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Daryan a écrit :Pas épique pour un sou ? :huh:Probablement l'un des cycles les plus épiques qu'il m'ait été donné de lire.
Oops j'avais complètement zappé les questions désolé :)Pour moi le cycle de Zindell n'est pas épique car si l'enjeu est à l'échelle mondiale (sauver le monde ) l'histoire se base sur une "aventurie" plus que sur un grand schéma. Epique pour moi c'est ça un grand schéma que l'on peut retrouver dans du Erikson Mais même si on met de côté les aspects grandioses délaissés par le roman on peut retrouver de l'épique dans du Howard (Conan), du Tolkien bien sûr, du Martin, du Bakker, du Gemmell et dans bien d'autres livres où ce sera soit la construction du récit, l'écriture ou les actions du héros qui rendent le tout épique.Ici si la quête est bien sûr titanesque au niveau du héros, son histoire est rafraichissante et presque comme dans un souvenir mais on reste somme toute sur une action à petite échelle.Au final c'est surtout le ressentit de lecture bien sûr.Peut-être est-ce du au style ou à la propension du roman à somme tout être assez moralisateur/gentil qui fait passer les moments plus actifs pour des anecdotes je ne saurai le dire mais ce n'est clairement pas un roman que je recommanderai pour son côté action, réaliste ou grande echelle. Malgré des qualités bien présentesDaryan a écrit :Peux tu m'indiquer une oeuvre que tu considéres comme épique, de manière à avoir des critères de comparaison ?
Après bien des mésaventures, Valashu et ses compagnons sont de retour à Mesh avec la fabuleuse Pierre de Lumière. Cette puissante relique en forme de coupe dorée devrait enfin apporter la paix tant espérée aux neuf royaumes d’Ea. Mais pour Val, la mission n’est pas terminée. La Pierre de Lumière ne révèlera pas si facilement ses secrets. Ses pouvoirs ne pourront être utilisés qu’avec l’aide d’une figure de légende, le Maitreya. Mais qui est-il vraiment et où le trouver, voilà une nouvelle énigme pour Val et ses compagnons…
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