Par le plus grand des hasards, est-ce que quelqu'un saurait quand sort la version poche de ce livre : ça m'aiderait à me décider, dans l'intérêt de mon portefeuil...Anka

Après 2 minutes de recherche, il ressort une date : pas avant le 15 Janvier 2004 dans son édition anglaise.

Et ben, ils sont pas pressés !! Je m'en fous d'avoir une édition de grande taille !! Pourquoi m'obliger à payer plus du double pour avoir juste quelques centimètres de papier de plus! Ah, les rapaces...Très bien, pile ou face...(De toutes manières, j'acheterai certainement le perdant en automne, donc...)Anka

J'ai enfin lu the war of the flowers et le moins que je puisse dire est que j'ai adoré ce livre. Déjà, son auteur n'est pas un inconnu en fantasy avec l'arcane des épées et ce livre m'a tout de suite attiré. 8) Au départ j'ai crains que l'histoire ne soit classique avec un humain qui est transporté dans le monde des fées dans un paysage enchanteur et des lutins sous toutes les souches mais heureusement ce ne fut pas le cas.En effet, si le héros, Théo Vilmos, est transporté dans cet autre monde après divers malheurs dans la vie réelle ce n'est qu'avec une longueur d'avance sur un monstre infatigable envoyé pour le capturer. Il va vite s'apercevoir que le monde des fées n'est pas celui auquel on pense mais un monde industriel étrange qui imite celui des humains où la magie est considerée comme de la science. Les êtres féeriques eux-même sont horribles et manipulateurs et notre héros se retrouve au centre d'intérêts dont il n'a aucune idée et il sera plongé dans une intrigue pleine de trahison, de boulversements et de rebondissements dont dépendra le sort de nos deux mondes. :shock: Quant aux personnages, Tad Williams a su enrichir leur caractère et il leur donne leur part de qualité et de défauts ( Théo n'est pas un conan invincible! ) qui nous les rendent très sympatiques. Personnellement j'ai beaucoup aimé la fée Applecore avec son caractère irrascible qui donne du piment aux dialogues et Poppy Thornapple qui doit faire face aux dures réalités de son monde et qui le fait avec courage. LE style de l'auteur est toujours aussi agréable à lire, fluide, même si j'ai eu quelques problèmes pour la traduction parfois, mais j'ai encore quelques lacunes qui expliquent ces difficultés.Au final je trouve que c'est un très bon livre riche en rebondissements de toute sortes qui relate une histoire des plus intéressantes dans un monde qui ne l'est pas moins. Il ya malgré tout quelques longueurs ( mais qui peut se vanter de ne pas en faire? ) qui peuvent perdre le lecteur parfois.

War of the flowers est un des rares livres dont je n'ai pu atteindre la fin...Malgré le renom de l'auteur, le rare "véritable roman" de fantasy (j'entends par là pas de cycle, de suites ou de préquelles), malgré le fait que j'avais adoré (vraiment bcp) son cycle Memory, thorn and sorrow... j'ai trouvé WoF particulièrement mauvais. Voici mon avis, sans spoilers :Un prologue bien intriguant, la première partie (dans le monde réel) pas mal du tout, entrecoupée de scènes dans le monde de Fantasy qui laissent présager toujours du bon, très bon même...Puis le flop. Le héros se laisse trainer d'un coin à l'autre en passant à côté de l'essentiel (à mon avis, bien sûr). Théo (le perso principal) ne cherche pas à savoir pourquoi il en est arrivé là ni quelles sont les motivations qui animent les personnages secondaires. C'est un pantin qui fait ce qu'on lui dit, qui suis les directives et qui va où on le guide. De ce fait là je me suis juste senti témoin, et n'ai pas pu m'investir réellement dans le roman.Théo est trop passif, et voir le monde de faerie à travers ses yeux eut pu être intéressant, s'il ne cessait de le comparer sans cesse au monde réel. Son point de vue est un peu simpliste et son humour me laisse froid. Ses sentiments sont un peu déplacés aussi, ses reactions quand à ce qu'il lui arrive peu crédible, trop lègeres, peu rationnelles. Le probleme, c'est qu'une fois que je m'en était rendu compte, plus question de supporter ce personnage plus longtemps... or c'est lui que l'on suit... sniff...Plus j'avancais dans l'histoire plus je me disais que Tad Williams avait eu une idée trop fine pour en faire un roman, un peu comme une tartine sur laquelle on essayerait vainement d'étaler trop peu de beurre ;)Si le monde de Faerie est assez original, pas de bol pour moi la simple translation du progrès dans la fantasy ne m'a fait ni chaud ni froid... en fait je n'aime pas la fantasy dans laquelle il y a des trains ou des gsm, peu importe qu'ils soient magiques ou pas. C'est tant pis pour moi, je le sais, mais c'est un peu comme du sel à la place du sucre : la technologie donne un drôle de gout à la fantasy...A la page 400, fort du constat que cela faisait 200 pages qu'il ne se passait plus rien ou presque, et que les principaux interessés s'en foutaient un peu dans le roman, je l'ai refermé définitivement. J'ai abandonné et je ne déconseille donc pas le roman à ceux qui ne l'ont pas encore lu : peut-être qu'il est génial dans les 350 pages restantes, que Williams va enfin amener son idée originale et nous surprendre tous. Le seul problème, c'est que j'en ai été écoeuré, et je n'ai plus le courage de risquer l'indigestion pour une fin finalement aussi fade que le reste.Ceci reste mon avis, comme d'habitude un coup de coeur ou un coup de gueule. Je ne doute pas qu'il plaira à certains, la majorité peut-être (bien que sur amazon j'ai entendu des échos très semblables au mien). Je vous souhaite plus de chances qu'a moi...Alpareh, le mangeur de livres

(bien que sur amazon j'ai entendu des échos très semblables au mien).

Sur Amazon, il est tout de même noté 4/5 sur la moyenne générale des avis... Donc, évidemment, il y a forcément des avis négatifs au milieu, mais bon... :)Pour le reste, je n'ai pas trouvé que Theo ne cherchait pas à savoir pourquoi il était là, (mais alors là, pas du tout ! :shock: ) ni qu'il était passif. (Même si c'est un aspect plus présent une fois la Cité atteinte)Dommage que tu aies abandonné en cours de route... Es-tu seulement arrivé à

Moi au contraire c'est la première partie qui m'a parut un peu longue à partir car il s'appesantissait trop sur la mort de sa mère et ses malheurs en général ( même si je suis d'accord pour dire que c'est une grande perte pour lui). Mais à partir du moment où Applecore apparaït l'histoire s'emballe et on est vraiment plongé dans le récit. Alpareh dit que Tad Williams n'a pas eu d'idée originale pour ce livre mais je trouve que sa seule vision du monde de fearie est suffisament décalée par rapport à notre vision du pays des fées pour justifier le livre en le comparant à notre civilisation occidentale. Ce qui m'a le plus plu dans son oeuvre c'était les comparaisons avec notre monde: les gobelins communistes révolutionnaires, l'aristocratie des fleurs qui est un mélange de la noblesse et des hommes d'affaire modernes sans âmes, la cité polluée commune à bien des nôtre... Toutes ces petites comparaisons aident à construire une histoire originale et plaisante. Que l'on n'aime pas le style de l'auteur, les héros ou l'histoire en elle-même, soit, mais on ne peut lui repprocher son manque d'originélité. 8)

Gillo, a mon avis, j'ai du m'arreter quelques pages avant. Serait-ce l'étincelle qui embrase le roman ?Je vais lui donner sa chance, comme à (presque) tous les romans que j'ai abandonné, après quelques semaines ca me fait tjs mal au coeur et je le reprendrai pour le finir... J'en lirai encore une centaine de pages, mais ce sera le tout pour le tout, si elles ne me plaisent tjs pas, alors il passe à la trappe. Définitivement...J'espere secretement avoir fait une erreur en le laissant tomber.

Gillo, a mon avis, j'ai du m'arreter quelques pages avant. Serait-ce l'étincelle qui embrase le roman ?

Tu veux dire au moment où Théo est dans l'immeuble et se prépare à assister à la conférence des Fleurs ? Oui, je pense en tous cas que ça peut relancer ton intérêt. J'espère.

Je n'ai pas encore fini ce roman (puisqu'il l'a emporté face à the Lightstone) mais ça ne devrait plus tarder (500 pages sur 700, plus ou moins);A la base, je pensais comme alpareh. C'est à dire que j'ai beaucoup aimé le début : triste et mélancolique sans être pathétique. Une ambiance douce-amer entrecoupée d'éléments étranges et intriguants. Puis, une fois que Théo est passé dans Faërie, mon intérêt à fortement décrut. Je trouvais que décidément, il était trop mou. Il se laissait vraiment aller et m'agaçait prodigieusement. Mais pas au point de fermer le livre; j'appréciais l'humour (quand j'arrivais à comprendre ce que baraguinait Appelcore... j'ai du beaucoup deviné) et j'étais quand même curieuse de voir ce qui allait arriver. ATTENTION, la suite contient des spoilers. Vous êtes prévenus !!J'ai eu raison d'attendre. Je ne sais pas très bien quand j'ai repris goût au récit. La révélation de la nature féérique de Théo m'avait laissée un peu froide (un peu tré par les cheveux, non ?). Mais quand Théo s'est rendu avec Cumber au "Christmas" et qu'il y a revu Poppy et que Cumber s'est énervé, je me suis rendue compte que j'étais bien dedans. Evidement, mon intérêt s'est encore accru avec l'arrivée du dragon (je n'avais pas lu le mot d'excuses de Willimas au début du livre, mais j'ai tout de suite pensé au WTC : oh, les douloureuses résonnances !). Mais là où je me suis dit que ça devenait carrément super, c'est quand ils sont arrivés chez les "gobbelins-communistes".Et maintenant, j'ai du mal à décrocher. Je suis morte d'impatience de voir la rencontre de Théo avec l'Enlèveur d'Obstacles. J'ai hâte de voir la stratégie de Mud (un Ché-gobbelin : terrible, non ?). J'ai envie d'en savoir plus sur l'Enfant Terrible et sur ce qui va arriver à Poppy (très bon perso !). Je veux voir le sauvetage (inévitable, je crois. Enfin j'espère) d'Appelcore.Ce qui me plaît, c'est que la transformation de Théo n'est pas trop évidente. Certes, il va sauver Appelcore, mais il lui faut bien tout pour ne pas prendre ses jambes à son cou. Et c'est très bien : dans la vraie vie, on ne passe pas en quelques jours d'un homme superficiel à un héros (même après un traumatisme comme celui du Dragon).Théo m'énerve quand même toujours un peu car il ne se pose pas assez de questions sur ce qui s'est passé entre son oncle et la jeune Fleur (bon, peut-être il a pas le temps). Moi, j'ai plein de théories à ce sujet, mais je les garde pour moi, comme ça je pourrais dire : je le savais !! :-P Autre détail : j'adore cette idée d'histoires des gobbelins où il y a toujours un trou. Je trouve ça terriblement poétique.Je vous donnerais plus de nouvelles une fois ma lecture finie. Donc pas tout de suite, pour cause de séjour en Normandie pré-rentrée :-P Anka

Comme promis, voici la suite de ma petite critique (je fais un nouveau message plutôt qu'un édit de manière à faire remonte el sujet).). Mon message précédent me montrait plutôt enthousiaste. Je l'étais, et le suis restée pendant un bon moment. Mais, hélas, pas jusqu'à la fin. en effet, j'ai de nouveau décroché lors de la dernière partie du livre. Je n'ia aps tout à fait déccroché, c'ets vrai, mais j'étais de nouveau un peu déçue. La fin m'a paru précitée, facile et pas trop bien consturite. Avec deux trois jours de recul, voici mon opinion global. War of flowers n'est pas un mauvais livre, très loin de là ! Mais c'est un livre qui, je pense, aurait pu être bien mieux que ce qu'il est. De manière générale, j'ai trouvé que l'histoire comportait beaucoup de bons, voir très bon éléments, c'est vrai, et de bonnes trouvailles. L'humour est accrocheur et les personnages ont une bonne consistance. Mais ce qui me pose problème, c'est plutôt le rythme et l'harmonie avec laquelle (ou plutôt sans laquelle ) les différents parties de l'histoire sont reliées entre elles. Les coupures de rythmes sont trop marquées à mon goût. J'estime que beaucoup de choses aurait pu être approfondies ou retravaillées. J'ai parfois un peu l'impression qu'on lance des tas de bonnes idées ou de situations sans vraiment prendre la peine de les liés entre elles Bien sur, l'harmonie dan sun roman ets un concepte relativement subjectif et mon avis vaut ce qu'il vaut, mais je pense que c'est un roman qui aurait mérité une relecture et un remaniement supplémentaire pour être un tout bon roman. Comparativement, je trouve L'arcane des épées (que je suis en train de lire) bien plus équilibrée et plus fluide. Mais bon , toutes ces réserves proviennent du fait que j'avais vraiment bien accroché aux 100 premières pages et que le reste m'a décu. Ce sont des critiques un peu pointilleuses. Il n'en reste pas moins que c'est un bon roman que je recommande volontiers. Anka

Comparativement, je trouve L'arcane des épées (que je suis en train de lire) bien plus équilibrée et plus fluide.

En même temps, c'est un one-shot celui-là, il n'a pas la " liberté " d'une trilogie pour prendre le temps de se poser. Evidemment, on pourra répliquer que Williams n'avait qu'à faire à nouveau une trilogie pour développer au mieux tous ses thèmes.

Une trilogie, je ne sais pas trop.Ce qui m'ennuie, c'est que pour moi, l'histoire a besoin de certains approfondissements, certes, mais pas au point de la prolonger sur trois tomes. C'est plutôt la forme et particulièrement l'ambiance (par moments, pas toujours) qui me gênent, les liaisons entre les différentes scènes.Mais je pense que même en restant sur du "one-shot", il y avait moyen d'améliorer. Ca se joue sur des détails, il ne faut pas beaucoup de lignes pour resituer une ambiance.En y repensant encore, je me demande si une autre chose qui m'a posée problème ne serait pas cet incessant va-et-vient entre comédie et tragédie. Comprenont nous bien, je n'apprécie pas spécialement les histoires juste pour rire (sauf Pratchett. Mais même chez lui, il y a du sérieux), le rire marche toujours mieux avec moi quand il n'est pas attendu, quand il débarque au milieu de la tension ou de la tragédie. Mais ici, j'ai un peu l'impression que Williams n'a pas vraiment intégré le rire dans la tension : il oscille plutôt entre ces deux ambiances de façon permanente, mais sans que la sauce ne prenne (pour moi, s'entend).Si je m'en souviens bien, au début du livre, Williams dit qu'il a moins de monde à remercier cette fois-ci que pour ses autres romans car il a eu moins de relecteurs. C'est peut-être là l'erreur.Anka

Attention, je parlais de trilogie histoire de parler d'un format au-dessus, pas forcément comme un souhait. Pour l'ambiance, je n'ai pas eu un seul problème avec, je n'ai décroché à aucun moment, donc, c'est tout de même vraiment un élement personnel.

Tout à fait d'accord ! Déjà, jugeru style d'un auteur, c'est assez subjectif, mais alors l'ambiance....Les réserves ci-dessus ne sont en aucun cas des affirmations. En fait, je réfléchis à voix haute pour essayer de comprendre ce qui a bien pu me faire décrocher. Mais peut-être que des élements plus personnels peuvent entrer en compte. Peut-être que si j'avais lu ce livre seulement dans quelques semianes, ou dans d'autres conditions, peut-être n'aurais-je jamais décroché. Qui sait ?Ce dont je suis sur par contre, c'est que j'ai trouvé ce livre difficile à lire en VO. J'avais d'éja lu du Williams en VO (Otherland) sans difficulté, mais là, j'ai parfois eu du mal avec ses phrases à rallonges, sans virgules mais remplies de verbes. Ca a pu aussi jouer.MAIS, comme je l'ai déjà dit, cela reste en bon livre, tout à fait recommendable. et je persiste, j'adore Mud et les histoires de gobbelins.Anka

Même si j'ai beaucoup aimé ce livre, comme Ankha, j'ai eu des petits problèmes de compréhension à cause de certaines phrases trop longues. Et je suis d'accord pour dire qu'un seul livre suffisait pour y faire tenir toute l'histoire, même si pour cela certains passages ne sont pas assez approfondis ( l'histoire de l'oncle de Théo aurait pu être plus détaillée). 8)

Oups je pensais pourtant avoir donné mon avis sur le sujet. Bizarre, bizarre!!!Bref j'avoue que j'ai eu beaucoup de mal à terminer ce roman, mais vraiment du mal, au point parfois de me demander si je ne devais pas plutôt m'arreter là. Mais bon vu les critiques élogieuses du site, j'ai quand même persévéré. Ca c'est révélé payant car la fin est quand même très interessante.J'aime bien le point de vue de Anka, même si lui (elle???) préfere le début et se trouve décu par la suite. Mais il souligne le fait que le roman est un bon livre, tout en manquant d'un petit quelque chose qui aurait vraiment créé une référence. Alors que là, on se trouve avec un sentiment de pas assez.Le roman fourmille de bonnes idées, elles ont été énumérées avec beaucoup de précisions par les posts précédents, mais il manque une volontée de leur prêter une vraie vie. Ensuite le rythme et le début de l'histoire ne m'ont vraiment pas plu, je ne sais pas, ce n'est pas tant le fait de commencer dans le monde réel, mais c'est peut-être un trop gros apesantissement sur le départ.Bref, ce n'est pas vraiment un roman qui restera dans ma mémoire.

Je fais remonter le sujet pour demander si une éventuelle traduction en français est prévue ? J'ai adoré l'arcane des épées et je dois dire que the war of flowers a l'air bien alléchant!

almaarea,dimanche 25 juillet 2004, 23:00 a écrit :Je fais remonter le sujet pour demander si une éventuelle traduction en français est prévue   ? J'ai adoré l'arcane des épées et je dois dire que the war of flowers a l'air bien alléchant!  :)

C'est du Tad Williams, c'est un seul roman et pas un cycle, donc, je ne vois pas comment il ne pourrait pas être traduit chez nous ! Même si c'est vrai que ça m'étonne un peu de ne toujours pas le voir ne serait-ce qu'annoncé... <_<EDIT du 28 : Je me permets cette remontée, puisque je viens de voir que " la Guerre des Fleurs " sort justement aujourd'hui même en Allemagne ! A quand notre tour ?

Un petit up, a l'occasion de la sortie de Shadowmarch :)Ce roman est une perle rare dans le monde de la fantasy : un "one-shot" original ! Et qui melange le monde reel a Feerie, qui plus est ! Et Tad Wiliams ! Allait-il etre aussi bon que Stardust, de Gaiman ?J'ai lu les avis qui precedent, et je me retrouve dans chacun d'eux : L'humour d'applecore (super personnage, j'aime l'appelation "clochette sous acide ) le changement reussi de monde, avec un bon debut... Je prefere arreter ici, je n'apporte rien de nouveau ! Le seul hic, c'est le heros, que j'ai trouve un peu mou. Je n'ai pas trop accroche a cause de ca, je pense, mais c'est le seul mauvais point que j'attribue au roman, et il ne doit pas en decourager la lecture, car il est bourre de moments originaux et humoristiques.Il devrait bientot etre traduit maintenant non ?