
462
Pour confirmer la rumeur: le Kindle existerait bientôt en tablette.
DigiTimes Systems a écrit :Quanta Computer aurait en effet reçu une commande de la part d'Amazon pour la production d'environ 700 000 unités de tabletes munies de la technologie d'écrans FFS développée par Hitachi et utiliées par l'iPad par exemple...Lien vers DigiTimes
clubic a écrit :Amazon se lancerait sur le marché des tablettes pour contrer le manque de vente de liseuses Kindle en dehors du marché US. Lien vers Clubic
gdgt.com a écrit :Amazon prévoirait surement d'utiliser Android pour le pilotage de la tablette.Lien vers le blog gdgt.com
ebouqin.fr a écrit :Amazon réfléchirait, aussi, à fournir gracieusement une liseuse dans le cadre d'un abonnement annuel ou de l'achat d'un forfait de livres électroniques. Ceci serait, en effet, bien venu et permettrait un meilleur décollage du média.Cela commencerait avec les clients Premium d'Amazon qui recevraient un Kindle gratuitement.Lien vers ebouqin.fr
463
clubic a écrit :Livre numérique : le prix unique devrait s'appliquer aux éditeurs étrangers:Depuis plusieurs semaines, députés et sénateurs opposaient leur vision de la protection de l'édition française. Réunis en commission mixte paritaire (7 députés, 7 sénateurs), ils ont finalement décidé de soumettre les plateformes étrangères (Amazon, Apple…) à un prix minimum.Lien sur Clubic
465

468
Je sais que les supports et les marchés sont différents mais comme on a vu que cette déclaration s'est retrouvée erronée dans le cas de la musique, du cinéma, du jeu vidéo ou de la télé, je ne serai pas aussi péremptoire.Rappelons quand même par la même occasion que pirater les ouvrages peut mener à la mort de l'édition...
469
Le mode de consommation n'est absolument pas le même, et pas de masse et rapide pour les e-books, contrairement au disque ou au cinéma. J'entends par là de durée de consommation de 1 à 2 H.Et ce qui est erroné pour les domaines que tu cites, c'est de dire que chaque téléchargement correspond à un achat non réalisé. Cependant, l'industrie du disque et du cinéma souffrent tout de même des téléchargements illégaux, et le nier ou le minimiser est juste bon pour la conscience.Sur un forum comme le notre, par exemple,, où beaucoup de gens lisent et achètent des ouvrages, passer au téléchargement illégal me semble dommageable pour les éditeurs.Enfin, si je souhaitais faire ce rappel, c'est aussi parce que la brève pourrait être considérée comme de la pub pour (pardon, peut-être juste une incitation à utiliser) un site, logo à l'appui. Est-ce que cela a bien sa place dans notre "ligne éditoriale"Merwin Tonnel a écrit :Je sais que les supports et les marchés sont différents mais comme on a vu que cette déclaration s'est retrouvée erronée dans le cas de la musique, du cinéma, du jeu vidéo ou de la télé, je ne serai pas aussi péremptoire.Rappelons quand même par la même occasion que pirater les ouvrages peut mener à la mort de l'édition...

470
Euh, du moment que le site est nommé dans la brève, je ne vois pas trop ce que l'emploi du logo change (sachant que le site source l'utilise aussi dans sa news).Publivore a écrit :Enfin, si je souhaitais faire ce rappel, c'est aussi parce que la brève pourrait être considérée comme de la pub pour (pardon, peut-être juste une incitation à utiliser) un site, logo à l'appui. Est-ce que cela a bien sa place dans notre "ligne éditoriale"?


471
Comme je l'indique, l'impression (uniquement perso sans doute) de pub pour ce site. Bien plus que par la seule mention de son nom...Gillossen a écrit :Euh, du moment que le site est nommé dans la brève, je ne vois pas trop ce que l'emploi du logo change (sachant que le site source l'utilise aussi dans sa news).
472
Eh bien, c'est une fausse impression. Je ne vois pas quoi te dire de plus.
Si, j'ai trouvé cette liste tellement aberrante (mais surtout drôle, j'avoue) que c'est pour ça que j'ai décidé d'en parler.
Et j'ai fait au plus simple et choisi la voie la plus rapide pour finaliser ma brève donc j'ai repris la même image qu'en source. Tu sauras tout ! 



475
Loin de moi l'idée de lancer le débat sur le piratage des livres numériques (je crois qu'il y a un sujet sur ça d'ailleurs), mais c'était juste pour dire que même si les marchés sont très différents (on est d'accord là dessus) on ne sait pas encore trop ce qui pourra sortir comme modèle économique d'une banalisation des téléchargements illégaux de livres comme on a vu pour les films et la musique. Et, comme pour les films et la musique, ça peut ne pas être forcément mauvais. Par exemple, les fréquentations des salles de cinéma n'ont jamais été aussi bonnes, des modèles de musique gratuite solides voient maintenant le jour, Netflix et Hulu marchent bien, des développeurs indépendants de jeux vidéos arrivent à se faire entendre et connaître (le compte en banque de Notch, le créateur de Minecraft, le prouve), etc. et tout ça grâce à la vague numérique du piratage pratiqué sur le mode découverte, bouche à oreille, etc... Je ne dis pas que tout est bon et qu'il faut pirater à tout va parce que c'est gratos et que ça fera changer les choses et je ne dis pas que tous les pirates ont une âme de révolutionnaire. Je dis juste que dire "piratage = mort du média piraté" c'est beaucoup trop réducteur pour un phénomène beaucoup plus profond que ça.Le mode de consommation n'est absolument pas le même, et pas de masse et rapide pour les e-books, contrairement au disque ou au cinéma. J'entends par là de durée de consommation de 1 à 2 H.Et ce qui est erroné pour les domaines que tu cites, c'est de dire que chaque téléchargement correspond à un achat non réalisé. Cependant, l'industrie du disque et du cinéma souffrent tout de même des téléchargements illégaux, et le nier ou le minimiser est juste bon pour la conscience.
477
Tout à fait d'accord avec Merwin Tonnel. Et juste un mot pour redire à quel point c'est archifaux de penser "un livre téléchargé = un livre en moins pour l'éditeur". Je vous soumet ci-dessous un patchwork d'expérience, en tant que lecteur assidu d'ebooks
.(à toutes fins utiles : en Suisse le download n'est pas illégal, c'est l'upload qui l'est).J'ai, dans ma liseuse, une foule de classiques de Fantasy (le SDA, Bilbo,...)...que je possède déjà en format papier. Je ne vois pas du tout pourquoi je devrais les payer une 2e fois, d'autant plus que ce sont des livres qui ont été scannés par des fans, et pas des fichiers proprement nettoyés et retravaillés par l'éditeur.Et, par exemple, pour le prochain tome de GRRM, j'ai déjà commandé le livre papier, mais j'achèterai (si possible) la version ebook. Et si elle n'est pas disponible légalement, eh bien tant pis pour les éditeurs ;-) .J'ai fait de même avec le dernier tome de Jordan/Sanderson.Je précise à toute fins utiles, que l'achat légal est en principe toujours plus intéressant car il garantit que le fichier epub sera de bonne qualité. Ce qui m'a convaincu de l'intérêt d'une offre légale de qualité, c'est que le fichier du dernier tome de la Roue du Temps que j'avais trouvé, comportait un grand nombre de coquilles qui faisaient un peu trop mal aux yeux à la lecture. Bin oui, avec le piratage on ne peut jamais savoir si ce qu'on trouvera sera de qualité ou non.Enfin en principe. L'offre légale a aussi ses défauts énormes...j'ai été enragé, après avoir acheté un ebook de constater que les DRM m'empêchaient de passer de la page 6 à la page 7....à peine croyable!!! Il fallait juste faire sauter les protections pour pouvoir enfin le lire normalement...:sifflote:Une autre fois, comme j'avais entendu parler en bien de "La première Loi" d'Abercrombie, j'ai voulu l'acheter en version ebook, et j'ai été carrément choqué de découvrir qu'il était réservé aux personnes résidant aux USA. Je n'ai trouvé nulle part où l'acheter légalement (je ne voulais pas la version papier car intransportable), alors que me restait-il- à faire, je vous le demande? Rester les mains jointes, visage d'ange patient, tourné vers le ciel? Bin non...Alors suis-je un pirate? Je télécharge sans payer quoi que ce soit ET j'achète l'offre légale (mais les deux ne se recouvrent pas exactement, cf. les exemples donnés ci-dessus...).Elbakin avait posté une autre brève, il y a quelques temps de cela, dans laquelle Neil Gaiman déclarait que, pour lui, le téléchargement sauvage d'ebooks équivalait à un prêt (comme dans une bibliothèque) : l'auteur n'encaisse rien, mais par contre son œuvre est mieux connue. Une réflexion très intéressante et finalement pleine de bon sens :-)Ah, j'ai trouvé, c'est ici que ça se passe :-) .(et merci à Elbakin pour ces brèves sur les ebooks qui montrent que l'équipe est attentive à ce qui va peut-être constituer un tournant culturel, dans notre manière d'aborder l'objet "livre" :-) ).
