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pffff il est clair que le monsieur n'arrive pas à se renouveler...et toujours cette fascination pour le viol...
est ce que les chiffres de ventes ne vont pas finir par refléter la lassitude des lecteurs pour les livres de Goodkind ? :mellow:je crois que je ne terminerai jamais l'épée de vérité, et que je ne lirai jamais cette "première inquisitrice" PS : il faudrait changer le nom du topic non ?
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Je trouve que vous êtes un peu sévère quand même... Je veux bien qu'après toutes ces années certains puissent être déçus par un manque d'innovation ou d'amélioration de style mais de là à descendre systématiquement chaque nouveau roman de Goodkind.Pour ma part en tant que libraire je viens me faire un "avis complémentaire" sur elbakin et au vu des critiques impitoyables sur certains ouvrage j'avoue en avoir laissé de coté quelques un. Et n'ayant pas jamais lu de Goodkind (parce que c'est un peu décourageant de commencer un cycle de 12 tomes alors qu'il y a tant de sorties) je me fiais plus ou moins aux critiques.Mais vu que que la première inquisitrice peut se lire indépendamment je me suis lancé et je suis agréablement surpris. Pas de style particulièrement lourd, l'intrigue avance bien même si on a des doutes relativement tôt quant a l'identité des grands méchants. Les descriptions des principes de fonctionnement de la magie sont intéressant. (ici je parle en tant que néophyte de l'univers de Goodkind) et il faut atteindre la deuxième moitié du roman pour avoir la première allusion au viol. Je rappelle au passage que dans un univers médiéval fantastique ça reste réaliste que les femmes se fassent abuser et les hommes tabasser, surtout pendant d'éventuelle séance de torture... (pour les demoiselles qui s'offusqueraient je rappelle que ce n'est pas un auteur "jeunesse" et que la gente féminine s'arrache la trilogie de grey qui s'apparente fortement à des sévices sexuels.... avec un texte pourris)Finalement, je trouve que c'est un roman tout à fait accessible à un large public. C'est peut-être pas le roman de l'année mais c'est un titre facile à conseiller. Je continuerai bien sûr à venir voir les coup de coeurs et critiques mais je regarderai d'un oeil plus critique les notes attribuées.
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Jocuste, en fait Goodkind c'est sympa mais à très petite dose, au bout de plusieurs tomes les discours politiquoidéologiques, les scènes de viols hardcore et les "Richard et Kahlan sont séparés mais ils s'aimeeeeent" sont vraiment lourdingues.Le mieux c'est que tu lise la série (ou au moins quelques tomes), tu comprendras mieux les critiques du site à mon avis 
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Le style n'est peut-être pas lourd à proprement parler mais très banal et tout de même bien naïf dans la façon dont l'auteur dépeint la psychologie de ses personnages, non ? :)Maintenant, tu noteras que je n'ai jamais dit me concernant que l'intrigue n'avançait pas. C'est d'ailleurs en général le point fort de Goodkind sans doute. Mais si l'intrigue principale avance, c'est à coups de tunnels de dialogue, encore et encore. On parle quand même d'un auteur qui a + de 10 romans derrière lui maintenant et qui reprend toujours les mêmes schémas.Pas de style particulièrement lourd, l'intrigue avance bien même si on a des doutes relativement tôt quant a l'identité des grands méchants.
Sauf que ce n'est pas le souci ici.Je rappelle au passage que dans un univers médiéval fantastique ça reste réaliste que les femmes se fassent abuser et les hommes tabasser, surtout pendant d'éventuelle séance de torture...
C'est bien la récurrence que je pointe du doigt.Ça, c'est sûr, comme du Marc Lévy. Alors, on va me dire que Marc Lévy permet à des gens qui ne lisent jamais de découvrir la lecture, mais franchement, j'ai des doutes...Finalement, je trouve que c'est un roman tout à fait accessible à un large public.
J'ai envie de dire malheureusement. Je comprends qu'un éditeur, et un libraire, aient besoin de locomotives pour publier/vendre des titres plus exigeants derrière, mais si l'image de la fantasy auprès du grand public, c'est Bilbo au cinéma et Goodkind en librairie, le chemin est encore long.C'est peut-être pas le roman de l'année mais c'est un titre facile à conseiller.
De toute façon, on n'a jamais prétendu détenir la science infuse.mais je regarderai d'un oeil plus critique les notes attribuées.
Mais j'ai juste un peu de mal à voir ce que tu reproches à la note au final. Car on n'a jamais dit que Goodkind n'était pas accessible ou facile à conseiller. Juste qu'il y a tellement mieux.137
Le style n'est peut-être pas lourd à proprement parler mais très banal et tout de même bien naïf dans la façon dont l'auteur dépeint la psychologie de ses personnages, non ?
Je peux tout à fait comprendre ton point de vue. Ce qui m'"offusquait" surtout c'est que sans faire du neuf, en gardant des personnages prévisibles mais relativement attachant et sans que ce soit non plus pénible à lire , tu ne lui accorde que 2/10 soit une note vraiment misérable.pour rappel une "daube" comme "Bingo le posstit" 4/10 donc presque le minimum requis (je dirais 5/10) pour être lisible.C'est bien la récurrence que je pointe du doigt.
Mais sinon je suis tout à fait d'accord il y a bien mieux.une idée du niveau de l’humour il faut bien avouer que le tout tombe à plat plus souvent qu’à son tourles notes de bas de page… Ah, ces notes ! Elles sont le plus souvent un véritable calvaire...Pour toucher au sommet de la fantasy, ou de l’humour, il faudra repasser, car ce n’est pas cet ouvrage qui aura de quoi satisfaire les amateurs de l’un ou de l’autre.
