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Ce n'est pas contemplatif, mais on ne peut pas dire qu'il se passe une foule de choses. Le temps est réduit, tout se passe en quelques jours, du coup les personnages bougent tout le temps, mais il n'y a pas de rebondissements énormes, de retournements de situation ou autre... C'est assez "égal" de bout en bout, comme je mentionnais. C'est peut être l'ambiance pesante qui donne cette impression de lenteur par dessus. Je l'ai lu en novembre, j'aurais du mal à bien me souvenir du pourquoi de cette impression 

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Le tome 2 sort dans deux semaines !:)
Même univers mais des personnages différents a priori (d'ailleurs j'en ai profité pour renommer le sujet).;)On peut lire un extrait ici.
Clementine (série Le Siècle Mécanique, Tome 2)Maria « Belle » Boyd est une ancienne espionne confédérée, mais sa notoriété et son succès l’ont obligée à changer de profession. Exilée, veuve et presque ruinée, elle rejoint l’agence de détectives Pinkerton. Sa première mission est commandée par l’armée nordiste et consiste à protéger un dirigeable, le Clementine, chargé de livrer une importante cargaison militaire. Mais il semble que l’aéronef soit poursuivi par un pirate de l’air recherché par les deux camps, le Sud comme le Nord. Un trépidant voyage dans l’univers original de Boneshaker, et une vraie histoire de pirates où dirigeables et mitrailleuses lourdes remplacent les galions et les sabres d’abordage !

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Je viens de terminer Boneshaker (en anglais, ce qui est une première pour moi) aujourd'hui et, comme quasiment tout le monde ici, j'ai adoré l'ambiance et l'univers avec les zeppelins, la ville post-apocalyptique... Je reste pris entre deux sentiments concernant l'intrigue, les personnages subissant un peu les événements, mais ce côté histoire "simple" est vraiment plaisant.Je lirai sans hésiter le tome 2.
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Et la critique de Clementine est arrivée
:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/cycle/le ... ntine-3430

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Je trouve quand même que vous êtes gentils avec la Priest.Boneshaker, c'est plus une réussite marketing que littéraire.Le steampunk mérite mieux que des zombies et un zeppelin catapultés dans un décor en carton-pâte.Ma critique plus détaillée.
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Lu Clementine : un petit roman sympathique et distrayant, mais qui manque un peu de consistance quand même.J'ai bien aimé tout le début, qui nous montre d'autres régions des USA que la Seattle du 1er tome.Par contre, à partir de , tout va trop vite à mon goût, et la partie m'a paru expédiée.Ca reste une lecture sympa, à faire si vous avez aimé Boneshaker. Dans le cas contraire, elle n'est pas indispensable. 6 - 6.5/10.J'attends davantage de Dreadnought, le "vrai" deuxième roman.
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Comme Druide du côté des romans français, Boneshaker fait partie des ouvrages qu'on a pu citer dans une liste élargie de potentiels nominés pour la deuxième édition de notre prix, si, si. Mais il n'a pas passé le cut. :)Après, pour la critique gentille, il faudrait que Zedd passe par là pour répondre... 

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Fini Clementine, il y a 2 ou 3 semaine. Après le 1er et son petit coté post apocalyptique j'attendais beaucoup de cette suite et il faut reconnaitre que je suis un peu déçu.les personnages principaux sont sympas mais manque peut être un peu de profondeur. La fin fait carrément rushé par rapport au reste du livre. Et puis ben finalement pas de scoop ou nouveauté dans l'univers, j’espérais des petits cookies à la "Seattle" histoire d'enrichir l'univers mais j'ai pas eu grand chose. Il y a bien eu 2 ou 3 clin d’œil pour lié les livres et l'univers mais pas de quoi cassé 3 pattes a un canard. Bref pour ceux qui ont vraiment aimé le premier. Vu que ça ce lit plutôt bien (et vite vu que c'est pas non plus très épais) je reviendrais pour le prochain (Dreadnaught?) en esperant qu'il soit a la hauteur des espoirs placé en lui 

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Ah, bon et depuis quand ?Moi, j'ai aimé Boneshaker. Pas de monde à sauver, pas de dernier combat, pas d'invasion de barbares.Non, juste la fugue d'un ado, et sa mère qui part le rechercher. Une histoire simple, ça fait du bien, c'est rafraîchissant. En plus, le roman peut se lire dès 12 ans... On peut le lire et le filer à son petit frère !Pour des décors en carton-pâte, je dois avouer les trouver très crédibles. Je trouve même que l'ambiance constitue le point fort du roman. Et pis ce mélange zombies-steampunk (avec du western !) que tu décries tant, je ne crois pas l'avoir déjà vu en littérature...Dans ta critique, on n'a l'impression que tu n'as jamais réussi à te plonger dedans, et de fait, que tu t'acharnes contre le pauvre roman, sans jamais essayer de faire preuve d'un brin d'objectivité. Non, on n'y voit pas beaucoup les zeppelins ; et alors ? Je n'ai pas non plus le souvenirs qu'ils croisent des bisounours... Tu n'as pas aimé, c'est ton droit le plus strict, mais de là à tourner le bouquin en ridicule, en faisant preuve d'autant de mauvaise foi...Concernant la suite, elle est moins ambitieuse, c'est clair. Elle me fait penser à une série B, à l'un de ces vieux bouquins de la collection "anticipation" du fleuve : une histoire courte, dont le scénario tiendrait sur une feuille de cigarette, quelques clichés, des retournements attendus... pour un divertissement vraiment jouissif !ZeddCédric Ferrand a écrit :Je trouve quand même que vous êtes gentils avec la Priest.Boneshaker, c'est plus une réussite marketing que littéraire.Le steampunk mérite mieux que des zombies et un zeppelin catapultés dans un décor en carton-pâte.
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Je suis un lecteur qui critique sur un blog les livres qu'il lit : je ne suis astreint à aucune objectivité. Notion toute relative, qui plus est.Je reconnais que le style de mes critiques est souvent moqueur, mais au delà du ton acerbe, je pense suffisamment étoffer mon propos. Je ne fais pas du Odieux Connard systématique, quand je croise un bon bouquin, je le défends, et si un livre est faible mais possède des qualités, je le dis sans arrière-pensée.Boneshaker a une qualité immense : il est très bien vendu par son éditeur.Mais c'est au final un livre bancal qui m'aurait sans doute moins hérissé le poil s'il avait été estampillé Jeunesse.Tout ça bien évidement est AMHA, j'essayais juste de donner un autre son de cloche que la critique officielle d'Elbakin.
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Certes. Mais dans le genre du steampunk, qui plus est avec cette ambiance à la croisée des genres, combien de romans as-tu lu ? Moi, quand j'y pense, quand j'essaie d'établir des passerelles, j'ai juste le jeu Fallout qui me vient en tête. Rien en littérature... Quand tu dis que le "genre mérite mieux", j'ai envie de demander "de quelle façon ?".Cédric Ferrand a écrit :Je suis un lecteur qui critique sur un blog les livres qu'il lit : je ne suis astreint à aucune objectivité. Notion toute relative, qui plus est.Je reconnais que le style de mes critiques est souvent moqueur, mais au delà du ton acerbe, je pense suffisamment étoffer mon propos. Je ne fais pas du Odieux Connard systématique, quand je croise un bon bouquin, je le défends, et si un livre est faible mais possède des qualités, je le dis sans arrière-pensée.
En même temps, cela ne te gêne pas (qu'il soit bien vendu pas son éditeur j'entends) quand c'est un bouquin qu tu as aimé. En France (sans vouloir minimiser le travail d'Eclipse), je crois pas que le bouquin ait une eu publicité du tonnerre (en même temps, il n'y a guère d'éditeurs de genre qui en ait les moyens ces temps-ci...). Aux US, le livre a de bonnes critiques, et si quelques-une sont peut-être imputables à la grosse campagne de pub que tu évoques (même si, lors de la sortie du roman, j'avoue ne pas avoir été si impressionné que ça par les moyens engagés), toutes ne sont pas le fait de la promotion, mais bel et bien d'avis de lecteurs et de chroniqueurs. Je ne crois pas que le roman, même aux US, est bénéficié d'une campagne de presse à la Eragon ou à la Hunger Games.Cédric Ferrand a écrit :Boneshaker a une qualité immense : il est très bien vendu par son éditeur.Mais c'est au final un livre bancal qui m'aurait sans doute moins hérissé le poil s'il avait été estampillé Jeunesse.
Yep, pas de soucis ! Si j'interviens, c'est que je ne comprends pas vraiment pourquoi tu ne l'as pas aimé. Moi, j'ai vu dans ce roman intimiste à la croisée des genres une vraie bouffée d'air frais, alors que la high fantasy et la bit-lit abondent toujours plus dans les rayons (je suis bien placé pour le savoir). Je lis beaucoup, et je ne sais pas si c'est la faute d'un concours de circonstances, mais je vois en Boneshaker un roman original, intimiste et vraiment réussi. mais je commence à me répéter... :-)ZeddCédric Ferrand a écrit :Tout ça bien évidement est AMHA, j'essayais juste de donner un autre son de cloche que la critique officielle d'Elbakin.
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Des décors qui ne fassent pas carton-pâte.Des personnages qui auraient de la gueule et un peu de personnalité.Une intrigue mieux branlée.C'est justement son côté "mélangeons ce qui fonctionne en ce moment" qui m'a déplu : l'auteure met des zombies, des machines folles, un zeppelin. C'est artificiel.zedd a écrit :Quand tu dis que le "genre mérite mieux", j'ai envie de demander "de quelle façon ?".
Je ne parle pas de marketing direct, mais des apparaisals dithyrambiques qui acclament le livre comme une des merveilles du monde alors que le livre manque de rythme, de style et d'idées.zedd a écrit :En même temps, cela ne te gêne pas (qu'il soit bien vendu pas son éditeur j'entends) quand c'est un bouquin qu tu as aimé. En France (sans vouloir minimiser le travail d'Eclipse), je crois pas que le bouquin ait une eu publicité du tonnerre (en même temps, il n'y a guère d'éditeurs de genre qui en ait les moyens ces temps-ci...). Aux US, le livre a de bonnes critiques, et si quelques-une sont peut-être imputables à la grosse campagne de pub que tu évoques (même si, lors de la sortie du roman, j'avoue ne pas avoir été si impressionné que ça par les moyens engagés), toutes ne sont pas le fait de la promotion, mais bel et bien d'avis de lecteurs et de chroniqueurs. Je ne crois pas que le roman, même aux US, est bénéficié d'une campagne de presse à la Eragon ou à la Hunger Games.
Ce que tu appelles bouffée d'air frais, j'y vois du vide. Comme quoi, tout est relatif.C'est pas bien grave, je vais retourner lire du China Miéville.zedd a écrit :Yep, pas de soucis ! Si j'interviens, c'est que je ne comprends pas vraiment pourquoi tu ne l'as pas aimé. Moi, j'ai vu dans ce roman intimiste à la croisée des genres une vraie bouffée d'air frais, alors que la high fantasy et la bit-lit abondent toujours plus dans les rayons (je suis bien placé pour le savoir). Je lis beaucoup, et je ne sais pas si c'est la faute d'un concours de circonstances, mais je vois en Boneshaker un roman original, intimiste et vraiment réussi. mais je commence à me répéter... :-)