Atanaheim a écrit :Non mais il y a perdre et rebuter... Désorienter et faire tourner en rond...Je vous laisse deviner dans quels cas je classe ce T1

@Will. J'avais bien compris la manœuvre que tu décris. Soit je suis un horrible blasé et aigris, soit j'ai lu ce cycle trop tard dans mon parcours de lecteur. Dans tous les cas je n'ai pas trouvé cette idée/révélation bouleversante.En fait dès que le fameux bateau arrive et que les mercenaires s'étonne de ne pas les voir attaquer, tu comprends
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qu'ils ont un truc à voir dans toute cette histoire de révolte
Je reviendrai sans doute un jour sur ce cycle, vue sa réputation, mais quand j'aurai plus de courage pour subir cette entame qui me pose problème.
Je comprend; moi-même, j'avais commencé le cycle peu après... les quatre premiers tomes de l'Epée de Vérité. :sifflote:Y découvrir des personnages forts, taillés à la serpe, c'était rafraîchissant. En fait, c'est le premier chapitre qui est totalement déroutant. Passé le
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forvalaka, on tient mieux la route, on découvre l'Empire de la Dame en même temps que Toubib.
Après çà, d'un point de vue général en littérature, j'avoue que je saute souvent les passages de descriptions de paysages ou d'architectures, ou même des personnages (Jordan m'agace avec). C'est plus doux avec Tolkien, on se laisse happer par l'ambiance et le style, je joue le jeu.On n'a pas ce genre de "remplissage" dans la Compagnie Noire. C'est un cycle sur la guerre et ses acteurs. Et très dur sur la nature humaine.