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Couleurs, vidéo et connexion à internet, on dirait presque une tablette classique.Je suis curieuse de savoir combien ça pourrait coûter, un écran de 6" de ce type, ainsi que l'autonomie. Si c'est le rafraîchissement de la page qui consomme de l'énergie, l'affichage de vidéos doit largement réduire l'autonomie de la machine, non ?

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J'ai testé pas mal de liseuses et de tablettes durant les vacances et j'attendrais encore un peu. 2011 aura surement pas mal de nouveaux produits à proposer.(Et je reviens 2s sur l'annonce de Brage', mais effectivement convertir un fichier en epub, c'est pas trivial).

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Même débat que pour le jeu vidéo espérons que la réponse sera différente, la nouvelle mode dans le JV c'est de vendre une moitié de jeu avec du contenu téléchargeable gratuit déblocable bien sur avec un code unique qui sera payant pour celui qui achètera le jeu d'occasion avec code déjà utilisé...Mais bon vendre des moitié de livres me parait compliqué.

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Un livre électronique avec DRM ne peut pas être donné à un tiers et n'a pas de matière physique.Tous les ans, à mon CE, chacun peut ramener ses livres pour les revendre afin que les gains soient reversés au secours populaire.Impossible à établir avec un livre électronique... en tous les cas de nos jours.Si l'on veut que le livre électronique progresse, il faut faire comme certains éditeurs qui enlèvent les DRMS et proposent des prix relativement bas.Il faudrait même aller encore bien plus bas...La crainte demeure qu'un livre sans DRM soit déployé sur les sites pirates, mais il faut rester pragmatique, le livre électronique doit devenir une oeuvre jetable après lecture ou transférable à moindre cout.Aujourd'hui on achète des ePubs qui sont mal ficelés et que l'on a payé au prix fort. Demain il y aura d'autres formats mieux fichus et plus riches... Il y a en fait peu de chances que l'on relise deux fois un même ePub dans l'avenir, donc aucune raison crédible de le conserver en l'état sur notre liseuse qui plafonne en mémoire.Peut-être faudrait-il proposer le livre électronique avec une Méga DRM incontournable mais avec un prix ridiculement bas, tellement bas que cela soit logique de l'acheter pour le jeter après lecture.Sinon il faudrait quasiment instituer une location du livre électronique à l'identique de la location de video que l'on rend après usage.C'est, à mon avis, la tendance que devrait suivre le livre électronique.

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Juste une question qui me vient, à te lire, RaCorDel, pourquoi voudrait-on absolument faire avec un livre numérique *tout* comme avec un livre physique ? Le principe est justement que, le support changeant, les usages aussi. Enfin c'est ainsi que j'ai tendance à voir les choses, comme complémentaires et pas forcément opposées...Du coup je ne me pose pas la question du livre numérique d'occasion, par contre j'avoue être plus concernée par les histoires de "prêt" de fichier (avec Watermark, par exemple...).De mon coté autant je suis pour un prix assez bas pour le livre electronique (apparenté à celui du poche, par exemple) autant j'ai beaucoup de mal avec les DRM. Quel que soit le prix...

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Le livre numerique va certes creer des comportement differents. La complementarite est certes une des caracteristiques mais les 2 sont aussi subtituables. Apres, chacun fait comme il veut.Le DRM c'est bien pour les prets (et encore) amis apres j'en vois pas trop l'interet...

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RafCorDel a écrit :Un livre électronique avec DRM ne peut pas être donné à un tiers et n'a pas de matière physique.Tous les ans, à mon CE, chacun peut ramener ses livres pour les revendre afin que les gains soient reversés au secours populaire.Impossible à établir avec un livre électronique... en tous les cas de nos jours.
Ça c'est un vrai problème. et ça montre la différence entre le papier et un fichier (qui n'est qu'une copie, télécharger de manière illégale n'est pas un vol, mais une contrefaçon).
RafCorDel a écrit :Si l'on veut que le livre électronique progresse, il faut faire comme certains éditeurs qui enlèvent les DRMS et proposent des prix relativement bas.Il faudrait même aller encore bien plus bas...La crainte demeure qu'un livre sans DRM soit déployé sur les sites pirates, mais il faut rester pragmatique, le livre électronique doit devenir une oeuvre jetable après lecture ou transférable à moindre cout....
Mais je pense sincèrement que les DRM vont disparaitre une fois que l'industrie du livre aura compris sont erreur (à coup de millions perdus). La première chose que je fais une fois que j'ai acheté mon livre, c'est d'enlever les DRM pour pouvoir le passer sur la liseuse électronique de ma femme. ca me prend environ 30 secondes ...... Il faut bien comprendre que quoi que tu fasse comme protection, tu est obligé de pouvoir décrypter pour pouvoir lire à un moment donné. C'est une lutte qu'a perdu l'industrie du disque et du cinéma alors qu'ils avaient bien plus de moyen que l'industrie du livre.la location de livre est une idée, mais malheureusement je ne vois pas de solution technique viable.Je pense vraiment que l'industrie du livre est face à un défi. Il faut vraiment changer de modèle économique pour gagner ce virage. Je me suis fixer des règles. J'achète en priorité sur les site sans DRM . Je ne dépense pas plus de 10 euros dans un livre (le plus cher que j'ai acheté est The gathering storm pour 7 euros env). les livres plus chers je les ignore (c'est pas comme si on manquait de livres à lire ^^).

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Fnac : le DRM tue le livre électronique ?« Le photocopillage tue le livre. » D'aucuns diraient que le DRM 1 aussi. De nombreux acheteurs mal avisés de la Fnac pourraient effectivement faire les frais d'un verrou numérique inattendu, comme l'a relaté ce week-end un blogueur agacé, invitant pour l'occasion les consommateurs lésés à pirater leurs propres achats.LIEN

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Il est évident que les tablettes et les liseuses vont prendre le dessus dans les dix prochaines années et je crois dépasser le papier. C'est la progression prédite. Alors que dire des piratages? C'est une question qui est philosophique à la limite. Dans notre société de consommation tous le monde veut tout, et pour rien.Par contre il est inadmissible de payer un support numérique ou prix d'un disque ou d'un livre papier. Et en considérant cela, on peut en effet se considérer les dindons ou les pigeons au choix. Un DRM n'empêchera pas de pirater mais arrêtera peut-être monsieur ou madame tous le monde. Peut-être enfin que des bibliothèques numériques à la Deezer verront le jour. Mais de toutes façon, le numérique passera et nous garderons nos livres papiers comme certains ont leurs vinyles. Il faut juste espérer que tout cela favorisera la création, et de qualité.

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Douaratil a écrit :Il est évident que les tablettes et les liseuses vont prendre le dessus dans les dix prochaines années et je crois dépasser le papier. C'est la progression prédite. Alors que dire des piratages? C'est une question qui est philosophique à la limite. Dans notre société de consommation tous le monde veut tout, et pour rien.Par contre il est inadmissible de payer un support numérique ou prix d'un disque ou d'un livre papier. Et en considérant cela, on peut en effet se considérer les dindons ou les pigeons au choix. Un DRM n'empêchera pas de pirater mais arrêtera peut-être monsieur ou madame tous le monde. Peut-être enfin que des bibliothèques numériques à la Deezer verront le jour. Mais de toutes façon, le numérique passera et nous garderons nos livres papiers comme certains ont leurs vinyles. Il faut juste espérer que tout cela favorisera la création, et de qualité.
La je pense que c'est un peu trop s'avancer, les livres papiers pour moi ne seront pas supplantés par les tablettes et les liseuses, la comparaison avec l'industrie du disque n'est, pour moi, pas valable. Les vinyles sont pas si vieux que ça à l'échelle de l'histoire alors que les livres existent depuis des centaines d'années, on trouve des livres vieux de mille ans, remplacer le papier par un fichier numérique qui peu s'effacer en un clic de souris me semble peu probable. Pour les disques on a toujours chercher le moyen d'avoir le meilleur son possible d'où le changement constant de support pour en arriver au fichier numérique sensé être sans défauts.Le livre disparaitra peut être mais il faudra bien plus de dix ans.

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Rckep a écrit :
Douaratil a écrit :Il est évident que les tablettes et les liseuses vont prendre le dessus dans les dix prochaines années et je crois dépasser le papier. C'est la progression prédite. Alors que dire des piratages? C'est une question qui est philosophique à la limite. Dans notre société de consommation tous le monde veut tout, et pour rien.Par contre il est inadmissible de payer un support numérique ou prix d'un disque ou d'un livre papier. Et en considérant cela, on peut en effet se considérer les dindons ou les pigeons au choix. Un DRM n'empêchera pas de pirater mais arrêtera peut-être monsieur ou madame tous le monde. Peut-être enfin que des bibliothèques numériques à la Deezer verront le jour. Mais de toutes façon, le numérique passera et nous garderons nos livres papiers comme certains ont leurs vinyles. Il faut juste espérer que tout cela favorisera la création, et de qualité.
La je pense que c'est un peu trop s'avancer, les livres papiers pour moi ne seront pas supplantés par les tablettes et les liseuses, la comparaison avec l'industrie du disque n'est, pour moi, pas valable. Les vinyles sont pas si vieux que ça à l'échelle de l'histoire alors que les livres existent depuis des centaines d'années, on trouve des livres vieux de mille ans, remplacer le papier par un fichier numérique qui peu s'effacer en un clic de souris me semble peu probable. Pour les disques on a toujours chercher le moyen d'avoir le meilleur son possible d'où le changement constant de support pour en arriver au fichier numérique sensé être sans défauts.Le livre disparaitra peut être mais il faudra bien plus de dix ans.
J'espère que non : je me mettrai un jour à la lecture numérique, mais même ainsi, je souhaiterai pouvoir continuer d'acheter les livres qui m'auront marqué (en première lecture sur du numérique)

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Pour ceux qui ont un Kindle (ou autre), je conseille l'auteur indépendant Michael Sullivan (The Riyria Revelations). Il fait souvent des rabais important sur 1 ou plusieurs de ces livres.http://www.michaelsullivan-author.com/M ... _Book.htmlD'ailleurs avec l'arrivée du numérique, je me demande s'il ne faudrait pas lancer une rubrique bon plan pour les livres numériques vu qu'avec le prix unique il n'y en a pas vraiment sur les livres papiers...

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Bon bah aprés pratiquement 2 ans de "doutes" j'ai craqué ^^. Achat d'un Kindle3 ce matin. Vu que je suis un "inconditionel" d'Amazon, je pense trouver mon compte. J'ai déja commencer a fouillé et niveau prix et offre c'est trés interressant (enfin je trouve :p). J'espère que les nouveauté du genre sortirons de manière assez continue en "kindle".Cependant, un gros point faible pour le Kindle ^^: Pas de dédicace de livre possible :p .

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Ils peuvent toujours signer sur l'écran mais je ne garantis plus la lisibilité ;) Après tout dépend de la protection que tu as choisi, le mien est dans housse en cuir, ça peut toujours se gribouiller :DEnfin, pour le moment, comme je lis soit des livres pour en faire la critique, soit des romans que j'avais déjà à la maison, le Kindle est un peu au repos. Il ne devrait pas tarder à reprendre du service.

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Rckep J'ai été peut-être rapide en besogne effectivement mais comme tu le dis sous dix ans la tendance va s'inverser. Je crois qu'ils parlaient de 2018 mais ce ne sont que des prospectives. Je pense que le livre qui est cher à la fabrication va devenir un véritable objet de luxe, un bel objet et ne sera plus de consommation courante. Par contre je pense que le numérique n'impliquera pas forcément de lire puis de jeter car il sera nécessaire de revenir sur les textes, d'y faire référence et de se les approprier. Je ne souhaite pas la disparition du livre mais je pense qu'en tant qu'objet, ses jours sont comptés. Par contre les liseuses doivent se démocratiser et comme il était évoqué plus haut, les usages vont être légèrement différents et peut-être complémentaires. L'autre pendant du numérique est la nécessité de baisser les prix des livres car si il y a des coûts de stockage, il n'y a plus de coût de fabrication. On peut considérer que les prix vont être divisé par deux même si la tendance des professionnels ne va pas dans ce sens.