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Tiens, vu que l'année touche à sa fin, j'ai regardé un peu la liste des films vus (sortis) cette année, et j'ai mis le système de notes (D - SP - R) d'Elbakin :- Invictus ; Sherlock Holmes ; Shutter Island ; Kick Ass ; L'arnacoeur ; Inception ; Tamara Drewe : les gros RRRRRRRRRRR de l'année pour moi- Brothers ; Tout va bien (the kids are alright) : les petits R - Bliss ; Lovely Bones ; Valentine's day ; The ghost writer ; Remember me ; New-York I love you ; Iron Man 2 ; The leap year : SP (pas de mauvais films, mais j'ai pas réussi à accrocher vraiment)- Où sont passés les Morgan ; In the air ; Percy Jackson ; Nine ; Légion ; La comtesse ; Ecclipse : D (les films que j'aurai du éviter)

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J'ai vu TRON, L'HERITAGE, et c'est un film qui aurait s'appeler FLYNN !!Je suis extrêmement déçue de la façon dont le personnage de Tron est complètement passé à la trappe. Il n'y en a que pour Flynn Junior dans ce film. Le scénario est une déception pour moi, qui adorait le premier TRON, et ce bien même s'il reprend les grandes lignes du premier film.Heureusement, niveau visuel et niveau sonore, c'est un bonheur total...J'ai vu Arietty, aussi, je prépare une critique pour Elbakin.Et j'ai vu les premières images de Captain America, ha, ha, ha (bon, 8-10 images de moins d'une seconde de l'animal en différents costumes et poses avec les deux modèles du bouclier, ça va pas chercher ben loin, hein...)Sinon qu'on se le dise : les films Disney de 2011 ne promettent guère (même Pixar qui propose Cars 2 ne m'emballe pas)...

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alana chantelune a écrit :J J'ai vu Arietty, aussi, je prépare une critique pour Elbakin.
Chanceuse :) je l'attend avec impatience, même si j'irai le voir de toute façon :p
Maybe kindness is the real punk rock - Superman 2025

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J'ai vu Armadillo. allociné ici.ALler, une p'tite critique :
Ce film n'est pas une fiction.Ce n'est pas un film de guerre.Juste, la réalité...Voilà ce qu'exprime la Bande-Annonce. J'y suis allé sur un coup de tête - je n'apprécie que modérément les films de combat au cinéma - profitant d'une réduc' jeune.Bref, le mélange réussi de deux genres : la fiction et le documentaire. C'est bien simple, à mon sens Janus Metz emprunte le meilleur des deux, touille avec un grand bâton. Et qu'est ce qui dégueule du chaudron? Cet enfant terrible : Armadillo.Des images incroyablement belles, les couleurs sont à tomber. L'Afghanistan, à n'en pas douter est un beau pays. Sec, aride et rocailleux, mais ... à couper le souffle. Comme les plans du cadreur, digne des plus énergiques blockbusters américains. Il pose sa caméra ici, film, ralentit, plonge au coeur de l'action. Oubliez les autres ralentissements que vous avez vu cent fois, oubliez la 3D. Là, est à mon sens, l'immersion, avec un " i" majuscule.Mais ce qui rend l'immersion encore plus effarante, c'est le choc du spectateur. " C'est pas un film de guerre. Ces types sont réels. Ils existent et vivent. " Et ce qui est fort, c'est que ce n'est pas non plus un documentaire bien de chez nous qui passe sur France 2, loin, très loin de la réalité et de la vérité.Les idées sont crues, les images violentes, le fil de la pensée, de la réflexion - à nous, qui sommes au chaud en France, sur le canapé/fauteuil - est impossible à saisir.On ne peut pas se poser à côté d'eux, mettre notre main sur l'épaule : ils sont volontaires pour ce job difficile, rustre et rude. Six mois sans voir leur famille, sans leur parler, mise à part avec de rares communications téléphones satellites. Qui peut comprendre ce qui se passe dans leur tête? Qui peut comprendre à quel point la guerre est inhumaine avant d'avoir été sous le feu ennemi?Pouvons nous appréhender le regard bleu acier, et surtout halluciné de ce jeune soldat blessé, qui a l'air ailleurs, comme si l'horreur du combat était tellement colossale que son esprit, pour quelques minutes " psssht " s'est mis en veille?Parce que le message de Metz, et de Mads, Daniel, Rasmus, c'est que tant que tu n'es pas sur le terrain. Tant que tu n'as pas vécu ça. Tu ne peux pas comprendre. Tu ne peux pas comprendre.Ce film, pour moi, est traumatisant. Il oblige à se poser des questions. Sur la volonté, sur le dépassement de soi. Sur le fait de tenir en ses mains une arme de guerre. D'être une cible pour le type en face. Sur la possibilité de revenir, blessé, estropié, mutilé, ou entre quatre planches de sapin.Si vous regardez ce film, accrochez vous. Remémorez vous que ces pleurs, cette colère, ces cadavres, ces combats, furent réels. Des hommes ont vécu ça.Sur les cinq hommes que l'ont suit, 4 sont volontaires pour retour en 2011 sur le théâtre Afghan. Et là, Metz pose le doigt ou ça fait mal. Scott l'avait seulement effleuré, dans Black Hawk Down. La question des " War Junkies "" L'adrénaline produite sur le champ de bataille , terriblement addictive, peut éveiller chez le soldat des comportements barbares. "Observer ces jeunes, tenter de comprendre leur cheminement psychologique après leurs actes et ce qu'ils ont subis, Metz, ne le comprend pas lui même. Il se contente de distiller l'essence de la guerre elle même, et sa caméra est notre caméra, à nous de tenter la compréhension.Et réfléchissez. Il pose des questions sur l'engagement de l'Otan en Afghanistan. Sur la place du jeu vidéo et de la guerre dans la perception de la réalité par les jeunes.Je ne vais pas plus loin, si ce n'est une citation de Vercos, à mon goût qui trouve sa place ici :" Tous nos malheurs proviennent de ce que les hommes ne savent pas ce qu'ils sont, et ne s'accordent pas sur ce qu'ils veulent être. "- Vercors -C'est un film violent, hein, c'est la réalité. Il est déconseillé d'y emmener son fiston de 12 ans. A 2&, j'en avais les larmes aux yeux parfois. Et j'suis pas quelqu'un d'ultra-sensible ! :mellow:

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Raiponce : bon disney mais j'ai eu l'impression, au niveau des chansons, d'un mélange de toutes les anciennes chansons qui ont fait la "gloire" de disney donc très décevant de ce côté. Sinon on rigole et on passe du bon temps quand même mais c'est pas transcendant.megamind : bonne surprise je m'attendais au format classique du méchant qui combat le gentil et bien là non. On a un gentil qui en a marre et un méchant qui se bat contre un méchant. Je simplifie à l'extrême mais je ne suis pas loin. Pourtant j'ai passé un très bon moment.les émotifs anonymes : pas fan de benoit poelvoorde mais je l'ai bien aimé dans ce film. Il ne sur-joue pas, pas d'humour débile mais une jolie comédie sentimentale qui m'a fait courir chez le chocolatier.et demain peut être narnia!

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Kurtz a écrit :J'ai vu Armadillo. allociné ici.ALler, une p'tite critique : [img align=C]http://img824.imageshack.us/img824/3433 ... skree1.jpg[/url]Ce film n'est pas une fiction.Ce n'est pas un film de guerre.Juste, la réalité...Voilà ce qu'exprime la Bande-Annonce. J'y suis allé sur un coup de tête - je n'apprécie que modérément les films de combat au cinéma - profitant d'une réduc' jeune.Bref, le mélange réussi de deux genres : la fiction et le documentaire. C'est bien simple, à mon sens Janus Metz emprunte le meilleur des deux, touille avec un grand bâton. Et qu'est ce qui dégueule du chaudron? Cet enfant terrible : Armadillo.Des images incroyablement belles, les couleurs sont à tomber. L'Afghanistan, à n'en pas douter est un beau pays. Sec, aride et rocailleux, mais ... à couper le souffle. Comme les plans du cadreur, digne des plus énergiques blockbusters américains. Il pose sa caméra ici, film, ralentit, plonge au coeur de l'action. Oubliez les autres ralentissements que vous avez vu cent fois, oubliez la 3D. Là, est à mon sens, l'immersion, avec un " i" majuscule.Mais ce qui rend l'immersion encore plus effarante, c'est le choc du spectateur. " C'est pas un film de guerre. Ces types sont réels. Ils existent et vivent. " Et ce qui est fort, c'est que ce n'est pas non plus un documentaire bien de chez nous qui passe sur France 2, loin, très loin de la réalité et de la vérité.Les idées sont crues, les images violentes, le fil de la pensée, de la réflexion - à nous, qui sommes au chaud en France, sur le canapé/fauteuil - est impossible à saisir.On ne peut pas se poser à côté d'eux, mettre notre main sur l'épaule : ils sont volontaires pour ce job difficile, rustre et rude. Six mois sans voir leur famille, sans leur parler, mise à part avec de rares communications téléphones satellites. Qui peut comprendre ce qui se passe dans leur tête? Qui peut comprendre à quel point la guerre est inhumaine avant d'avoir été sous le feu ennemi?Pouvons nous appréhender le regard bleu acier, et surtout halluciné de ce jeune soldat blessé, qui a l'air ailleurs, comme si l'horreur du combat était tellement colossale que son esprit, pour quelques minutes " psssht " s'est mis en veille?Parce que le message de Metz, et de Mads, Daniel, Rasmus, c'est que tant que tu n'es pas sur le terrain. Tant que tu n'as pas vécu ça. Tu ne peux pas comprendre. Tu ne peux pas comprendre.Ce film, pour moi, est traumatisant. Il oblige à se poser des questions. Sur la volonté, sur le dépassement de soi. Sur le fait de tenir en ses mains une arme de guerre. D'être une cible pour le type en face. Sur la possibilité de revenir, blessé, estropié, mutilé, ou entre quatre planches de sapin.Si vous regardez ce film, accrochez vous. Remémorez vous que ces pleurs, cette colère, ces cadavres, ces combats, furent réels. Des hommes ont vécu ça.Sur les cinq hommes que l'ont suit, 4 sont volontaires pour retour en 2011 sur le théâtre Afghan. Et là, Metz pose le doigt ou ça fait mal. Scott l'avait seulement effleuré, dans Black Hawk Down. La question des " War Junkies "" L'adrénaline produite sur le champ de bataille , terriblement addictive, peut éveiller chez le soldat des comportements barbares. "Observer ces jeunes, tenter de comprendre leur cheminement psychologique après leurs actes et ce qu'ils ont subis, Metz, ne le comprend pas lui même. Il se contente de distiller l'essence de la guerre elle même, et sa caméra est notre caméra, à nous de tenter la compréhension.Et réfléchissez. Il pose des questions sur l'engagement de l'Otan en Afghanistan. Sur la place du jeu vidéo et de la guerre dans la perception de la réalité par les jeunes.Je ne vais pas plus loin, si ce n'est une citation de Vercos, à mon goût qui trouve sa place ici :" Tous nos malheurs proviennent de ce que les hommes ne savent pas ce qu'ils sont, et ne s'accordent pas sur ce qu'ils veulent être. "- Vercors -C'est un film violent, hein, c'est la réalité. Il est déconseillé d'y emmener son fiston de 12 ans. A 2&, j'en avais les larmes aux yeux parfois. Et j'suis pas quelqu'un d'ultra-sensible ! :mellow:
Et tout à fait dans le même genre mais côté américain, il y a Restrepo.http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 77806.htmlComme dans Armadillo, c'est cru, cruel et impressionnant de voir dans quel monde ces soldats vivent au quotidien sans qu'ils comprennent vraiment pourquoi il le font.

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Bon c'est un visionnage un peu tardif mais :amoureux: ça valait le coup tellement c'est bien : Despicable me (Moi, moche et méchant) rhaaaa comme c'est bon. Le plaisir de retrouver la petite soeur de Bouh (de Monsters & Co) et des tas de minions plus ...jaunes les uns que les autres. Merci au so not despicable one qui me l'a fait découvrir : it's so fluffyyyyy !!!! :coeur:(et oui c'est fantasy, les vraies héroïnes sont orphelines :p :sifflote: )

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Kurtz écrit :"Tant que tu n'as pas vu ça, tu ne peux pas comprendre."Tout est là.Et même bien des années après, tu ne comprends toujours pas. Ou plutôt, tu ne peux pas expliquer pourquoi.

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Il faut absolument aller voir Le Nom des Gens !!:amoureux:C'est drôle, touchant, juste et tellement drôle (mais je l'ai déjà dit, non ?) !!!:lol:Vous ne regretterez pas la séance, je vous le jure !!!

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alana chantelune a écrit :Il faut absolument aller voir Le Nom des Gens !!:amoureux:C'est drôle, touchant, juste et tellement drôle (mais je l'ai déjà dit, non ?) !!!:lol:Vous ne regretterez pas la séance, je vous le jure !!!
+1 c'est ma boss qui me l'a recommandé l'autre jour, et je ne puis qu'agréer.C'est très juste, jamais gratuit, et infiniment touchant.J'ai adoré aussi, ri, pleuré, et été vraiment touchée.

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Je suis allée voir Le Discours d'un Roi et c'est vraiment un très beau film, au-delà de tout ce qu'on rabâche en ce moment au sujet des oscars. Les performances sont impeccables et les répliques sont souvent drôles (sarcastiques mais drôles). Pour autant, le ton reste juste et il y a des moments vraiment forts. Donc, RRRR.Et il y a Colin Firth :wub: . RRR en plus.

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Vu le discours d'un roi aussi et j'y retourne ce soir! En effet ce film est très très bien fait, écrit et joué! Les trois acteurs principaux sont juste excellents, même si je n'avais pas de doute avant!Vu Tron... Bah bof quoi! Il n'y a que les graphismes qui sont bien fait mais je trouve qu'il n'y a pas vraiment d'histoire : ils sont là, il faut qu'ils repartent et c'est tout. De plus le jeu de l'acteur principal est réduit au maximum je trouve. A moins que ce ne soit fait exprès.Very cold trop : une petite comédie sympa qui ne se prend pas la tête c'est cool.La chance de ma vie : je risque de me faire huer mais pour une comédie française je me suis bien marrée L'histoire ne casse pas trois pattes a un canard mais les situations comiques rendent bien, c'est le principal.

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Green Hornet (vu très en retard) Excellent!! Je me suis jamais autant marré devant un film de super-héros. Les héros sont complètement barrés, le méchant est génial ( rien que la scène du début avec James Franco :lol:). Bref, tout!

400
J'avoue que je suis partagée. J'ai envie de le voir, car c'est un film de Michel Gondry, mais Seth Rogen et les super héros, bof, bof...Si une âme me le prête un jour en DVD, pourquoi pas, mais je ne suis pas prête à débourser 10€ pour ce film; Par contre, quand Gondry aura terminé son adaptation de Ubik (une lecture qui m'a vraiment marquée), là vous pourrez être sûre que je serai présente.