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Moi j'ai voté pour le 4, pour les mêmes raisons que celles qui ont déja été données: L'arrivée d'un style plus 'adulte', un livre plus gros qui permet de développer des aspects des relations entre les personnages de manière plus détaillée, le côté plus 'noir' qui manquait avant, il fait nettement moins bisounours que les précédents 
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Moi, j'ai voté pour le 5.J'hésite beaucoup entre le 4 et le 5. C'est vrai que l'ambiance de compétition, etc donne vraiment un plus à la coupe de feu.
T'as raison Digarl. Mais je trouve que c'est encore très "scolaire" dans le 4.Mais je préfère le côté encore plus tragique du 5. En plus on sent que l'intrigue principale (Voldemort vs Harry) avance vraiment plus.Voilàil fait nettement moins bisounours que les précédents
J'ai voté pour le 4 car l'action est trop peu présente dans le 3 (ce n'est,encore une fois, que mon simple avis).48
Comme toujours, il faudrait l'avoir lu avant de juger, mais la seconde partie, et les histoires de fuite de la réalité, que ça soit pour Harry Potter ou autre d'ailleurs...PARIS (AFP) - Les aventures d'Harry Potter, l'enfant-sorcier, ont séduit l'imagination de millions de lecteurs à travers le monde mais elles ont une autre résonance pour un pédopsychiatre, Eric Auriacombe, qui vient de se livrer à une analyse psychanalytique et même psychopathologique de la saga.Dans "Harry Potter, l'enfant-héros", l'auteur des "Deuils infantiles", explique l'engouement des jeunes pour le personnage créé par Joanne Kathleen Rowling par des ressorts psychiques et il revisite toute l'histoire magique à la manière d'une psychanalyse. Ainsi, dans une première partie intitulée "Qui est Harry Potter?", il présente le jeune garçon comme un enfant traumatisé par la mort de ses parents, incapable de faire son deuil, coupable d'être un survivant et somatisant. Il le présente aussi comme un enfant anormal, rejeté et maltraité par son entourage. La seconde partie, "l'univers de Harry Potter", montre l'univers des sorciers comme un monde irréel où l'on se réfugie pour mieux nier la réalité, pour préserver aussi les rêves d'enfance face aux adultes, où l'on concocte des sortilèges et où on évoque des créatures fantastiques. Eric Auriacombe parle aussi de la hantise de grandir, de la difficile identification au père, du désir de parricide et même d'une certaine schizophrénie. Ainsi, il voit l'archétype du mal, Lord Voldemort, comme un double-miroir du héros. S'appuyant sur de nombreux passages de la série et citant à l'appui de ses thèses Bettelheim, Derrida, Freud, Lacan, Tisseron... l'auteur invite à une autre lecture et plonge son lecteur dans l'univers fantasmatique des enfants. ("Harry Potter, l'enfant-héros", par Eric Auriacombe, Puf, 144 pages, 14 euros)
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C'est clair, tout ça m'a l'air un peu bateau, pas du tout profond... d'ailleurs ça s'applique à trop d'ouvrages pour qu'on puisse s'appuyer uniquement sur HP ! Et vas-y que je te sors les grands mots qui font sérieux : psychopathologique, schizophrénie ( 
), Freud, Lacan, etc...Bref, ça m'a tout l'air encore d'un gars qui essaie de se faire la tune sous le dos d'HP avec une étude psy à 2 balles... Mais de toute façon c'est de plus en plus le cas avec les ouvrages PUF alors.... <_<Et pis c'est pas pour dire, mais 14 euros pour lire un pipotage cul-cul pareil 
M'enfin vous allez me dire, ils ont peut-être juste raté leur résumé
Et vas-y que je te sors les grands mots qui font sérieux : psychopathologique, schizophrénie ( ), Freud, Lacan, etc...Bref, ça m'a tout l'air encore d'un gars qui essaie de se faire la tune sous le dos d'HP avec une étude psy à 2 balles... Mais de toute façon c'est de plus en plus le cas avec les ouvrages PUF alors.... <_<Et pis c'est pas pour dire, mais 14 euros pour lire un pipotage cul-cul pareil M'enfin vous allez me dire, ils ont peut-être juste raté leur résumé 50
J'ai voté pour l'Ordre du Phoenix. Je sais ( et les résultats le confirment ) qu'il est le mal aimé de la série et pourtant il m'a conquise définitivement. Même si Le Prisonnier d'Azkaban est aussi mon chouchou, le n°5 est original, très différent des autres, très dense. Il peut donner une impression de vide et de lenteur alors que au contaire c'est de l'absolu concentré. Il faut le lire lentement et plusieurs fois. Certes Harry est irritable , capricieux et autoritaire, mais considérant son âge et ce qu'il vient de vivre l'année précédente on le serait à moins ... et puis ... j'ai une grande tendresse pour l'AD
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Ce qui m'amuse, c'est que j'ai entendu ce matin à la radio que l'un des problèmes des jeunes sans repères (cf les incidents actuels) était qu'il n'avait eu personne pour développer leur imaginaire en leur lisant une histoire avant de s'endormir par exemple. Car la "fuite du réel" est une nécessité pour se construire d'après certains pédopsychiatres... Comme quoi, on peut faire dire tout et son contraire à un ouvrage, selon le point de vue qu'on adopteGillossen,samedi 12 novembre 2005, 18:58 a écrit :Comme toujours, il faudrait l'avoir lu avant de juger, mais la seconde partie, et les histoires de fuite de la réalité, que ça soit pour Harry Potter ou autre d'ailleurs...
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Ce qu'il y a de risible avec la psychanalyse c'est qu'on lui faire dire tout et n'importe quoi .... 
Il était étonnant que Harry Potter ait jusque là échappé à ce genre de passage à la moulinette...Le sujet a l'air traité d'une manière tellement simpliste, malgré tous ces grands mots et grands noms ajoutés pour le rendre crédible, qu'il suffirait de changer Harry par n'importe quel héros d'aventure et on obtiendrait toujours la même chose... Bref, encore un ouvrage qui surfe sur la vague Harry Potter et celle, malheureusement abondante, des pseudo analyses littéraires...Mais qui sait peut-être suis-je horribelement mauvaise langue et que nous voici là en face d'un ouvrage révolutionnaire ? 
Il était étonnant que Harry Potter ait jusque là échappé à ce genre de passage à la moulinette...Le sujet a l'air traité d'une manière tellement simpliste, malgré tous ces grands mots et grands noms ajoutés pour le rendre crédible, qu'il suffirait de changer Harry par n'importe quel héros d'aventure et on obtiendrait toujours la même chose... Bref, encore un ouvrage qui surfe sur la vague Harry Potter et celle, malheureusement abondante, des pseudo analyses littéraires...Mais qui sait peut-être suis-je horribelement mauvaise langue et que nous voici là en face d'un ouvrage révolutionnaire ? 53
Deux choses quand même qui méritent d'être préciséesalmaarea,dimanche 13 novembre 2005, 20:19 a écrit :Ce qu'il y a de risible avec la psychanalyse c'est qu'on lui faire dire tout et n'importe quoi ....
:- La psychanalyse est une science qui obtient de bons résultats, pouvu qu'elle soit pratiquée avec "neutralité" et professionnalisme- Je ne pense pas qu'il s'agisse d'une première pour Harry Potter dans le genre analyse douteuse, la vague étant porteuse depuis la parution du troisième tome, mais c'est vrai qu'on en a assez peu parlé ici. 54
Je suis tout à fait d'accord avec toi !La psychanalyse est une science qui obtient de bons résultats, pouvu qu'elle soit pratiquée avec "neutralité" et professionnalisme
Mais ce qui est malheureux c'est qu'elle soit utilisée à toutes les sauces Sous couvert de faire de la "psychanalyse" nombre de personnes aujourd'hui pratique ce que j'apelle l'analyse littéraire "bla-bla". Parce qu'ils citent Freud, Lacan et cie ils réinterprètent de manière tout à fait stérile les textes. Je me disais bien aussi que ça aurait été trop beauJe ne pense pas qu'il s'agisse d'une première pour Harry Potter dans le genre analyse douteuse, la vague étant porteuse depuis la parution du troisième tome, mais c'est vrai qu'on en a assez peu parlé ici.
C'est que ça se vend bien ce genre d'écrit... 55
Ceux qu'il faudrait psychanaliser c'est surtout ceux qui achètent ces analyses...(J'édite pour pas refaire un message mais c'est vrai que je suis toujours un peu enervé contre ce genre d'analyse, alors j'ai pas vraiment expliqué mais... : )Bon c'est vrai que ça m'enerve qu'on achète ces trucs, surtout parce que je vois ça un peu comme un formatage de ceux qui ne connaissent pas la fantasy et leur donnent un à priori défavorable de ce genre littéraire. C'est un peu une prise de parti du monde "intellectuel", qui donne du sérieux à ces analyses, et auxquels les gens croient, sans que ni ce monde freudien ni les gens qui lisent leur analyse n'y connaissent grand chose (enfin, à les lire, c'est l'impression que ça me donne).Ce que je voulais dire c'est que pour moi il faudrait tout autant psychanaliser ceux qui sont réfractaire à la fantasy, que ceux qui ne le sont pas. En plus c'est quand même beaucoup plus chiant à lire qu'un bon livre de fantasy
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Mouais... 
Remarque un peu limite et qui ne fait vraiment pas avancer le débat... Comme partout, il doit y avoir du bon et du moins bon, et en arriver à s'en prendre aux lecteurs... Ne serait-ce que par curiosité, ou pour savoir de quoi on parle, je ne vois pas le mal à lire de pareils ouvrages. Bon, ensuite, carrément acheter, là... 
Bref.
Remarque un peu limite et qui ne fait vraiment pas avancer le débat... Comme partout, il doit y avoir du bon et du moins bon, et en arriver à s'en prendre aux lecteurs... Ne serait-ce que par curiosité, ou pour savoir de quoi on parle, je ne vois pas le mal à lire de pareils ouvrages. Bon, ensuite, carrément acheter, là... Bref.
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Ca va être un monstre "the ultimate Harry Potter", si j'additionne toutes les pages, ça va chercher dans les .....en estimant que le tome 7 fasse dans les 600 pages.....un peu plus de 3000 pages, soit 2,3 fois le seigneur des anneaux, les tomes 1 à 8 de l'assassin royal....Ca peut pas tenir en une couverture, même relié toile, ce serait importable !! Quoique, si c'est fait pour être collector et jamais lu, a doit pouvoir se faire
