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Du très très vieux, en direct des pulps des années 30, paru dans les années 70 chez nous chez J'ai Lu, voici Jirel de Joiry par Catherine Lucille (CL) Moore. L'auteur devrait au moins vous évoquer un petit quelque chose. Jirel de Joiry

Merci pour cette critique. Je ne suis pas du tout attirée, peut-être quand même par la dernière nouvelle, mais je pense que je ne me laisserai pas tenter.

D'autant que le personnage a fait partie du Tournoi cette année !

Gillossen a écrit :D'autant que le personnage a fait partie du Tournoi cette année !

Je me disais bien que j'avais déjà vu ce nom quelque part ;)Merci pour la critique, mais ça ne me tente pas outre mesure ;)Tanis

Une petite question pour Luigi, tu l'as trouvé d'occasion le roman, ou tu l'as acheté en VO ?

Non acheté en occasion, c'est pas une perle rare, le livre se trouve encore bien chez les bouquinistes, voire même sur chapitre.com. Mais là le prix est quand même sacrement plus élevé... J'ai du payé le mien 2,45 € en bon état.

Merci pour les éclaircissements !

j'ai acheté et lu ce livre il y a fort longtemps, avec la couverture de Caza (magnifique) ! J'aime vraiment beaucoup ! Un très beau recueil de nouvelles en tout cas !

Et voici la bio de madame (et un peu monsieur aussi d'ailleurs) : Catherine Lucille Moore

Merci pour la bio (et pour toutes les autres aussi d'ailleurs, même si je ne le dis pas à chaque fois )Tains

Retour cet automne, chez Folio SF !:arrow: http://www.elbakin.net/edition/12286-La ... e-Folio-SF

Bonne nouvelle, j'avais du mal à le trouver. Mon attention avait été attirée dessus par le livre Les Nombreuses Vies de Conan paru chez les Moutons électriques, dans lequel Jiriel était mentionnée parmi les "successeurs" de Conan.

Réédition en fin de mois !

Il faut vraiment, vraiment enlever cette pastille, c'est plus possible maintenant.

Il se dégage une certaine poésie des textes de Jirel (mais la nouvelle avec Northwest Smith est à chier!). A noter que Jirel présente beaucoup de points communs avec la Dark Agnes de Howard. Mais pas d'inspiration. Les deux auteurs ont écrits leurs textes sans avoir connaissance de la création de l'autre. Howard aimait beaucoup "C. L. Moore" (le nom sous lequel les textes étaient publiés dans Weird Tales), et n'a appris que plus tard qu'il s'agissait d'une - jolie - femme qui les écrivait. Ils ont brièvement correspondu, mais les lettres sont toutes perdues, à l'exception d'une missive de Janvier 35 de Moore à Howard, dans laquelle elle déclare adorer le personnage de Dark Agnes.Patrice, toujours infoutu d'écrire un post sans mentionner Howard...

patrice louinet a écrit :Patrice, toujours infoutu d'écrire un post sans mentionner Howard...

Je crois que l'on peut te pardonner sur ce coup là. Par contre, c'est bien dommage que cette correspondance ce soit perdue. Ça aurait sans aucun doute été intéressant à lire.

Gillossen a écrit :Merci pour ces renseignements, Patrice.

Du coup, certains comptent découvrir ce classique ?

C'est pour ce WE, reçu hier (d'où la citation de l'édito d'ailleurs).

C'était finalement pour ce week end et je partage l'avis de Luigi.;)Les nouvelles ont sans doute davantage vieilli que les meilleurs textes d'Howard et pour mieux les apprécier il vaut mieux sans doute ne pas les lire à la suite, comme le mentionnait l'auteur de la préface.J'ai personnellement beaucoup aimé les deux premières nouvelles (Black God's Kiss / Black God's Shadow), qui se suivent chronologiquement, pour l'ambiance étrange, entre onirisme et morbidité, qui s'en dégage.L'ambiance est assurément le point fort de l'auteur. Ca, et cette figure d'héroïne farouche et indomptable qui laisse part à la rêverie, au frisson de l'aventure.:pSans être exceptionnel, au prix d'un poche, ce serait dommage de s'en priver !;):)