qu’il ne fini pas lorsque l'automate est réparé

papa Georges soit comme par hasard vendeur de jouet dans la gare où habite Hugo

la scène du cauchemar avec la locomotive qui passe au travers des fenêtre de l'étage de la gare, un accident

aux débuts du cinéma en général et à Méliès en particulier

Ben les scènes avec Sacha BAron Cohen, et plus généralement tout le microcosme de la gare, était manifestement censé faire sourire... et ce n'est qu'un énorme cliché jamais drôle.sinon pour moi le message martelé dans le film c'est tout le côté les enfants, vous êtes tous des magiciens, l'imagination est capable de tout, rêvez mes petits enfants, etc, etc... (bref le discours ridicule de Méliès ou tout le mode se doit d'applaudir Hugo qui tout compte fait n'a pas fait grand chose).Quant au scénario, tout n'est que prétexte à présenter l'univers de Méliès et du cinéma muet. Qui est génial en soit, certes, mais du coup tout ce qui est autour est assez vain et ennuyeux. Et sans blague, la clef de l'automate c'est forcément la fille qui l'a ???? Et les enfants, ils n'ont aucune profondeur, aucun background (ou tellement banal !) c'est vraiment les héros type de films d'aventure pour enfants hollywoodien - il n'y a guère que le tic de langage de la fille qui soit amusant. Après, la réalisation est virtuose et il y a des passages vraiment magiques. Ce qui m'a d'autant plus frustrée

qu'il n'est au fond pas si méchant...

de Melies "les images du cinéma permettent de fixer à l'écran les rêves les plus fous que l'on peut imaginer"

du déraillement

quand Hugo rêve qu'il est lui même un automate