Terminé ce voyage éprouvant en Enfer...Une douloureuse plongée durant laquelle Bobby Dollar nous bombarde avec toujours autant de tact de ses analogies hasardeuses. :rolleyes:Le bouillonnement permanent de l'Enfer, la platitude du Paradis figé, de quoi s'interroger...J'ai apprécié, entre autres, les passages consacrés
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à - Néron
( bien fait pour lui ! ). - l'asphodèle, symbole de vie et de renouveau, ami des abeilles et pourvoyeur d'épées pour les enfants, et la place d'honneur qui lui est faite dans ce livre.Tad Williams malmène son héros et le lecteur jusqu'à plus soif tout au long du livre,
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s'acharnant à décrire chaque personnage démoniaque rencontré et toutes les horreurs supportées et sans cesse innovées dans le monde d'En Bas.
Quelle imagination débordante !
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Et déprimante, car on a le sentiment que bon nombre de damnés n'ont pas leur place ici-bas.
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D'où la troisième voie choisie par certains, sans doute...
J'aime beaucoup Bobby Dollar, ange malgré lui, mais j'ai du mal à l'imaginer en
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Commando des forces spéciales du Paradis tellement il est naïf face à L'Adversaire.
Un petit regret : la fin était prévisible.Tout ça pour ça, pourrait-on se dire...J’ai hâte de retrouver la gouaille de l'ange.
