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Excellent argument, très subtilité d'avocat "mon client a simplement oublié de changer son adresse, est-ce un crime ?".Evildeus a écrit :Tu peux avoir plusieurs lieux de vie, mais tu es résident d'un seul pays (pour des raisons évidentes d’impôt...) rien ne t’empêche d'utiliser une adresse temporaire et de ne pas la changer.
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Peut-être une démarche qui fera des émules
http://www.elbakin.net/edition/14800-An ... s-deux-ans

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Bonjour.Je déroge à ma règle perso qui est de lire tous les messages précédents avant de poster car : 1/ l'heure2/ le livre numérique et ce qu'il représente pour moi de doutes comme de craintes -j'espère non fondées.2/ la brève et ce qu'elle m'inspire. Celle-là, pas celles qui précèdent, ni les commentaires qu'elles ont pu susciter.Ce pourrait être une merveilleuse nouvelle si les catalogues des éditeurs devenaient de fait pleinement, et à tous, accessibles. Une oeuvre non disponible -car n'étant plus éditée en format papier, car inaccessible financièrement parlant (on peut toujours se procurer une oeuvre ne serait-ce que par les enchères publiques ou privées)- le deviendrait. (C'est pour ça que les B.N. ont obligation de numérisation et divulgation... Et, ça leur coûte rudement cher... Une partie de nos impôts, certes... Ok. Elles ne discriminent pas : 1000 versions d'une oeuvre "soit disant" unique. Je glisse : vaste sujet et nombre sujet à caution.)Encore faudrait-il que ceci ne soit pas assorti d'une contrainte genre souscription et abonnement chez un éditeur. Encore faudrait-il que tout le monde est un accès internet, un ordi ou autre.Je suis une petite vernie : j'ai un accès internet et un ordi -depuis peu... Surtout, je sais que "le meilleur des mondes possibles" est une fiction qu'il s'agisse d'édition numérique ou pas. L'éditeur a besoin de rentabilité. A défaut, il ferme boutique et soit son fonds est racheté en même temps que sa raison sociale, son carnet d'écrivains et les contrats qui les lient, soit non... Alors, on commence à parler d'incunables et on entre sur le marché du livre rare qui a ses collectionneurs.Tous les éditeurs doivent déposer au moins une version (deux, je crois me souvenir) des oeuvres qu'ils décident de publier et diffuser (à vérifier pour l'édition dite à compte d'auteur). Là, commence le taf des Bibliothèques Nationales.Droit d'auteur, droit patrimoniaux. Quand l'éditeur ne dispose plus de rien, la B.N. si. C'est la grandeur et la lourdeur de la mission patrimoniale. Mais, rien n'est accessible gratuitement.Que le livre numérique parce qu'il propose des contenus nouveaux soit l'avenir, admettons... J'ai souvenir d'une B.D. datant des années 80 où l'artiste qui invitait à l'intertextualité (non décodée), proposait en outre des "bonus" genre à lire en écoutant... (Cosey, série Jonathan. Hors sujet : non fantasy et, à ma connaissance, non numérique actuellement.)Lavoisier a donc encore et toujours raison. En vertu de ce principe, vive le livre numérique. J'ajoute -car, je n'ai pas la profondeur de vue de Lavoisier- s'il ne précipite pas la mort de l'autre mais, bien au contraire, la prolonge.
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Sachez juste une chose, chers amis (dont owingketinketink): Le sujet du livre numérique peut NE PAS être relu depuis les sourcesdu topic.Pourquoi? La technologie est rapidement obsolète et les vérités d'hier ne sont plus, obligatoirement, les vérités d'aujourd'hui...Donc,lisez si vous les souhaitez les sujets jusqu'à 3 mois d'ancienneté maximum, me semble plutôt cohérent...
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Petite précision, ce n'est pas Google qui commercialise ce reader mais le fabricant coréen iRiver (plus connu pour ses lecteurs mp3),le partenariat avec Google est très fort car c'est le premier reader à offrir la possibilité de télécharger des livres directement sur le Ebook Store de Google comme le font Amazon ou Sony avec leur propre liseuses et boutiques.Bien que l'accent soit mis sur la possibilité de lire des livres sans les télécharger via Wifi, il sera tout à fait possible d'utiliser la liseuse de manière plus "classique" en transférant les livres depuis son PC.La liseuse est dite HD car la résolution de l'écran e-ink est la plus haute de sa catégorie.Voici les caractéristiques techniques de la liseuse : Wi-Fi intégréCapacité : 2 Go (1,4 pour le système)Carte mémoire : SD (SHDC)Connecteur : USB 2.0Ecran : 6 pouces, 768x1024 points, E InkFormats : ePub, PDF, TXT, FB2, DJVUDRM : ePub AdobeDictionnaire intégré : CollinsCompatible avec WindowsSource : O1net.com
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je te renvois à : http://fr.wikipedia.org/wiki/DjVu (apparemment la (petite) taille des fichiers est caractéristique de ce format) son intérêt pour ma part : j'ai plusieurs bouquins avec ce format et je n'ai jamais trouvé de convertisseur digne de ce nom :)Sinon mon gros "pfffffffffffff" du moment concernant les e-books : le fait que bragelonne sorte "lamentation" en mai 2010 pour la version papier et rien de prévu avant 2012 (au plus tôt) pour l'e-version. Apparement cela est dû à des négociations avec les auteurs/éditeurs ... je souhaite simplement que ce soit dû au fait que le livre date de l'année passée et qu'à l'avenir, ils prennent les devants pour éditer aux 2 formats suivant le même timing (comme ça a l'air d'être le cas pour farlander)