Posté : jeu. 13 mars 2014 12:33

Et bien en tant que fan des final fantasy et de chrono trigger, tu as du remarquer qu'on pouvait se balader sur la carte en se retrouvant sur les bords opposés à la même lattitude/longitude.Gillossen a écrit :
Mais dis nous pourquoi alors !Le Petit Duc a écrit :Hé ben moi j'aime pas les cartes ! http://imalbum.aufeminin.com/album/D200 ... 3810_S.jpg
Foradan a écrit :Avis aux podcasteurs, vous voulez que je vous pitche sur les cartes du Légendaire ou ça va aller ?
Indice, ce ne sera pas moiMerwin Tonnel a écrit :PS : ce podcast se fera avec un invité prestigieux.
Un cartographe ou une cartomancienne ?Merwin Tonnel a écrit :PS : ce podcast se fera avec un invité prestigieux.
Je ne vois tout simplement pas la plus-value qu'apporte une carte à un récit. Et je ne comprends pas cette "obsession" de la carte en Fantasy. C'est pour donner plus de substance au monde inventé ? Mouais... Pour moi, un bon écrivain le fait avec les mots et laisse l'imagination du lecteur faire le reste.Ou alors tout simplement, j'ai été traumatisé par mes cours de cartographie.Guigz a écrit :Mais dis nous pourquoi alors !![]()
La même que dans notre réalité : pouvoir se repérer, s'orienter, se situer dans un espace ou suivre un itinéraire.Et puis il y a l'art de la représentation, le travail graphique et la matérialisation d'une part de l'imaginaire conçu par l'auteur et qu'il partage avec les lecteurs. Une autre manière de partager son univers, en complément des mots.Dans notre monde primaire j'aime me référer aux cartes (je ne vois pas l'utilité du GPS en général) elles me permettent de me projeter ailleurs que là où je suis, où de savoir où je suis. Dans un roman fantasy c'est pareil, je dirais.Le récit va offrir une description "locale", la carte va apporter une vue globale. C'est un plus à l'immersion et à l'enrichissement de l'imaginaire que le lecteur construit de son côté aussi. Après certains n'aiment peut-être pas les cartes (en général) et n'en n'ont pas besoin... leur processus imaginaire est différent et n'a pas besoin de ce support.La carte peut permettre aussi à l'écrivain d'alléger son récit en terme d'indication géographique, en se concentrant sur la poésie des paysages et de la géographie à taille humaine. Devoir décrire par des mots ce que peut apporter une carte en un coup d'oeil peut s'avérer très lourd et plomber un récit.Je pense que l'imaginaire du lecteur peut passer par les mots et par la carte. Parfois une carte seule peut aussi nourrir l'imaginaire...Le Petit Duc a écrit :Je ne vois tout simplement pas la plus-value qu'apporte une carte à un récit.
Surtout dans le Disque-monde dont la carte est...une pizza.Eorlingas a écrit :Parfois une carte seule peut aussi nourrir l'imaginaire...
Je dois aussi dire que je saute pas au plafond à l'évocation de ce thème... Même chez Martin on a simplement le contour de la carte d'Angleterre renommée en Westeros... Ceci dit je suis curieux d'entendre parler d'exemples plus interessants qui ne me viennent pas à l'esprit là tout de suite ou dont je n'ai pas connaissance...Le Petit Duc a écrit :Je ne vois tout simplement pas la plus-value qu'apporte une carte à un récit. Et je ne comprends pas cette "obsession" de la carte en Fantasy. C'est pour donner plus de substance au monde inventé ? Mouais... Pour moi, un bon écrivain le fait avec les mots et laisse l'imagination du lecteur faire le reste.Ou alors tout simplement, j'ai été traumatisé par mes cours de cartographie.Guigz a écrit :Mais dis nous pourquoi alors !![]()