
nan! n'abandonne pas, petit scarabée (si tu veux bien me permettre, vu mon grand âge)Bienvenue au monde merveilleux de la BCF (big commercial fantasy),qui tous, nous - a indigné - indigne - indignera :(Mais, l'édition doit vivre, et ce n'est pas, en France, un secteur qui mérite d'être stigmatisé pour ses profits honteux (surtout les ptits!)Je sais qu'il y a d'excellentes médiathèques dans les grandes villes,et -autrefois?- le"forcing" auprès des bibliothécaires pour obtenir l'achat de livres convoités marchait très bien! :gimli:Sinon, il y a les "grandes enseignes" d'occas, les brocantes, les amis? Perso, j'essaie de privilégier les auteurs français : Damasio, Jaworski (essaie Janua vera en folio junior, avant "gagner la guerre") Gidon, Noirez...mes grosses déceptions viennent surtout de la manière dont sont écrits les romans traduits :"le nom du vent" n'est pas une arnaque : pas de découpage, un solide "back ground" mais il me laisse insatisfaite, Pareil pour "les cités de lumière" l'écriture est pauvre, et ça me "casse" tout plaisir.Et il y a les poches! Courage, haut les coeurs!J'ai ce tome 5 en "couvaison" et Zindell est un auteur qui me réjouit j'ai un peu peur que, si on ne l'achète pas, la traduction soit interrompue comme pour "les livres malazéens"