Akarja a écrit :C'est peut-être l'effet de mon statut de novice dans le genre bit-lit mais je pense que ta définition correspond à celle de la bit-lit dans le sens où c'est notre monde avec du merveilleux à fond la caisse qui percute ce qu'on est censé connaître pour émerveiller (ou effrayer)... :s
C'est exactement mon avis. :)Personnellement, pour moi,
Stefan King,
Graham Masterton et
Clive Barker font de la fantasy urbaine. Au même titre qu'un
Gaiman et son American God et les ouvrages clairement estampillés Urban fantasy (
Dresden files,
Mercy Thompsom) Dans les auteurs moins connus que j'ai bien aimé dans ma période loup-garou/vampire, il y a
Strieber et
Mc Gammon. Et pourquoi pas
Dan Simmons et ses vampires psychiques de l'échiquier du mal.Alors, les gens qui aiment les cases font dire "non c'est du
fantastique et/ou de
l'horreur" comme King et Barker, etc..etc...Moi, je suis un mec assez simple. Déjà, il y a la fantasy tout court. Et puis après, si on veut faire un distingo, il y aurait le cas d'une fantasy qui part d'un décalage du réelle (fantasy "urbaine") et une fantasy qui construit un univers secondaire fantaisiste de A à Z.Sinon, hors littérature fantastique, je propose mes exemples de fantasy urbaine :- Comics :
Fables- Série TV :
Buffy contre les vampires- Mangas :
Jojo bizarre adventure saison 3, 4 et 5 . Je pourrait citer plein de mangas, mais Jojo a vraiment beaucoup de référence à la culture actuelle (cinéma, musique, etc...) dans sa partie fantasy- Jeu vidéo :
Secret world et
Vampire Blood Line- JDR papier :
Shadowrun. Bon, uniquement parce que j'ai été MJ pendant plusieurs années.

Sinon, c'est le
Monde des tenèbres avec les 6 entités de base de la fantasy urbaine : Vampire, Loup-garou, Changelins (fée), Wrath (Fantômes), Mage et les Chasseurs