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Allez je relance avec un troisième extrait Elle s'ébroua et chassa cette pensée de son esprit. D'une caresse mentale, elle ordonna à un serpent de distiller son venin, une drogue aux vertus apaisantes dont elle usait lorsqu'elle se sentait nerveuse. Le temps d'un soupir, son corps se détendit et la pression qui pesait sur ses épaules se relâcha.

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Ah voilà quelqu'un qui me connait bien ;);mais on ne cherche pas l'auteur .... plutôt l’œuvre Allez c'est facile, y'a même un changement par rapport à ce que je disais dessus à la première citation : suis pas la seule à apprécier :sifflote: :D

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Merci Ramaloce :DA la lecture de la dernière citation, j'ai tout de suite pensé aux Chroniques des crépusculaires, mais cela ne collait pas avec les autres citations. Je n'avais pas pensé au recueil de nouvelles.Puis j'ai lu la critique avantageuse d'Aléthia ... et sachant que Witch aime les romans de Gaborit ... la déduction est devenue plus facile :)=========================================Voici donc un premier extrait.
Elle rêvait de rivières en crue, de raz-de marée, de tourbillons sans fin se déversant en masses liquides à perte de vue. Elle avait depuis peu recouvré tous ses rêves, comme échappés de la boite de Pandore. Elle les trouvait lointains, presque étrangers, sombres, aqueux, mélancoliques.

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Un indice : Un auteur français.Une citation :
La peur.C'est cela. Cette lente plongée dans les noirceurs de l'humain, dans les profondeurs absurdes de la fragilité des mortels.

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Le premier était un calme en creux, l'écho des choses absentes.
C'est une belle plume :)Je relance ... mais je passe mon tour pour qu'il y ait d'autres joueurs autour de la table :PEdit : grillé d'une minute :PBravo LordAtticus, c'est bien le Prologue du Nom du VentEn deux pages, on est transporté dans l'univers de Rothfuss.Si vous ne l'avez pas lu ... n'hésitez plus.

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Désolé Eolan :p !Bon, du coup, je me lance.
Mon jeune apprenti suivait les évolutions de ma main avec une curiosité évidente. J'exagérais volontairement le geste et déployais toutes les ressources de mon talent en traçant courbes, lignes et déliés sur le parchemin encore empreint d'odeurs forestières.

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Voila donc pour moi, un passage qui m'a fait beaucoup rire :
— …Te lever dans trois secondes, je te poignarde avec ce biscuit. [...] Un ! Deux ! Trois !Le jeune homme ouvrit les yeux et saisit le biscuit avec tant de force qu’il vola en éclats.— Merde, dit-il en essuyant les miettes qui couvraient ses cheveux. Mais qu’est-ce qui vous prend ?Il le regardait avec un large sourire.— C’était juste pour rigoler, dit-il.