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Chant du cygne me semble convenir à cette trilogie surtout quand on lit l'épilogue : j'avais l'impression de voir Stella Gemmell. :(Et j'ai vraiment apprécié moi aussi l'"audace" de l'auteur, notamment sur l'identité de Gershom. .
Avec l'âge, cet auteur s'est vraiment amélioré. Dommage que ça soit déjà fini. 
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
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Bien mais sans plus.
C'est un peu "en bazar ".Je m'explique: dans les romans précédents , David Gemmell articulait souvent son récit autour de quelques personnages (dans le 1 Hélicon, Andromaque et Argurios , et dans le 2, Calliadès, Banoclès et Calliope ) , en en fessant graviter d'autres autour. Là , ils sont tous en vrac et leurs actions en quelque sorte dissociées . Andromaque se "dilue" et c'est dommage .La Guerre de Troie m'a déçue même si le "Cheval" était ingénieux. Mon avis sur l'épilogue est le même que Gouki . En bref ; j'ai lu ce que je voulais voir mais pas plus , et c'est un peu dommage. 
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Je l'ai fini il y a quelques jours déjà mais n'ai pas encore eu le temps de poser mes idées de manière structurée pour une critique.Quoiqu'il en soit, en vrac
:On retrouve tous les personnages dont Gemmell a brossé le portrait durant les deux tomes précédents et chacun rencontre sa fin d'une manière qui lui est propre. Aucun n'est laissé à l'abandon et même si le livre devient beaucoup plus dense, l'émotion est à son comble.Nous entrons enfin de plain-pied dans la Guerre de Troie avec les subtiles différences qu'introduit Gemmell, prenant volontairement le parti de restituer ici non plus un récit épique et mythologique dans la lignée homérique, mais bien une histoire aussi réaliste que possible. J'ai été tout simplement transporté durant ma lecture, à une autre époque. Le souffle que les auteurs ont réussi à transmettre dans ce dernier volume est magistral. Je ne sais absolument pas faire la distinction entre les parties écrites par David et celles qui le sont par Stella, mais je suis de l'avis de Gouki également concernant l'épilogue. D'ailleurs il m'en a rappelé un autre (enfin, ce qui pourrait être un épilogue...).Pas une seule fois je n'ai eu l'impression d'avoir été trahi dans le déroulement de l'histoire. Les rebondissements amenés par Gemmell arrivent à point nommé et les différences avec l'Illiade trouvent leur justification dans la manière dont elles sont amenées et le style de narration qu'à choisi l'auteur.Parmi mes passages préférés, je ne peux m'empêcher de citer le combat entre Achille et Hector La vision de la fameuse ruse d'Ulysse et du Cheval de Troie est tout aussi surprenante et intéressante. Et une mention spéciale au personnage de Gershom Je n'ai pas eu, comme Alice, d'impression de vrac. L'histoire passe d'un personnage à l'autre en gardant son intégrité et sa chronologie. D'ailleurs il y a souvent un jeu habile de l'auteur pour resituer le moment de l'action C'est un magnifique roman, encore une fois. Un testament littéraire, un chant du cygne, une oeuvre magistrale qui se clôt d'une façon inoubliable. Merci monsieur Gemmell de m'avoir fait rêvé et merci à madame de nous avoir, malgré tout, livré l'ultime tome d'une vie d'écriture.
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"Il n'existe rien au-dessus du métier de bibliothécaire" Terry Pratchett
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Tome 2 fini hier soir, tome 3 entamé dans la foulée...Quelle lecture!!!! Rien n'est épargné aux protagonistes et je me surprends à penser "Mais c'est pas vrai quand ça va s'arrêter pour lui, pour elle..."... Une vraie immersion autour de la Grande Verte et avec tous ses héros!!!!Merci Mr GEMMELL!!!!!!!!!!
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David Gemmell nous a quitté avec sans doute comme meilleure oeuvre sa relecture de l'Iliade :Tome 1 : la claque !Un roman historique (pas de fantasy, pas de fantastique) et un film d'action et d'aventures (naviguer sur la Mer Egée avec commerçants, pirates et tempêtes, intrigues et complots de Mycènes à Troie, traquenards et combats...).Enée, Andromaque, Agamemnon, Priam, Ulysse, Hector... Ils sont tous là avec les ajouts de Gemmell et Moïse en guest star !!!Non seulement il réinvente tous ces personnages de façon aussi crédible qu'intéressante, mais en faisant d'Enée le personnage principal il respecte le sens des œuvres antiques tout en faisant preuve d'originalité.Non seulement il s'affranchit de l'œuvre originale pour nous surprendre à chaque chapitre mais en plus il l'enrichit en ajoutant l'Égypte, l'Empire Hittite et l'Occident au cadre historique et géographique.Tome 2 : la confirmation !Une ellipse initiale difficile à digérer, une longue suite d'intrigues entremêlées, et enfin une campagne de Thrace dantesqueSi tout le roman avait été du niveau de la 3ème partie on aurait tenu un livre d'anthologie !!! (mais ne l'est-il pas déjà ?)Tome 3 : l'adieu !Script inachevé de David Gemmell oblige, mais complété par Stella Gemmell, le 3ème est un ton en dessous des 2 autres- l'impression récurrente de lire la novelisation du film "Troie" de Wolfgang Petersen- une forte impression de déjà-vu quand au sort de Troie (copié-collé entre la fin du tome 1 et la fin du tome 3 ?)- une surprise bien moindre car ici les événements sont plus proches du récit originel (même si on parvient encore à faire dans l'original comme le duel Achille vs. Hector et le Cheval de Troie...)- Gershom fil conducteur de la saga, qui nous avait introduit dans cet univers dans le tome 1 et qui avait sauvé Enée dans le tome 2 est ici quasiment absent- de manière général on ne retrouve pas cet équilibre entre les différents personnages et dans les différences de rythme : certains personnages ne se laissent pas suivre facilement (comme les anciens compagnons de la campagne de Thessalie...), apparaissent de façon un peu décousu (Khalkéus ou même Priam...) ou disparaissent du récit sans qu'on connaisse leur sort avec précision (les rescapés thessaliens...)Mais pour une fois on a droit à une fin beaucoup moins gnangnan que d'habitude et cela c'est bien !Un cycle vivement recommandé !
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Pfouuuuuu.... Quelle claque... Je viens de tourner la dernière page et je ne peux m'empêcher de penser à Stella Gemmell... Tout d'abord merci à elle d'avoir eu le courage de se lancer pour permettre la parution de cette oeuvre avec toute la peine qu'elle a du ressentir...On parle bien ici d'Oeuvre... De la réussite ultime d'un carrière littéraire qui nous fait encore plus regretter le départ prématuré d'un géant de la fantasy!Comme il a déjà été dit, cette revisite de l'histoire de Troie avec des touches personnelles est énorme... On plonge dans la Grande Verte immédiatement, on se prend à naviguer sur le Xanthos, à frémir devant les armées aun pied des murs...Comme je l'avais déjà dit, rien n'est épargné aux protagonistes et on sait ici que l'on n'aura pas de renversement de situation malvenu, tout est inéluctable et c'est ce qui rend cette lecture si réaliste mais également si amère... On prend parti pour certains en les sachant condamnés... Pour en revenir aux protagonistes, pas un n'est superflu, tout le monde a un rôle à jouer dans l'Histoire... Je n'ai pas eu une impression de fouilli dans le troisième tome, tous les destins s'entremêlent... Il est vrai également qu'Mention spéciale pour le personnage de Banoclès et son dernier rôle dans l'histoireJe n'en dirai pas plus car tout se retourne dans ma tête (lecture terminée il n'y a pas 5 minutes) mais il y avait longtemps que je n'avais pas dévoré une lecture de la sorte...Merci Mr Gemmell vous m'avez fait découvrir la fantasy avec Légende et vous m'avez fait rêver, pleurer... avec Troie... MERCIPS :
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Misanthrope, je tiens a être précis : je ne pense pas que ce 3ème tome est fouillis, c'est plutôt que la mécanique est moins fluide que dans les 2 autres (pour les raisons que l'ont sait...) et qu'on a pas la connaissance précise de la fin de certains personnages secondaires (c'est pas très grave, et cela c'est déjà vu dans d'autres romans de Gemmell)Par contre j'ai un trou de mémoire :Concernant ton post scriptum :
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Il ne s'agit pas de ... je m'en excuse, c'est une erreur de ma part...Pour te répondre Albéric, je n'ai pas retrouvé le passage exact mais Pour mon PS, même si je m'intéresse à l'histoire, je n'en connais pas autant que ce que tu as peu me livrer dans ton post merci pour ces éclaircissements, je comprends mieux maintenant...
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J'ai terminé le premier tome hier et ai directement entamé le deuxième. Que dire de plus? Je crois qu'assez de personnes se sont exprimés sur le sujet dans ce post, mais on ne répètera jamais assez qu'avec ce "testament" littéraire, Mr Gemmell a mis tout le monde d'accord.Personnellement et en dehors de toutes ses qualités, je trouve que ce livre est surtout marquant par sa sincérité. J'ai en effet eu, par moments, la sensation que David Gemmell mettait ses sentiments à nu via ses personnages, et donc se livrait à une certaine forme d'introspection. Je ne sais pas comment expliquer ça, mais on peut facilement supposer qu'un auteur comme Gemmell (et comme d'autres), avec son vécu, a dû parcimonieusement distiller des fragments de lui même et de ses expériences dans l'histoire de ses personnages. Une claque pareille incite tout lecteur normalement constitué à tendre l'autre joue, de fait, j'y retourne de ce pas.
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Lecture complète du cycle et bien entendu, je ne peux que vivement le conseiller. Comme tout le monde, je trouve que l'on baisse en intensité et en fluidité arrivé à la fin du second tome, écueils que l'on retrouve de manière plus récurrente dans le troisième volume, mais ne nous y trompons pas, Troie est un cycle dont on ne peut pas faire l'impasse.Il faut reconnaître (dans La Chute des Rois) que Stella Gemmell a réussi à tirer son épingle du jeu en parachevant honnorablement, et de manière cohérente un récit aussi épique qu'intense. Elle a su, je pense, restée fidèle à la vision de son mari, et l'aboutissement de cette saga est tout autant une conclusion nécessaire à un cycle de cette qualité, qu' un hommage à David Gemmell. Encore bravo pour cette épopée bourrée d'héroïsme, de combats épiques et désespérés, d'humanité et de fatalité, et merci pour cette réécriture où tragédie et odyssée se mélangent dans une explosion purement homérique
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La qualité du Troie de David Gemmell me fait encore davantage regretter la disparition de l'auteur. :(En s'orientant vers un style plus historique que fantasy, il avait trouvé un second souffle qui laissait augurer du meilleur.Il avait un projet de roman sur l'empereur Constantin, l'empereur romain qui s'est converti au christianisme mais qui a aussi dégouté les Romains des jeux du cirque par la surenchère des spectacles proposés, et qui a réussi à convertir Julien l'Apostat au paganisme par la multiplication des assassinats et exécutions au sein de sa propre famille.Rome au Bas Empire vu par Gemmell cela aurait été particulièrement intéressant...
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Je me suis enfin laissé tenter par cette revisite de la guerre de Troie version Gemmel. J’ai trouvé ce 1er tome plutôt introductif, dans le sens où on n’entre pas vraiment dans le vif du sujet de la Guerre de Troie (du moins, la partie que je connaissais) mais on découvre plutôt des personnages, ou plutôt des héros, ainsi que tout un univers antique. A ce niveau là d’ailleurs, on a plus l’impression de lire un livre historique que fantasy.L’histoire est vraiment rapide, on se concentre sur l’action, il y a très peu de temps mort. On est ainsi baladé à travers la Grande Verte sans perdre son temps dans des aller et retour incessants. Plusieurs indices sont disséminés pour la suite des évènements connus et qui laisse présager la fameuse guerre de TroieC’est un bon roman pour introduire les personnages, mais j’attendais une intrigue plus fournie pour une trilogie. La suite donc remédiera peut-être à cette légère déception.