

Donc son rôle a bien changé, non ? :pPlus sérieusement, on peut quand même être pessimiste quand on lit des choses pareilles :Mon rôle chez Pygmalion n’a pas changé. Cependant, les séries qui sortent actuellement ou qui vont bientôt sortir sont celles que j’ai choisies, tandis qu’avant je me contentais d’assurer les suivi éditorial des séries achetées par mon prédécesseur, Benoît Cousin.
Les textes étaient bons, mais aujourd’hui cela ne suffit plus.
Euh, pour le coup, je suppose que tu voulais dire Sébastien Guillot.Publivore a écrit :JJe préfère effectivement la volonté de S. Marsan chez Calmann-Levy ou F. Colin chez Points, qui cherchent à sortir pas mal de texte un peu plus pointu... même si au final, je viens de citer une collection en cours de révision et une suspendue !
Oui, mais ça, on ne peut pas le savoir à l'avance.Publivore a écrit :Quant à L'éloquence de l'épée, que ça ne se vende pas est pour moi presque une évidence puisqu'il a été découpé et que ce roman met tout de même un bon moment à partir, les vrais temps forts étant par ailleurs concentré dans la deuxième partie du volume 1 VO !
Désolé, tu as raisonGillossen a écrit :Euh, pour le coup, je suppose que tu voulais dire Sébastien Guillot.
Là, je ne suis pas d'accord. Les premiers lecteurs et les critiques, peut-être, mais forcément, cela amène un bouche à oreille pas forcément flatteur, ce qui empêche les ventes de décoller, AMHA.Reste que découper un roman de moins de 400 pages en VO en 2, même si ça prend 20% en volume après traduction... pas glob, quoi (Je sais, c'est l'éternel débatOui, mais ça, on ne peut pas le savoir à l'avance.Publivore a écrit :Quant à L'éloquence de l'épée, que ça ne se vende pas est pour moi presque une évidence puisqu'il a été découpé et que ce roman met tout de même un bon moment à partir, les vrais temps forts étant par ailleurs concentré dans la deuxième partie du volume 1 VO !J'aurais plutôt vu le tome 2 plonger, justement après ce premier tome potentiellement décevant.
Si ça sort chez J'ai lu, ça finit tout de même dans la poche de Flammarion de toute façon.Publivore a écrit :Concernant la politique de découpe, en ce qui me concerne en tout cas, cela provoque l'effet inverse de celui escompté : j'achète moins de livres en grand format, puisque j'attends la parution poche ou que je me tourne vers la VO (oui, là, tout le monde ne peut pas le faire, d'accord). Donc, c'est moins de vente pour Pygmalion. D'une façon générale, lorsque je patiente, je me retrouve à acheter essentiellement des intégrales ou des "soudages" (par opposition au découpage) en grand format...
Oui mais la rentabilité n'est pas aussi immédiate. Et je partage le point de vue de Publivore pour Rhapsody. D'avoir coupé le premier tome en deux était vraiment une erreur stratégique. Parce que l'histoire décolle vraiment à la fin du premier tome (VO), le début est assez longuet (j'aime beaucoup, mais je conçois que pour certains cela soit rédhibitoire). Et donc "s'emmerder" durant un premier tome grand format, ça n'engage pas vraiment à acheter la suite.Sinon, ravi de voir qu'ils vont essayer d'améliorer un peu cette histoire de découpage.Je réagis aussi à son affirmation que de plus en plus d'éditeurs cèdent à la découpe. C'est malheureusement vrai, je trouve. Mais bon, ce n'est pas une raison pour encourager ce genre de choses non plusJohn Carter a écrit :Si ça sort chez J'ai lu, ça finit tout de même dans la poche de Flammarion de toute façon.
Certains arrivent bien pourtant à ne pas couper en deux leurs tomes. Alors, certes, il faut peut-être aller faire imprimer ces livres en Espagne ou en Italie pour ça... Mais, encore, en deux, ça passe, mais en trois ou quatre, c'est vraiment injustifiable.Fabien Lyraud a écrit :Ouais mais en France les coûts d'imprimerie ne sont vraiment pas donné. Ce sont parmi les plus cher au monde. En plus les imprimeries en France sont majoritairement en Offset, un procédé ancien et couteus par rapport à l'impression numérique qui permettrait aux éditeurs de faire de l'impression à la demande et de s'ajuster aux commande des libraires (et de réduire leur stock accessoirement).
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