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On ne va pas se raconter d'histoires !Merwin et Guigz ont rencontré Glen Cook à Nantes, ils sont désormais différents (han qui a dit "ils l'étaient déjà") pas certaine qu'ils aient encore envie de parler avec nous :sifflote:On vous tient au courant

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Puisqu'elle me cite, je voulais revenir sur une chose que dit Witch concernant le visuel qu'on se crée en lisant. Witch dit qu'elle ne se crée pas beaucoup de visuel et qu'elle s'attache plus aux personnages et à l'histoire. Ce n'est pas tout à fait ce que j'ai l'habitude de dire de mon côté, vu que je me crée beaucoup de visuels en lisant (et quand je n'arrive pas à m'en créer, c'est souvent que je trouve le livre mauvais, ou tout du moins pas envoutant). Je dis plutôt que je m'attache très peu aux descriptions pour me créer un visuel (et notamment un contexte historique) de l'univers et que je me fie plus à l'ambiance que dégage l'écriture. Donc j'ai souvent des personnages qui n'ont pas la bonne tenue vestimentaire, pas la bonne couleur de cheveux, pas la bonne couleur de peau,...

Encore un podcast très intéressant et enrichissant.Ces débats/réflexions sur la conception, les ingrédients et la perception des univers imaginaire en fantasy donne une perspective constructive pour décrypter nos goûts et nous projeter dans de futurs découvertes.Ceci est même très utile, et ce podcast en particulier, quand on cherche à concevoir pour soi (dans un premier temps) un univers imaginaire qui soit le nôtre (intime ?), plus ou moins le reflet de nos aspirations (l'imaginaire perçu ou conçu est "l'outil" idéal pour projeter son être intérieur et le confronter à cet imaginaire pour mieux se connaître et se comprendre soi-même, et vivre sa réalité par ailleurs plus en accord avec notre personnalité... alternative à la psychologie ?). Puis par la suite, pourquoi pas, avoir la possibilité de partager cet univers construit.Merci de votre investissement et motivation, au travers de ce podcast, pour la communauté fantasy.

Très bien, l'épisode 11.J'aime beaucoup la configuration à trois, je trouve ça moins bordélique.Les interventions des auteurs illustraient bien votre propos, ça donnait un petit aperçu de l'ambiance des Utopiales.Je trouve étonnant que deux intervenants ex-rôlistes taclent un peu le jeu de rôles et sa tendance à vouloir peinturlurer trop de détails sur l'univers. Je ne pense pas que le JdR soit synonyme de détails et de fioritures. Au contraire, c'est un exercice plus basé sur les clichés que sur l'enjolivure.Après, certains maîtres de jeu ont une approche encyclopédique de leur univers, je ne le nie pas, mais ils sont quand même minoritaires. Les rôlistes se contrefoutent de savoir comment est fabriquée la bière que boit leur personnage ou même comment est forgée l'épée qui leur sert à étriper le premier venu.

Excellent podcast n°11 !Encore une fois, c'est un réel plaisir de vous écouter. L'ambiance des Utopiales est très bien retranscrite.J'aime beaucoup ce format : News/Dossier/Coup de cœur. Parfait (et merci )La forme : podcasters au top ! le son est très bon (sauf 2 interviews avec une intensité au dessus)Les rires de Witch : je rigolais tout seul dans la rue en vous écoutant, et ça a fait sourire quelques personnes ... "Elbakin, un podcast qui rend joyeux"La prose préparée de Witch : une magnifique envolée lyrique !Le Dossier : Histoire et récitInterviewer des auteurs sur un thème permet de mieux les comprendre/connaitre ... les Utopiales, comme si vous y étiez !J'ai beaucoup apprécié la réponse de Jean-Claude Dunyach : Aventure courte versus Cycle long avec une Histoire créée pour et par les protagonistes.Concernant la réponse de Mathieu Gaborit ou de Jean-Luc Marcastel : créer un univers détaillé (la glaise des poteries par exemple, comme dans un jeu de rôle) ne doit pas se faire au détriment du récit. Je l'ai trouvé intéressante, sauf que, pour moi, ils ont répondu à coté en opposant les détails de l'univers à l'Histoire de l'univers servant le récit. Comme Mathieu vient du jeux de rôle (avec Ecryme et Agone), j'ai la sensation qu'il a une version déformée de la relation jdr/littérature fantasy. Peut-être que pour Agone, certains suppléments ont été payés à la ligne et que des détails inutiles ont rempli quelques pages dont personne ne se sert pour jouer mais qui contribuent à l'ambiance de l'univers. Je rejoins donc Cédric, quel MJ décrit la glaise ayant servi à la poterie s'il n'y pas d'interaction avec le scénario ou d'effet papillon ?Mathieu Gaborit dit : "il ne faut pas aller chercher du coté de l'Histoire pour avoir une crédibilité de l'univers". Pourtant, dans Agone ou les Féals, j'ai eu l'impression qu'il allait justement chercher de ce coté là : le héros modifie profondément l’univers en allant se briser sur l'Histoire que l'auteur a créée. Avec ses deux séries, il a fait de grandes fresques.Je pense que ce qu'il a voulu exprimé est ce qu'il a dit après au sujet d'un bon livre : "si on enlève la fantasy, il reste une bonne histoire". Cela résume très bien l'idée que je me fais d'un bon récit fantasy.La réponse qui me semble la plus juste vient de Lionel Davoust :" l'Histoire et le récit sont intimement liés. il faut une Histoire pour que les personnages aient quelques chose à accomplir et il faut un récit pour modifier l'Histoire."Les Coups de cœurs : parfait ... Encore des livres commandés à cause de vous :PGlen Cook semble incontournable ...Déjà fini ... bravo à toute l'équipe ! :DEt rendez-vous pour le podcast 12 spécial " Le Père Noël en Fantasy"

J'ai écouté le dernier podcast ce WE et j'ai trouvé le sujet vraiment très intéressant et excellente cette idée d'aller demander à différents auteurs ce qu'il pensait de la question, ça enrichit le débat et ça lui donne une bonne ouverture.Je me suis pas mal retrouvé dans l'avis de Jean Luc MarcastelEt je crois que je suis un peu comme Witch, je n'ai pas vraiment besoin de voir précisément et dans les détails un univers (les habits par exemple). Et autrement je n'aime pas trop quand un auteur donne trop vite les clefs de son monde. Je préfère de beaucoup quand un auteur dévoile peu à peu et au compte gouttes ces informations et que le tout garde une part de non dit et de mystère. Par contre il faut qu'on sente que le monde à une vrai consistance, et qu'il ne soit pas juste une façade (j'ai beaucoup aimé l'analogie de Marcastel sur les décors des films westerns).En tout cas j'attends avec impatience le podcast de noël avec l'interview exclusive du Père Noël

Arf Podcast 13 alors que je viens à peine de pouvoir écouter le podcast 11...Donc mon avis sera sur celui là, il m'a bien plus vu que je ne connais pas du tout les Utopiales et j'ai aimé entendre l'avis d'auteurs de fantasy sur la question du débat.Bref un très bon podcast même si les membres absents ont un peux manqué (rendez nous Merwinn, j'ai pas entendu parler du Livre Malazéen des glorieux défunts depuis plusieurs semaines ).