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Aïe, encore une critique élogieuse, mon banquier va me détester. Ca va faire un mois que je résiste vaillamment, Dishonored m'a aidé à tenir le coup, mais j'ai bien l'impression que je vais bientôt craquer.Merci pour la critique Littlefinger, et surtout pour l'avoir laissée sans spoiler, j'ai une peur bleue de découvrir la fin avant d'avoir joué 
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Pareil, un mois que ce jeu me torture titille. Mais j'ai décidé de ne plus jamais payer un jeu neuf plus de trente-trente-cinq euros. Du coup, j'ai acheté Bioshock 1 (mode survivant !!) et 2 pour patienter. (Oui, je sais, j'ai du retard...) Et si ça ne suffit pas, je finirai Catherine, Nier et Resonance of fate qui n'en finissent plus de traîner dans le placard. Non mais,... N'empêche, c'est rude 
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J'ai honte, je vais rejoindre la cohorte des gens qui n'ont aucun self-control.Sans regrets, c'était génial. Je rejoins Littlefinger sur sa critique, j'ai été soufflée par l'histoire, j'ai adoré Elisabeth et je suis déjà repartie pour Columbia parce que j'ai pas trouvé tout les petits machins ici et là. Je suis en plus impressionnée par la rejouabilité, les éléments que l'on croise s'emboîtent, tout ce qui était étrange ou ne faisait pas sens s'aligne et je prend un plaisir fou à rejouer, à entendre mon personnage commenter, à revoir les Lutece, et à me dire "mais c'est bien sur, suis-je bête".Une petite chose sinon, j'ai fait mon premier run en normal, parce que ce Bioshock est le 2ème FPS auquel je joue (je ne compte pas Dishonored que j'ai joué en mode discret, sans flingues ni explosions) et même pour quelqu'un de franchement pas doué comme moi, le jeu n'est pas particulièrement difficile. Je viens de recommencer en difficile et il n'y a rien d'insurmontable. En gros, si vous êtes un joueur même occasionnel, le challenge en normal est léger, et se corse sans trop pousser en difficile.
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je l'ai fini, et je suis d'accord avec Littlefinger, c'est un jeu magnifique de bout en bout.Le point fort du jeu restant le personnage d'Elizabeth qu'Irrationnal Games a réussi à rendre crédible, et terriblement attachante. A ce titre, la séquence de la zone Comstock House reste éprouvante et on se dépêche de la finir pour pouvoir libérer Elizabeth.Et cette fin ... Il y a toujours un phare, il y a toujours un homme, et il y a toujours une ville...Sinon qui est resté jusqu'à la fin des crédits pour voir la scène supplémentaire ? 
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j'avoue que la direction artistique et scénaristique de ce jeu m'a laissé pantois.Je n'avais pas apprécié le scénario d'un jeu à ce point depuis très longtemps.Alors que franchement, il faut bien avouer, dans un fps, ce n'est pas le scénario qui est généralement le plus développé :)Là il y a toute une panoplie de personnes bien conçus, mon seul regret concerne Daisy Fiztroy avec laquelle j'aurais aimé plus d'interactions.
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Et là tes neurones commencent à connecter les pièces du puzzle, l'histoire explose sous tes yeux et tu te rends compte à quel point tu t'es fait berner de bout en bout.Ce sont les séquences du musée et du cimetière qui me laissent la plus forte impression je croisZébulon a écrit :Et cette fin ... Il y a toujours un phare, il y a toujours un homme, et il y a toujours une ville...
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je crois qu'on peut trouver sur des sites la liste des parallèles entre Rapture et Columbia, Jack et Bookeret je viens de me rendre compte que dans Bioshock 2 on a Sofia Lamb, et dans infinite, le "lamb of columbia"il y a pleins de trucs comme ça dans le jeuDans la catégorie clins d'oeils, j'ai bien aimé le remix de Cindy Lauper à Battleship Bay (je n'ai pas reconnu les autres chansons au cours du jeu) et la revanche du jedi (en français dans le texte
)
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Ah, on va se comprendre Athénaïde.J'ai adoré le premier pour son ambiance, cette impression de décrépitude glauque et malsaine derrière une patine de vieille gloire passée. Ken Levine aurait facilement pu faire un Bioshock bis avec Infinite. Mais ce n'est pas le cas.Infinite a sa propre ambiance qui allie avec un parfait égal le lumineux et le sombre, c'est de l'utopie pure très marquée par l'intégrisme religieux. Mais à quelques passages, l'atmosphère s'inverse totalement, et c'est pour ça que ce côté si beau et impeccable de Columbia trouve son sens.Quand on passe dans les cachots, on a l'impression de voir l'envers du décor d'un monde monstrueux camouflé derrière des tonnes d'apparat.Mieux, Lors de la séquence en hiver, tu vas entrer dans une ambiance plus flippante et glauque que Bioshock 1 ou une partie de cache-cache avec les claqueurs de The Last of Us.Le point fort de Bioshock était son ambiance, pour Infinite c'est pareil mais sous un autre abord tout aussi, voir plus, brillant. Et bon, j'avais fait The Last of Us après et niveau scénario, The Last of Us vaut que dalle comparé à Infinite - Passé la formidable intro du jeu, le reste de The Last of Us c'est du vu et du revu et avec une fin toute pourrave.