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Merci pour l'interview et sa traduction. :)Il n'y a pas de spoilers dans l'interview, elle peut être lue sans soucis. ;)Pour les problèmes de traduction, avec le "tu" et le "vous", c'est vrai que les traducteurs doivent souvent être confrontés à ça, et il vaut mieux bien y réfléchir, ça donne parfois des résultats étranges.
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Fini!Très bon premier tome! :)Des persos forts, de l'humour noir, de la magie, de la politique, des combats, un monde cohérent,.... Si ce n'est pas très original, au moins c'est réussi. L'auteur se permettent même de tordre le coup à certains clichés. Comme je l'ai déjà dit le personnage de Glotka est très réussi, celui de Logen aussi d'ailleurs. J'ai un peu plus de mal avec Jezal qui m'énerve assez souvent. La fin laisse présager que le meilleur est à venir. Et franchement je l'espère, car cette série a tout pour réussir! :)ZeddP.S. : J'adore la fin de la quatrième du tome 2 
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"j'ai lu" fait ptet son possible pour le lancement en vf sauf au niveau des couvertures 
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Moment amusant hier matin. A la recherche d'infos, je suis tombé sur un article dont l'entête précisait l'achat des droits d'un roman intitulé "The Blade Itself" pour le cinéma...Mais comme Joe Abercrombie l'a fait remarquer sur son blog hier, ce n'était pas le sien. 
The Blade Itself to be Filmed!Yes, you read that right. No lesser light of Hollywood than Ben Affleck is due to take the director's chair in a dramatisation of The Blade Itself. Brilliant news, one would've thought? So am I dancing around all over the house, or rolling about in a bath of 1,000 dollar bills today? Well, not so much. The tiny problem?The book that's being adapted isn't Joe Abercrombie's ctically-acclaimed edgy debut fantasy, The Blade Itself, but Marcus Sakey's critically-acclaimed edgy debut thriller, The Blade Itself.Say it with me now...CURSE YOU SAAKKKEEEEYYYYYYY!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Still, you've got to look on the bright side. I suppose, if the film does get made, there are bound to be people who mistakenly buy my book looking for his. Mmmmmmm ... mistake royalties ... there's no fruit sweeter than the one earned by accident and completely undeserved.
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J'ai reçu le dernier tome Last Argument of Kings, et l'ai commencé dans la foulée. Dès les premiers chapitres on retrouve toute la force d'Abercrombie : des personnages hauts en couleur, cyniques à souhaits... que du bon pour le moment ! :DEt bravo à Gollancz (oui je sais je répète ça trois ou quatre fois par mois 
) pour la couverture, absolument sublime avec ses reflets dorés.
) pour la couverture, absolument sublime avec ses reflets dorés. 57
Nouvelle interview... avec le bon lien cette fois !http://www.elbakin.net/fantasy/news/Joe ... rnier-tome
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Jamais je n'ai aussi bien compris et n'ai été aussi d'accord avec une interview d'auteur. Tout ce que dit Abercrombie, je l'ai vraiment ressenti dans la lecture du dernier tome, The Last Argument Of Kings. Pour la petite anecdote, ce titre fait référence aux inscriptions que Louis XIV faisait graver sur ses canons. :DCe troisième tome est vraiment étonnant, et laisse un étrange sentiment en le refermant, un mélange de : "ce bouquin est vraiment très bon" avec "Abercrombie, you fucking bastard" 
(je ne fait qu'utiliser le langage de l'auteur 
) Je m'explique : l'histoire est vraiment excellente, le rythme effréné, il se passe vraiment trop de choses, les personnages sont toujours aussi bons.Oui mais voilà, au lieu de respecter les codes du genre, Abercrombie fait tout péter. 
On découvre la face cachée de certains personnages que l'on suivait depuis le début, et qui est vraiment loin d'être reluisante, nos "héros" sont loin de finir avec le traditionnel "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants" et on est donc plongé de plein pied dans le cynisme, la noirceur, la désillusion, la résignation, l'amertume, etc...Le résultat est étonnant, car on subit de plein fouet l'histoire, on en vient à détester des personnages que l'on aimait au début, et on referme le livre avec tout un mélange de sentiments qui changent d'une lecture habituelle.Le monde d'Abercrombie est réel et sombre, on n'est vraiment pas dans un conte de fée.Bref la lecture fut excellente, j'en redemande.
(je ne fait qu'utiliser le langage de l'auteur ) Je m'explique : l'histoire est vraiment excellente, le rythme effréné, il se passe vraiment trop de choses, les personnages sont toujours aussi bons.Oui mais voilà, au lieu de respecter les codes du genre, Abercrombie fait tout péter. On découvre la face cachée de certains personnages que l'on suivait depuis le début, et qui est vraiment loin d'être reluisante, nos "héros" sont loin de finir avec le traditionnel "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants" et on est donc plongé de plein pied dans le cynisme, la noirceur, la désillusion, la résignation, l'amertume, etc...Le résultat est étonnant, car on subit de plein fouet l'histoire, on en vient à détester des personnages que l'on aimait au début, et on referme le livre avec tout un mélange de sentiments qui changent d'une lecture habituelle.Le monde d'Abercrombie est réel et sombre, on n'est vraiment pas dans un conte de fée.Bref la lecture fut excellente, j'en redemande. 
