


C'est marrant, c'est exactement ce que je me disais tout en lisant ce roman : "Finalement, y a encore de l'espoir pour nos auteurs français !"Et quel roman ! J'ai vraiment passé un agréable (je sais pas si le mot est juste en fait...) moment au sein de Wastburg. J'avais franchement l'impression de me retrouver dans un vieux bar un peu crado, un habitué m'abreuvant des dernières nouvelles du coin, et moi, à moitié ivre à l'écouter et me passionnant pour chacune de ses histoires.Simple ressenti, mais c'est ce qui en a fait toute son originalité pour moi !Saeric dal Ternhol a écrit :Cédric Ferrand, toi et ton compère Jaworski m'avaient redonné le goût de la fantasy francophone smile
Je suis bien canadien, mais je suis né à Bourgoin-Jallieu. Mon bilinguisme est donc très relatif. Il faudrait un anglophone de naissance élevé au San Antionio. Ça doit exister, mais ça ne courre pas les rues.J'ai des amis québécois qui ont lu mon roman. L'un d'eux m'a dit :"Quand je tombais sur un mot que je ne comprenais pas, je le remplaçais par Schtroumpf. Disons qu'il y a des phrases où il y avait beaucoup de Schtroumpf."Saeric dal Ternhol a écrit :Bah tu es Canadien non ? Donc sûrement bilingue ? Retrousse-toi les manches et traduis toi-même, que diable ! Ensuite tu pourras proposer ton bouquin à un perfide anglois (Et ainsi trahir notre Mère-Patrie, mais bon, un jour les québécois se libéreront du joug briton et verront la lumière, et notre douce France leur ouvrira ses bras chaleureux) ..
Comme Frédéric Dard ? Décidément, j'ai de plus en plus envie de lire Wastburg, qui est dans ma PAL depuis quelques moisCédric Ferrand a écrit :Je suis bien canadien, mais je suis né à Bourgoin-Jallieu.
Tiens, c'est intéressant, ça : comment ça se passe avec les agents au Québec ? En France très peu d'auteurs ont un agent, si je ne me trompe, alors qu'aux Etats-Unis (toujours si je ne me trompe) c'est très courant, y compris pour les auteurs de fantasy. Là, sans rien y connaître, ça m'étonne plutôt de voir que le tien a fui en apprenant ce que tu faisais...Cédric Ferrand a écrit :Avant d'être signé par les Moutons, j'avais essayé de me trouver un agent. Quand il a compris que c'était un roman, qui plus est de fantasy, il a très vite lâché l'affaire.
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