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Posté : lun. 17 août 2020 08:02
par Aslan

Posté : lun. 17 août 2020 10:45
par Amaryan
Il était déjà dans mes projets de lecture. :)

Posté : lun. 17 août 2020 12:02
par Gillossen
En tout cas, j'ai trouvé ça vraiment à part. :)
Et c'est court (200 pages à peine dans une police de belle taille) mais ça colle au côté fable dont je parle.

Posté : lun. 17 août 2020 12:19
par Psyché
Ah cool ! je l'avais dans ma wishlist en VO, je vais attendre la sortie aux Forges de Vulcain alors :)
Merci pour la chronique, elle renforce encore l'envie de lecture !

Posté : lun. 17 août 2020 22:21
par Kaellis
L'incivilité des fantômes m'avait interpellé lorsque je l'avais lu, je me jetterai sur celui-ci sans hésiter !

Posté : jeu. 27 août 2020 20:15
par Kissifrott
Bon, on va croire que je suis un fanboy exclusif des Forges de Vulcain, mais pour mon compte, j'avais déjà adoré L'incivilité des fantôme. Je dois donc vous avouer que j'ai adoré Les Abysses plus encore. Plus court, déconcertant au début, mais plus évocateur, percutant. Puissant, même. Franchement, on a sûrement là un-e auteur-e qui a mon sens marque déjà la littérature de l'Imaginaire du XXIè siècle ;)

Posté : jeu. 27 août 2020 22:05
par Tybalt
Ouh, très, très intéressant. Je guetterai ça en librairie. Et j'irai zyeuter L'Incivilité des fantômes (un beau titre) à côté duquel j'étais passé.

(Pour le genre de l'auteur-e, c'est bizarre que l'éditeur ait opté pour le féminin alors qu'il existe un prénom non-binaire justement... forgé à cet effet : "iel". Il est rare, mais aurait été plus adapté à mes yeux. Enfin, si l'auteur-e a accepté le féminin...)

Posté : ven. 28 août 2020 07:38
par farrell
Pour information L'Incivilité des fantômes, qui est chez le même éditeur, utilise iel pour une partie des personnages.
Et je le conseille énormément, c'est un magnifique roman. Qui traite de sujets difficiles de manière frontale.

Posté : ven. 28 août 2020 11:36
par Gillossen
Tybalt a écrit :Et j'irai zyeuter L'Incivilité des fantômes (un beau titre) à côté duquel j'étais passé.

Il vient de sortir en poche. :)
(Et en passant, l'éditeur parle de "personne" pour parler de Rivers Solomon, je ne crois pas qu'il ait "opté" pour le féminin).

Posté : mar. 8 sept. 2020 08:37
par Aslan
Si vous êtes sur Twitter : https://twitter.com/elbakin/status/1303236889168805888 :)
(Ce n'est pas ça le concours dont on parlait par ailleurs, précison-le, c'est du bonus !)

Posté : ven. 11 sept. 2020 13:04
par Gillossen
Et ça y est, le roman est dispo ! :)

Posté : ven. 11 sept. 2020 18:14
par Amaryan
Oh, merci du rappel ! :)

Posté : mar. 27 oct. 2020 10:48
par Amaryan
Je ne l'ai pas encore tout à fait fini, il me reste encore une cinquantaine de pages, mais pour l'instant c'est une vraie déception. J'espère encore voir la petite étincelle apparaître à la fin.

Posté : jeu. 29 oct. 2020 13:08
par Gillossen
Dans quel sens, par curiosité ? :)

Posté : jeu. 29 oct. 2020 14:52
par Amaryan
Je l'ai terminé entre temps et j'ai plutôt bien apprécié la dernière partie, on passe donc de "vraie déception" à "légère déception", mais reste que je m'attendais à une lecture (très) marquante et ça n'a pas été le cas. :)

Pour commencer, j'ai trouvé l'écriture extrêmement redondante. L'intégralité de la première partie se contente de répéter le concept et les conflits internes du personnage principal sur tous les tons, et par la suite encore ce défaut perdure.

Résultat, un roman court qui arrive à avoir des longueurs, un comble. Pour moi, aussi bien l'intrigue (qui tient en trois actions) que la caractérisation des personnages ou même le développement des thématiques de fond sont au niveau de profondeur d'une grosse nouvelle, pas plus. Le propos est certes sensible et important, il y a des moments de grâce et de poésie, des moments émouvants malgré une certaine naïveté. Le tout rassemblé en une cinquantaine de pages m'aurait certainement touchée. Là j'ai trouvé l'ensemble dilué jusqu'à devenir presque creux par moments. Avec en outre des passages qui sonnaient terriblement artificiels, comme si les personnages avaient purement vocation à démontrer quelque chose au lieu de s'incarner.

Bref, le thème est noble et essentiel, l'idée intéressante et poétique, mais l'exécution n'est, à mes yeux, pas au niveau. Même tout le propos central sur le traumatisme générationnel, l'histoire qui forge les peuples, le poids de l'esclavage n'est même pas autant approfondi qu'il l'aurait mérité et reste dans des généralités plutôt faibles comparé à la portée du sujet. Dommage. ^^

Posté : ven. 30 oct. 2020 14:20
par Gillossen
Merci, je ne suis pas loin d'être d'accord en fait, mais la forme m'a nettement moins gêné que toi, on va dire. :)

Posté : ven. 30 oct. 2020 18:37
par Amaryan
Les attentes élevées que j'avais ont certainement dû jouer aussi, c'est toujours le risque. :)

Posté : lun. 2 nov. 2020 12:09
par Gillossen
Ah, ça, c'est sûr. :)
Avec le recul, je suis moins pressé que je ne l'aurais cru d'enchaîner avec son précédent.

Posté : lun. 2 nov. 2020 20:16
par Kaellis
J'ai préféré Les abysses à L'incivilité des fantômes pour ma part, mais sans que ce soit un coup de coeur. Pour un récit aussi court, j'ai mis un peu de temps à le lire, parce que certains passages m'intéressaient moins que d'autres. Il s'en dégage cependant une certaine poésie à laquelle j'ai été sensible.

Posté : dim. 6 déc. 2020 17:15
par Nephtys
Comme l'année dernière, Numerama donne son propre (petit) classement de quatre livres fantasy à offrir pour Noël :) Ici