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Ca fait bien 8 jours maintenant que la critique devrait être en ligne, mais je ne peux pour l'instant toujours que vous présenter ledit tome 2...

Le jeune naturaliste farrois Tristam Flattery a traversé les océans en quête de la regis, cette plante de longévité qui entretient des liens mystérieux avec les arts des mages présumés disparus.Mais, sur l’île paradisiaque de Varua, les cultures farroise et insulaire peinent à se comprendre, et la regis, frappée d’un très lourd tabou, éveille les rivalités. Tristam, lui, lutte contre le don qui veut éclore en lui contre son gré.Pendant ce temps, en Farreterre, les factions rivales de la cour sortent de l’ombre. L’enjeu de leur affrontement n’est rien moins que le contrôle des pouvoirs incommensurables des mages, pouvoirs qui rompraient l’équilibre fragile des nations de la mer Entyde.De part et d’autre du globe s’engage alors une course insensée pour le savoir et l’avenir même du monde.Entre intrigues politiques, occultisme et exotisme, Une mer sans rivage conclut de manière spectaculaire et radicale l’aventure débutée dans Un monde sans fin.
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L'occasion de remettre en avant la critique du premier, je ne l'avais pas remarqué la première fois. :)La conclusion m'intrigue et le scénario a l'air intéressant. Sans compter le fait que l'histoire se termine en deux tomes si j'ai bien compris, ce qui n'engage pas à attendre la suite. Enfin de toute façon ma liste de lectures est bien remplie et pour un bon moment. 

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Ce n'est pas grave Gillo!
pour ceux qui comme Zedd hésitaient en attendant la critique du tome 2 je tiens d'ores et déjà à dire que ce second volume confirme et renforce la bonne impression du tome 1 avec un cadre politique et ésotérique plus poussé qui souligne la richesse du récit. Après, bien entendu il ne faut pas être rebuté par le style lent de Sean Russell, mais le voyage en vaut la peine. 


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Finalement, la voici, en attendant un présentation plus conforme à d'habitude...
http://www.elbakin.net/fantasy/cycle/un ... ns-fin-464

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Le premier livre d'un second cycle de Sean Russell vient de paraître en la fin de ce mois de janvier. Reprenant les aventures d'Erasmus Flattery, le grand père de Tristan Flattery le héros du premier cycle, il permet de mieux comprendre les évènements d'un Monde sans Fin. Le titre est Sous les collines voûtées. 

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J'ai déjà les 2 ouvrages en main, il ne reste plus qu'à les lire. Mais je suis curieux de savoir s'il ne serait pas plus intéressant de commencer par ce second cycle (pour les romans de Pern, cela a fonctionné à merveille
).Je vais donc attendre de voir ce qu'il en est de cette sortie pour me lancer dans l'aventure. ;)Merci Belgarion !

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David Ferrer, qui affronte demain le français Gaël Monfils est un gros lecteur et a dit aujourd'hui être en train de lire "Un monde sans fin". Mais je ne sais pas si c'était celui-là. 

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Suite et nouvelle critique de Belgarion !:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/cycle/so ... outees-279
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J'avais lu Le frère initié avec beaucoup de plaisir, et j'en garde un excellent plaisir, et fait partie des livres que j'aimerais relire si la liste en attente n'était pas si longue et sans fin. :)Je viens de lire Sous les collines voûtées, bon je commence à l'envers pour l'ordre d'écriture par hasard, en commençant par les préquelles.Un grand bonheur de retrouver l'écriture de Sean Russell, une douceur, comme dit Gillossen dans sa critique pour le cycle La guerre des cygnes : une lenteur calculée, mais loin d'être ennuyante, une richesse cachée, distribuée avec précision.Sans doute, que certains trouveront un rythme trop lent, ennuyant, mais mais ce fut un plaisir d'avancer à ce rythme, l'ambiance est au rendez-vous : la beauté des endroits, la chaleur des cheminées, la musique naturelle des lieux. :)Les amateurs de Jonathan Strange & Mr Norell y retrouveront une ambiance similaire.
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Moins porté par l'ambiance par ce deuxième tome "Le compas dans l'âme", mais ce fut encore une fois un plaisir de suivre ces personnages porté par cette magie, cette légèreté, ce calme apparent et apaisant.Sean Russell confirme encore une fois qu'un rythme lent ne signifie pas forcément ennui. C'est sûr que ceux qui veulent du sang, de l'action, ici ils n'auront pas leur dose. :)Mais si vous cherchez à être envouter, c'est à essayer.
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J'ai retrouvé un Monde sans fin et une Mer sans rivage bien planqués dans un carton.J'ai bien envie de donner mon avis sur ce diptyque, mais cela remonte à loin dans ma mémoire ! :mellow:J'ai bien aimé la comparaison d'Oceliwin avec Jonathan Strange & Mr Norell, mais au vue de la chaleur toute empreinte de mélancolie que dégagent les personnages, j'aurais volontiers comparer Sean Russell avec G. G. Kay(les 2 auteurs étant comme par hasard tous les 2 de nationalité canadienne...)J'aimerais aller plus loin dans l'analyse, mais faute de piqure de rappel cela va être un poil compliqué quand même.Si quelqu'un veut bien raviver mes souvenirs sur cette série, je suis preneur... (Belgarion, si tu m'entends me lis...)