

Même si c'est le cas, ça ne garantie pas pour autant qu'il ou elle soit aussi au point sur tous ses sujets... ;)Bref, ça n'était qu'une remarque en passant, mieux vaut se concentrer sur les points positifs (puisqu'il ne semble pas en manquer), j'aimerai bien lire cet article sur Tolkien...et je me demande s'il y en a sur Mc Caffrey...Thysil me semble que le bouquin est écrit par un unique auteur...non...?
Comme par exemple? C'est toujours un peu mon problème avec ce genre de livres, j'ai du mal à cerner ce qu'il peuvent apporter à la lecture (à part la quantité d'informations qu'ils délivrent sur le sujet, mais que l'on peut également obtenir en lisant directement les livres cités). La seconde partie me semble la plus interessante, vu que c'est celle qui traite du dragon en "général", mais apparement elle est un peu "réduite".Quelle est donc ton opinion Gillo, est ce que ce livre se pose comme une "référence" à lire sur les dragons?PS: pour Thys:la Fantasy mérite bien ce genre d'ouvrages posant diverses problématiques
Bravo, ce n'est pas comme ci c'était pas écrit en toute lettres dans la critiqueet je me demande s'il y en a sur Mc Caffrey
Oups...Bravo, ce n'est pas comme ci c'était pas écrit en toute lettres dans la critique
Ca, c'est sûr, ça doit entrer en ligne de compte également!ThysEt au-delà du fait que Anne C. Petty ne soit pas forcément aussi pertinente pour chaque auteur, c'est peut-être que tous ne sont pas aussi intéressants que certains dans le lot.
Tellement rebattu qu'il n'y avait même pas de sujet dédié.belgarion,mercredi 25 mai 2005, 12:59 a écrit :Même si le sujet a été vu et revu
Pas à ma connaissance...Et c'est cette nuit que le doc d'Arte de Dimanche est rediffusé !Une parution VF est-elle prévue?
Le musée des dragons Arte (français) jeu. 26 mai 01h35(55 min., 2004, France, Magazine/documentaire) Toute sa vie, Willem Heurtz a accumulé des preuves de l'existence des dragons. Visite guidée de son musée imaginaire en compagnie de scientifiques et d'artistes qui démêlent le mythe de la réalité. Un film palpitant et plein de poésie, où se croisent biologie, paléontologie, histoire des mentalités et calligraphie chinoise. "Contrairement aux idées reçues, le dragon ne peut pas cracher du feu en volant." En effet, il a besoin de toute sa force musculaire pour expulser de son estomac l'hydrogène, combustible de ce souffle enflammé qui a hanté (et hante encore) l'imagination des hommes... Sous-titrage pour sourds et malentendants Avec ses arguments scientifiques, son savoir encyclopédique et sa courtoisie surannée, l'inénarrable Dr Willem Heurtz parviendrait presque à nous persuader de l'existence des dragons. Dans les années 30, il leur avait dédié un musée malheureusement détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, mais dont il reste une trace : un film datant de 1938, dans lequel Heurtz dévoile ses trésors (un crâne, une écaille géante, un squelette...). C'est autour de ce drôle de petit film que le documentaire est construit : à chaque chapitre présenté par le savant farfelu (anatomie, habitat, reproduction, histoire, mythe, etc.) font écho les réflexions et les commentaires de scientifiques et d'artistes contemporains. Malgré tout ce que peut en dire Heurtz, les dragons n'existent pas. Mais alors pourquoiprennent-ils une telle place dans notre imaginaire ? Pourquoi ont-ilstraversé les siècles pour peupler aujourd'hui le cinéma, la littératureet les jeux vidéo ? Que symbolisent le dragon de Saint Georges et celui de Siegfried ? Comment, jusqu'au XVIIIe siècle, a-t-on pu légitimement croire à leur existence ? Dans quel coin obscur de notre cerveau reptilien s'est gravée l'image de cette créature multiforme et terrifiante ? Les réponses sont foisonnantes et passionnantes. Elles embrassent tous les domaines, de la paléontologie à la calligraphie chinoise en passant par la cryptozoologie (la science des animaux extraordinaires). Le musée des dragons prend le parti de nous plonger dans un monde où l'existence des dragons n'est pas mise en doute, de les faire exister et d'en esquisser une véritable histoire naturelle. Cette approche originale est complétée par une réflexion sur notre rapport avec le merveilleux. Le documentaire se place ainsi à la frontière entre le monde rationnel, scientifique, et l'univers du mythe et du surnaturel. Une frontière floue où Willem Heurtz nous sert de guide : un drôle de guide qui, à l'instar des dragons, pourrait bien être né de l'imagination des hommes...
légendaire et aussi généralement doté d'une image beaucoup plus positive...Foradan,vendredi 03 juin 2005, 18:55 a écrit :Je crois savoir (des souvenirs de Shiryu) que le dragon est légendaire aussi bien en Asie qu'il l'est en Europe
Ca se voit qu'on ne sait vraiment plus quoi faire pour dynamiser ce sujet ?Une "salamandre" préhistorique de 7 mètres découverte... au Muséum à ParisPARIS (AFP) - Une "salamandre" de sept mètres, vieille de plusieurs centaines de millions d'années et qui pourrait avoir été le plus grand amphibien de tous les temps, a été identifiée grâce au réexamen d'un fossile conservé au Muséum national d'histoire naturelle, à Paris, révèle le "Bulletin de la Société géologique de France" dans son dernier numéro.Le paléontologue Jean-Sébastien Steyer (CNRS/Muséum) et son collègue sud-africain Ross Damiani (université du Witwatersrand, à Johannesburg) ont eu l'idée de revoir un fragment de mâchoire d'amphibien géant du groupe des stégocéphales trouvé au Lesotho et, soulignent-ils, "rapidement" attribué, il y a une trentaine d'années, à un amphibien au corps trapu, le capitosaure. La nouvelle étude de ce fossile, surtout de ses dents, a révélé, écrivent les deux auteurs, qu'il s'agit d'un représentant d'un autre clade (embranchement) des stégocéphales, celui des temnospondyles. Ces amphibiens, qui présentaient une riche variété de formes faisant penser aux salamandres ou aux crocodiles, ont vécu sur tous les continents, du Carbonifère inférieur (il y a 340 millions d'années) au Crétacé inférieur (- 120 millions d'années). Le fossile originaire du site d'Alwinskop, près de Quthing (sud-ouest du Lesotho), qui fait partie des collections du Muséum depuis 1970, remonte à une période située entre le Trias supérieur et le Jurassique inférieur, il y a quelque 200 millions d'années. Sa nouvelle classification lui donne un intérêt tout aussi neuf. "Après comparaison, calcul de proportions et reconstitution, cet unique temnospondyle correspond à un des amphibiens (...) les plus grands connus au monde", résument les scientifiques. En effet, comparé à la taille du crâne (70 centimètres de large) de l'espèce connue la mieux préservée, "Siderops kehli", du Jurassique inférieur d'Australie, de 2,7 mètres au total de long au moins, le spécimen d'Afrique australe, avec une tête de 1,7 mètre de large, devait atteindre la longueur record de quelque sept mètres. Le plus grand amphibien décrit jusqu'à présent était "Mastodonsaurus giganteus", de six mètres de long. La plus grande espèce vivante, la salamandre géante de Chine (ou salamandre du père David), atteint 1,8 mètre.
Ce que tu dis là me fait penser aux dragons de Terremer (Ursula Le Guin), qui semblent bien être tout cela, à des moments différents, et suivant les dragons et leurs interlocuteurs : "Un maître des dragons, c'est quelqu'un à qui les dragons acceptent de parler". J'ajouterai que la vision qu'en avait Le Guin semble avoir beaucoup évolué au fil de sa saga, depuis le prédateur grippesou dévoreur de jeunes filles jusqu'à la face cachée du sorcier, voire même de l'humain. J'en dirai sans doute + quand j'aurai enfin lu le dernier tome, qui vient de sortirAlors, dragon sage pami les sages, despote surpuissant, divinité incarnée, immense prédateur, gripsou sans scrupules ou mets raffinés sur les menus des aventuriers (voire peuple à part entière), les dragons sont parfois un peu de tout, rarement, (jamais?) tout ça en même temps (mais il n'est pas impossible à un dragon d'avoir une crise d'adolescence avant de devenir un vieux dragon cruel, puis un très vénérable sage dragon).
Je penserais à ce sujet au début de "La flûte enchantée", l'opéra de Mozart, encore qu'il ne soit pas bien clair s'il s'agit d'un gros serpent ou d'un dragon, mais ils me semblent souvent confondus dans une même détestation, comme incarnations du Mal.Pour en revenir à la Fantasy, on a 2 images très contrastées des dragons dans "La Tapisserie de Fionavar" : l'un a été créé par le dieu du mal, et est donc une force brutale et cruelle dans la bataille, et l'autre est uniquement une force de paix lumineuse. Quant aux dragons de Pern, leur image est uniquement positive. En y repensant, il me semble que les seuls dragons à véhiculer une image ambiguë (tantôt positive, tantôt négative) sont ceux de Terremer. Quoique ceux de Hobb... Et il faudra voir ce que G.R.R. Martin va faire des siens. On n'a pas fini de parler de dragonsil cristallise l'Adversaire du Bien, celui qui ne peut périr que de la main d'un héros authentique (à ce titre, le dragon révèle des héros qui, sans lui, seraient restés anonymes).
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