esdeo,lundi 06 juin 2005, 12:57 a écrit :Bon si tout est réinvesti dans ses projets et ne lui sert pas à agrandir sa piscine, ca peut se justifier ...

Les survivants de l'Atlantide Des Phéniciens aux Olmèques Le mystère Phénicien : Navigateurs et initiateurs du Nouveau et de l'Ancien Monde ... De la Vallée de l'Indus aux rives de l'ïle de Socotra Interview Exclusive de Jacques Hébert "L'Atlantide retrouvée" Dossier Enquête > L'énigme des crânes déformés Dossier spécial > Les Phéniciens :  A l'origine de la civilisation Olmèque au Mexique ?

De nouvelles empreintes humaines remettent en cause la théorie de peuplement de l'Amérique LONDRES (AP) - Des scientifiques britanniques ont annoncé mardi avoir mis au jour des empreintes humaines vieilles de 40.000 ans dans le centre du Mexique, une découverte qui remet en cause les études précédentes qui estiment que l'arrivée des premiers hommes sur le continent américain a eu lieu il y a environ 13.500 ans.Les empreintes de pas ont été découvertes en 2003 dans une carrière abandonnée près du volcan Cerro Toluquilla, non loin de Puebla au sud de Mexico, ont annoncé Silvia Gonzales de l'Université John Moores de Liverpool et Matthew Bennett, de l'université de Bournemouth.Les traces ont été conservées comme des fossiles dans la cendre du volcan le long de ce qui était autrefois un lac volcanique, a expliqué Silvia Gonzales.Les empreintes, désormais aussi dures que le béton, ont été trouvées sans qu'une excavation soit nécessaire, les travailleurs de la carrière ayant déjà enlevé entre deux et trois mètres de sédiments qui s'étaient déposés au-dessus de la couche de cendre.La datation au laser des empreintes remet en cause les théories sur le peuplement du continent américain. Les scientifiques ont longtemps pensé que les premiers hommes étaient arrivés en Amérique du Nord lors de la dernière époque glaciaire il y a 13.500 ans, en traversant un bras de terre dans le détroit de Béring.Selon Silvia Gonzales, ces découvertes étayent la théorie selon laquelle les premiers Américains sont arrivés par la mer, du côté Pacifique."Nous pensons qu'il y a eu plusieurs vagues de migration vers les Amériques à différentes époques et organisées par différents groupes", a-t-elle précisé. Les découvertes seront exposées cet été à la Royal Society à Londres. AP

Premier congrès international sur le mythe de l'Atlantide  ATHÈNES - L'un des grands mythes de l'humanité, celui de l'Atlantide, est étudié sur l'île grecque de Milos. Une centaine de chercheurs et universitaires y sont réunis pour le premier congrès scientifique international sur ce thème.«Il ne s'agit pas de trancher si l'Atlantide a existé ou n'est qu'un mythe, ou de la localiser une bonne fois pour toutes, ce qui serait très présomptueux pour une histoire vieille de plus de 2500 ans», a expliqué l'un des organisateurs, Spyros Pavlidis. Ce dernier est professeur de paléosismologie à l'université de Salonique.«L'objectif est de faire le tour des hypothèses, recenser d'éventuels indices fiables, examiner les sources d'inspiration», a-t-il ajouté. Ce sceptique reconnaît que «la majorité des participants penche pour la véracité de l'histoire et cherche à localiser la cité».Les travaux dureront trois jours. Ils vont rassembler notamment des sismologues, des géologues ainsi que des philosophes, des historiens et des archéologues venus d'universités des cinq continents.© ATS

Deedlit,mardi 19 juillet 2005, 19:44 a écrit :

Shinji ar Barzh,mardi 19 juillet 2005, 22:55 a écrit :A t'on déjà les premiers échos des résultats du congrès ?

Des experts établissent un «test de vérité» pour retrouver l'AtlantideAFP Athènes -- Une centaine de scientifiques participant à un congrès international en Grèce sur le mythe de l'Atlantide ont mis au point une liste de 24 critères que tout site supposé de la cité mythique doit remplir pour être crédible, a-t-on appris hier auprès des organisateurs.«Cette liste exclut d'emblée la plupart des localisations avancées jusque-là, et notamment Santorin», l'île volcanique des Cyclades revenant parmi les sites possibles dans l'immense littérature consacrée au continent englouti, a indiqué à l'AFP Spyros Pavlidis, professeur de paléosismologie à l'université de Salonique. La quasi-totalité des participants au congrès, pourtant partagés entre ceux qui croient à la véracité de l'histoire racontée par Platon, et ceux qui n'y voient, comme lui, qu'un mythe, «se sont entendus sur ces critères», a-t-il ajouté. Le congrès qui se veut le premier «scientifique» sur la question devait se conclure hier soir. Tenu sur l'île de Milos, il a réuni, outre des chercheurs indépendants, des sismologues, volcanologues ou géographes au côté de philosophes, historiens et archéologues, venus d'universités des cinq continents. Les chercheurs d'Atlantide devront notamment ne retenir «qu'une île ou les restes d'une île», ayant accueilli «une civilisation développée et maritime» et présentant «une plaine cotière entourée de montagnes tombant à pic dans la mer», a cité en exemple le géologue grec Georges Vougioukalakis. Aucune limite géographique, notamment au bassin méditerranéen, n'a par contre été retenue, a-t-il ajouté. L'inventaire a été établi «sur la seule base des écrits de Platon», a précisé Stavros Papamarinopoulos, professeur de géophysique à l'université de Patras, qui, lui, croit à l'histoire. Les participants au congrès se sont entendus sur la création d'un comité international chargé de faire passer les hypothèses sur l'Atlantide à ce détecteur de fables, dans l'attente d'une prochaine réunion, dans trois ans à Milos, a-t-il ajouté. L'objectif du congrès n'était pas «de trancher si l'Atlantide a existé ou non, ni de la localiser une bonne fois pour toutes, ce qui serait très présomptueux pour une histoire vieille de plus de 2500 ans», mais plutôt de «faire le tour des hypothèses et recenser d'éventuels indices fiables» avait expliqué à l'AFP M. Pavilidis, à l'ouverture des travaux lundi.

ARKAIM, Cité mystérieuseLe président russe Vladimir Poutine vient tout récemment de visiter l'antique cité d'Arkaim, candidate au titre de plus mystérieuse cité de la Terre (même si la concurrence est rude...). Arkaim est située aux environs de la ville de Chelyabinsk dans l'Oural, pas très loin de la frontière du Kazakhstan. Cette cité a été découverte à la fin des années 80 (elle a failli disparaître sous les eaux d'un barrage) et est bien loin d'avoir livré tous ses mystères. Cette année, une nouvelle campagne de fouilles débute qui promet d'être encore riche en découvertes. La cité est actuellement datée (officiellement) de 40 siècles environ ce qui la rend contemporaine de Babylone. D'après les fouilles archéologiques entreprises, le peuple qui a habité Arkaim était le représentant d'une des plus anciennes branches de la civilisation indo-européenne. Arkaim s'est révélée être non seulement une ville, mais également un temple et un observatoire astronomique. Un vol au-dessus de la cité à bord d'un hélicoptère donne une impression incroyable car, sur la vallée, des cercles concentriques énormes apparaissent nettement et semblent enclore la ville. On ne sait toujours pas, quelle en était la fonction, s'ils ont été construits dans un but défensif, scientifique, ou rituel. Les maisons disposaient, si l'on peut dire, de tout le confort (un accès à l'eau potable sous forme de puits intérieur, un four, une zone en forme de dôme pour le stockage de la nourriture, un complexe réseau d'égouts, etc...). La forme circulaire semblait particulièrement privilégiée et seule la place centrale était carrée. Les traces de feux implantées suivant une disposition spécifique sur cette place montrent que l'endroit a été utilisé pour certains rituels. Il semble également que les archéologues aient remarqué sur le site certains alignements de type astronomique. Peut-être est-ce pour cela que les "ufologistes" se précipitent à Arkaim, certains d'y voir un lieu d'atterrissage d'OVNIs et mesurant déjà des variations du champ magnétique terrestre, des fluctuations de température, de conductibilité du sol, et autres paramètres... Les "atlantophiles" ordinaires se contenteront, en attendant plus d'informations, de rester quelque peu songeurs devant ces levées de terre et ces fossés circulaires concentriques...

La candidature de cette île méditerranéenne a cependant une sérieuse limite : aucune trace de construction humaine n’a été détectée sur Spartel, a précisé Marc-André Gutscher à l’occasion d’une conférence consacrée à l’Atlantide qui s’est tenue ce mois-ci en Grèce.