
3
Merci pour la critique! :)Rien d'extraordinaire visiblement, mais tout de même une lecture honorable. C'est un bilan plutôt positif, surtout que les qualités soulignées dans la critique (et encore une fois, pas du tout mises en valeur par le 4ème de couv
tu fais bien de le souligner) sont appréciables dans un roman.Toujours est-il que je vais faire l'impasse pour le moment, ça n'éveille pas en moi assez de curiosité pour bousculer un planning déjà chargé
mais qui sait, si les suites confirment cette impression honnête, ça pourrait valoir le coup de se repencher sur la question! :)Thys


4
Merci pour cette critique
C'est vrai que le résumé de Bragelonne n'est pas très vendeur, on a vraiment l'impression d'avoir une histoire déjà vue et revue, usant des grosses ficelles de la fantasy classique. Mais la critique est plutôt bonne, même si il manque le petit quelque chose qui me motive vraiment à l'acheter... à voir dans quelques temps peut-être...

5
Merci pour la critique
Le 4eme de couverture est effectivement peu engageant, mais alors la dernière phrase, c'est le bouquet!
Plus sérieusement, ça me tente bien, l'histoire semble tenir la route, le travail à l'air sérieux, et j'adore la couverture (c'est pas le plus important, c'est sûr). Faut d'abord que j'attaque mes lectures du mois, celui là viendra après 



6

7
Voila la critique que j'ai faite sur Bragelonne Les Mirages d’ElamiaEn voila une bonne surprise de début d’année, un pur produit de Fantasy breton et si c’est breton ben … en fait non.Les français sont-ils des spécialistes de la fantasy à tendance arabisante ??? Après les trois lunes Tanjors d’Ange voici Erick Wietzel qui arrive avec un premier opus qui sent bon le désert (ça change un peu des traditionnels livres méd-fant qui se passent dans une vielle Europe vue et revue).Durant la lecture du livre j’ai de suite pensé à « des tyrans et des rois » de Marco (très bonne trilogie de chez Brag’). Mais bien obligé de constater que si la technologie est moins présente (absence de lance-flammes et autres joyeusetés), elle est remplacée par un bestiaire et un panthéon plus fournis. De plus, là où le récit de Marco comportait des longueurs celui de Wietzel est plus dynamique, la découverte de l’univers se faisant par petites touches tout au long du récit. L’histoire bien que très traditionnelle (opposition entre « le bien » et « le mal ») reste très prenante. Mais le plus jouissif tient avant tout dans les personnages qui bien que classiques ne tombent pas dans la parodie. Kordac, par exemple, est un homme qui se cherche, qui se pose des questions et surtout qui évolue. Pas de chevaliers blancs héroïques qui doivent sauver le monde les différents protagonistes cherchent, avant tout, à tirer leur épingle du jeu.En somme très bon moment de lecture.
9
J'ai commencé ce livre, et je suis assez d'accord avec la critique de Guiz. J'aime beaucoup ce livre, je trouve au contraire l'idée originals, mais bon c'est mon avis et il n'engage que moi. Ça fait longtemps que je n'ai pas été autant emballée par un livre.Je vous conseille vivement de le lire, afin de vous faire votre propre opinion sur ce livre.
11
C'est tout de même typiquement le genre de questions où c'est avant tout toi qui peut te faire une opinion...
Peut-être que ça peut décoller selon tes goûts au 3eme chapitre, ou bien jamais.
Mais je te dirais que perso, deux chapitres, c'est malgré tout un peu maigre pour jauger le potentiel de ce roman.
D'ailleurs, à titre purement informatif - comprendre, je ne te fais pas de reproche - si la prochaine fois, tu pouvais attendre d'avoir avancé un peu plus dans telle ou telle lecture avant de commenter un roman...
Ca permet de réagir avec une meilleure idée globale de ce dont on parle, et c'est ce qu'on préfère, avouons-le. ;)Après, dans le cas présent, si après 6 ou 7 chapitres, tu trouves ça toujours aussi ennuyeux, je pense que la messe sera dite.
(Cf ma critique, où je reproche justement une sorte de " faux rythme " qui s'installe et perdure...)





12
Le deuxième tome est dispo ::arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/roman/cycle/elamia-705Il y a eu un petit problème, la note va apparaître sous peu, mais c'est 7,5/10. 

15
Et nous voilà rendus à la conclusion, avec une progression tranquille, mais pas spectaculaire...
http://www.elbakin.net/fantasy/cycle/elamia-705

16
Ce genre de fantasy me fatigue... :(Même si son auteur fait des efforts de création, comme avec des morceaux de musique : http://www.elamia.net/elamia.mp3http://www.elamia.net/Brumes_of_Talaxania.mp3http://www.elamia.net/Big_adventures_in_Consolata.mp3
18
Cette trilogie n'a pas passionné les foules, c'est le moins que l'on puisse dire...Bragelonne a sorti une intégrale qui regroupe les 3 tomes pour 25 euros, cela vaut peut-être le coup de se lancer ?
Par contre, le petit mot de Maxime Chattam vient pourrir l'illustration de couverture !(oui il fait partie de la couverture, il ne s'agit pas d'un autocollant
)

19
Commençons par le commencement :Je me suis parfaitement reconnu dans les critiques de Gillossen.De la fantasy épique classique mais solide, bien balisée mais bien carrée.Cela m’a presque reposé après les 3 tomes du sombrissime Prince du Néant et les antihéros fortsen gueule de Sam Sykes.Je regretterais presque de ne pas l’avoir découvert avec moins de kilomètres fantasy au compteur.Cela commençait bien avec un quinquagénaire amnésique, un mage septuagénaire en pleine crise existentielle et une prêtresse entre 2 âges qui ne peut plus vraiment compter sur ses charmes. Les sempiternels héros adolescents sont toujours là, mais fort heureusement ils sont loin de tenir le haut du pavé (ouf on a échappé aux Mary-Sue et Gary-Stu !).La comparaison avec Gemmell et Feist est vraiment bien vue. Cela n’atteint pas les Gemmell haut de gamme, mais cela n’atteint pas non plus les Feist bas de gamme. En fait c’est assez inégal en fonction des chapitres et des personnages mis en avant.Ainsi j’ai bien aimé :- les intrigues politiques de Corall-Medding- la méharée de Kordac ponctuée par quelques bonnes scènes d’action.- le final du 1er tomeLas, j’ai difficilement retrouvé par la suite tout ce qui m’avait plu dans le 1er tome…Effectivement, il s’installe « un faux rythme », mais le mal est plus profond qu’un problème de rythme :- moment de flottement dans les chapitres galaméhéens avec une Irina en mode Silence- passé un cap, l’avancée de l’intrigue ne se traduit pas vraiment pas une montée en puissance- l’humanisation des forces surnaturelles nuit à l’intensité et la dramaturgie du récitDéfunts, démons et dieux perdent de l’aura de mystère de danger qui devrait les caractériserToutefois dans le cas de Tormaga, à comparer avec la Kina de la Compagnie Noire, c’était plutôt visiblement assez assumé- l’univers se dévoile petit à petit, mais avec des éléments très traditionnels pour le genre (le grand vilain millénaire qui attend son heure, le méchant sorcier qui veut dominer le monde, l’ordre féminin et féministe secret…).- un style souvent trop neutre pour parvenir à sublimer les événements, très souvent amenés trop rapidement :mystère, de suspens et tension dramatique en sont ainsi considérablement amoindris.- un affreux tic d’écriture qui consiste à annoncer les choses à l’avance (surtout au début)Ex: le voyage continua, mais ils ne savaient pas que le cauchemar allait s’abattre sur eux…- la mise en retrait ou la disparition d’une foultitude de personnages secondaires « sympas » :L’intrigue est bien mise en place, cela se lit bien et cela avance vite grâce à un bon dynamisme là où dans la même veine certains auteurs radotent sur des pages et des pages de machinlogies en multipliant les longueurs inutiles.Restent aussi les clans Ols qui vont me laisser un bon souvenir.Bref, Erik Wietzel n’a pas démérité par rapport aux nombreux cycles anglo-saxons de high fantasy ou d’heroic fantasy.Elamia est presque plus aboutie que des œuvres francophones pourtant mieux écrites, plus sombres, inventives et immersives.Mais c'est en dessous d’Ayesha (ambiance arabisante, dvlpt des personnages) ou d'Hordes (invasion démoniaque, rôle des augures)Il y a pas mal de choses qui m’ont bien plu dans le 1er tome, j’aimerais bien me lancer dans Les Dragons de la Cité Rouge…Car le gros problème des auteurs français, c’est leur absence de pérennité : on a à peine le temps de découvrir un auteur, qu’il est souvent chassé des terres de la fantasy par le rouleau compresseur anglo-saxon…Erik Wietzel prouve finalement qu’on peut lire de la fantasy épique sympathique sans passer par la case traduction-importation.Cela tient bien la route : si 6 est le nouveau 7 (Gillossen Copyright) alors mettons un bon 6/10 d’ensemble..=> Si vous êtes un néophypte ou que vous avez aimé l’ami Raymond Feist, lancez-vous !
=> Si la fantasy épique ne rebute pas, vous n’avez pas grand-chose à perdre à tenter votre chance !
=> Mais si ce genre de fantasy vous fatigue (Thorondor copyright), et bien passez votre chemin… :mellow:Dernière chose, une intégrale à 25 € pour un peu moins de 1000 pages, c’était un excellent rapport qualité/prix ! 
► Afficher le texte
► Afficher le texte
► Afficher le texte
► Afficher le texte
► Afficher le texte
► Afficher le texte



20
Je viens de terminer le premier tome dont j'ai fait l'acquisition lors des Imaginales de 2006. Je l'avais fait dédicacer par l'auteur. Il me semble que j'avais assisté à un entretien avec celui-ci et c'est ce qui m'avait décidé à acheter le livre. Ce premier tome est incontestablement de qualité en reprenant des éléments traditionnels de fantasy épique tout en construisant un univers intéressant avec sa propre mythologie, ses propres enjeux. Le monde des morts Galameh avec ses deux dieux est effrayant et en même temps assez captivant. Le conflit entre Estebellia et la Hanse n'est peut être pas assez développé, j'espère qu'il le sera plus dans le tome 2. Le passage d'un personnage à un autre évite de se lasser. Ce processus rappelle un auteur comme Martin. Je n'ai pas lu Jordan mais il paraît que c'est la même chose chez lui. L'auteur a le sens du rythme. Le périple dans le désert est prenant. Le combat contre les dragons est un des passages que j'ai préféré. Les personnages ne sont pas ménagés et là encore, on retrouve un point commun avec Martin. En parlant d'eux, Kordac est évidemment la figure centrale et c'est un personnage très intéressant. J'attends de voir comment sa psychologie va évoluer. Il a un côté sombre et en même temps une sagesse certaine, du courage. J'aime le fait qu'il ne soit pas fait d'une seule pièce. Jocquinius est l'autre figure marquante de l'oeuvre. Du côté des figures féminines, ce sont Halaïa et Iriane qui m'ont le plus intéressé. J'attends de voir comment Iriane va évoluer en particulier. Je pense que la première sera encore présente. Les prêtresses laménides sont la faction féminine de l'oeuvre. Julipen n'est pas un personnage qui m'a singulièrement intéressé. Onahra est le pendant féminin de Kordac mais est moins intéressante que lui, du moins pour le moment. Bren Jackal et Jérémy du côté des "méchants" sont les deux personnages qui m'ont le plus fasciné. Le deuxième est même touchant. Golan Tark est un peu trop traditionnel, on retombe avec ce personnage dans la fantasy épique de base. L'invasion des morts en revanche est un des aspects intéressants de ce premier tome. L'auteur leur prête une psychologie, ce qui est intéressant. Il faut voir comment cela va être développé. Globalement, j'ai beaucoup apprécié ce premier tome et comme j'ai fait l'acquisition du deuxième tome récemment, je vais le lire à la suite pour ne pas perdre le fil.
► Afficher le texte