrivent à donner à chaque épisode une ambiance particulière. Ils se permettent même parfois de ne volontairement plus être drôles de manière à faire évoluer leurs personnages (et c'était un sacré défi, parce qu'ils sont tous présentés comme de grosses caricatures aux touts débuts de la série).Je suis vraiment curieux de voir comment ils peuvent inscrire la série dans la durée, j'imagine qu'ils pourrait pas autant renouveler leur propre concept éternellement. En attendant, leur deuxième année est définitivement un très très gros morceau.EDIT : Bon, déjà deux nouveaux messages pendant que j'écris le mien, va falloir que je m'améliore au clavier. Je me permets juste un petit +1 par rapport à ça : Parce que je me rends compte que chui un peu virulent dans mes propos et que ça pourrait être mal interprété.PS : si nécessaire, je critique TBBT, mais en aucun cas je ne me permettrais de critiquer les gens qui la regarde et l'apprécie, hein.
(Alors que dans la vraie vie réelle, j'ai pas mal de potes qui kiffent TBBT, et je vous rassure on en arrive pas au point de se foutre sur la gueule )Ca c'est parce que vous êtes des geeks : vous préférez régler ça à coups de désNeoSib a écrit :(Alors que dans la vraie vie réelle, j'ai pas mal de potes qui kiffent TBBT, et je vous rassure on en arrive pas au point de se foutre sur la gueule
:jesors:La série originelle a eut beaucoup du mal à trouver son rythme avec beaucoup de réalisateurs et de scénaristes aux styles différents : cela vaut le coup de laisser une chance à la série en s’accrochant car elle s’est bonifié au fil du temps.@ Dark Schneider #932Spartacus, blood and sand : vu aussi les 2 premiers épisodes, là par contre je ne sais pas quoi dire. C'est vraiment très très spécial, les couleurs, les ralentis, les gerbes de sang... Je suis pas fan je dois dire, ça me met presque mal à l'aise et je n’arrive pas trop à savoir où la série veut se positionner du coup. Pourtant l'histoire est intéressante, les acteurs aussi, mais pour l'instant, je ne suis pas convaincue.
Une bataille royale de 10 minutes non stop sublimée par la musique de Joseph Loduca au mieux de sa forme J’aimerais bien revoir cela en blu-ray !Vu hier le dernier épisode de Spartacus Gods of the arena. Bon c'était bien sympa, avec une assez chouette bataille finale.
Moi, j’ai presque préféré Gods of the Arena à Blood and Sand : on ne perd pas au change finalement.@ Dwalan #933, #935 & #937Dans l'ensemble Gods of the arena est moins intense que Blood and Sand, mais bon le format n'est pas tout à fait le même.
Du suspens, il y a énormément finalement au-delà du destin des personnages principaux :Je suis en train de regarder, et j'apprécie également beaucoup : sang, corruption, sexe (un peu moins peut-être), ils ont bien repris ce qui a fonctionné dans la saison C'est très sympa de voir un peu comment les personnages qu'on a découvert dans Blood and Sand sont devenus ce qu'ils sont. Bon, par contre, comme on sait déjà qui va mourir et qui va rester, ça gâche un peu le suspens.
Si vous êtes allergique aux hectolitres d’hémoglobines, et à l’overdose de nichons et de fesses (je reste poli car ce qu’on voit est nettement plus hard que ce qu’on peut voir dans du porno soft), passez effectivement votre chemin !C'est dingue : on sait très bien ce qu'il va se passer, et c'est quand même intéressant, parce que c'est bien tourné. Bon, par contre, faut aimer le genre : ceux qui n'ont pas aimé 300 passent leur chemin tout de suite !
Finalement au-delà de la théâtralité de l’unité de lieu, la série renoue avec les fondamentaux de la tragédie antique : des destins, des passions, de l’amour, de la haine, du sexe, de la violence… Après tout la recette fonctionne à merveille depuis plus de 3000 ans !La série est vraiment particulière, elle ne renie absolument pas ce qu'elle annonce : du sang, des larmes, du sable, du sexe, de la violence (dans tous les sens du terme). Tout y est, à profusion, et quand on aime, on apprécie beaucoup cette série je pense. Bon, si on n’aime pas ces thèmes, ben on n’aimera pas du tout !
A moi aussi, elle me plait bien cette Rome là : à Capoue on nage en eux troubles avec de véritables requins (magistrats pervers, notables mafieux, marchands véreux…)Cette Rome sombre, sanglante, pourrie, me plait bien !
Ha ben j'ai rarement lu quelqu'un qui exprime exactement la même chose que moi ! :DTout pareil... Et du coup, je comprends un peu mieux l'irrégularité du fil conducteur dans cette saison. Je n'ai pas compris la "ramance" et l'inutile complexité de la mise en place de certains personnages qu'on balaie d'un coup en 1 épisode... Les derniers épisodes m'ont un peu remonté le moral car je n'ai pas été loin de tout lâcher en milieu de saison avec l'envie de chanter du Cabrel ("C'était mieux avant...")TBBT, j'ai trouvé la saison 4 dans le même esprit que les précédentes, c'est à dire que je me suis bien amusée et j'apprécie beaucoup l'introduction de nouveaux personnages... féminins !Nesumi a écrit :Sinon fin de saison pour SupernaturalBilan très mitigé pour cette 6e saison très très inégale. Quelques bons épisodes, mais pas assez cependant pour qu'on ne se dise pas qu'ils auraient du arrêter à la fin de la saison 5. La fin de la saison est un poil meilleur, notamment avec le retour de Eric Kripke, le créateur et showrunner de la série qui avait laissé les rênes à quelqu'un d'autre, pour les derniers épisodes. Ce qui se solde par une fin un peu étrange où, en quelques épisodes, ils font du ménage par le vide sur certaines pistes lancées en début de saison.
C'est peut-être ça qui est étrange en fait, qu'au lieu d'élargir la palette des caricatures de geek à l'infini, on se retrouve avec d'autres genres d'archétypes. En tout cas, ça reste du Big Bang Theory et c'est bien ! 
Enfin quelqu'un qui suit la même série que moi :lol:J'ai failli tout lâcher aussi, mais je me suis dit que ce serait dommage, d'autant plus que j'adore Dean et Castiel.Eolle a écrit :Ha ben j'ai rarement lu quelqu'un qui exprime exactement la même chose que moi ! :DTout pareil... Et du coup, je comprends un peu mieux l'irrégularité du fil conducteur dans cette saison. Je n'ai pas compris la "ramance" et l'inutile complexité de la mise en place de certains personnages qu'on balaie d'un coup en 1 épisode... Les derniers épisodes m'ont un peu remonté le moral car je n'ai pas été loin de tout lâcher en milieu de saison avec l'envie de chanter du Cabrel ("C'était mieux avant...")
).Et j'arrête pas de chanter Donde esta la biblioteca depuis 5 jours...Ouais j'avoue c'était plus pour donner le ton qu'autre chose (le délire d'AD + l'intégration intelligente des références à la narration à la Spaced). Rien n'égale ces deux séries de toute façon.Merwin Tonnel a écrit :Je n'en suis pas encore à citer AD ou Spaced mais j'accroche beaucoup.
Mais y'a quand même un run dans la saison 2 qui s'en approche pas mal. J'en dis pas plus.toutafait, j'attends avec impatience la suite !Albéric a écrit :Vivement une suite : tremble Rome, la Révolution est en marche !
Très symbolique tout ça.ou encore celui au Far West.J'ai versé ma petite larmes sur l'avant dernier épisode, quand Dean se sacrifie (encore) pour protéger Lisa et Ben.