Votre préféré ?

Autre(s)
Nombre total de votes : 6 (4%)
Von Bek
Nombre total de votes : 9 (6%)
Hawkmoon
Nombre total de votes : 22 (15%)
Erekosë
Nombre total de votes : 13 (9%)
Corum
Nombre total de votes : 16 (11%)
Elric
Nombre total de votes : 85 (56%)
Nombre total de votes : 151

484
Bonjour, A tout hasard quelqu'un aurai t-il des informations concernant une éventuelle traduction de la suite de "La Fille de la voleuse de rêves" à savoir : The Skrayling Tree: The Albino in America & The White Wolf's Son: The Albino UndergroundDésolé si la question à déjà été posée, je n'ai rien trouvé chez les éditeurs Atalante et omnibus

485
J'avais envoyé un mail à l'Atalante pour savoir ,j'ai posé aussi la question sur leur forum ,pas de réponsesJ'imagine que les ventes n'ont pas suivi ... dommage :(Je pense que l'éditeur aurait du miser sur la présence d'Elric pour tenter le lecteur !Ce sont des livres qui me faisaient vachement envies ,surtout vu la critique du site !Peut etre qu'on les verra avec les intégrales en poche ,mais c'est pas sur hélas...

486
Ah c'est bien dommage effectivement j'ai fais Elric/Hawkmoon/Corum/Ereköse et la Von Bek qui se démarque pas mal des autres.Wait & See je pense également que cela pourrait sortir un jour mais c'est pas pour tout de suite ! Merci

488
Juste un petit mot, parce que je suis tombée sur le premier tome de Gloriana récemment.J'avais essayé Morcook ado avec le premier tome d'Elric, et ça avait pas pris. Je ne sais plus trop pourquoi. En gros j'avais refermé le bouquin en me disant "mouais" et j'étais passée à autre chose. Du coup Gloriana c'était un peu un test, pour essayer autre chose de Morcook. Et là j'ai plutôt bien marché. Ce n'est pas une lecture qui se dévore, c'est un livre qui s'apprécié, ligne par ligne, en prenant son temps. Et on prend plaisir à cette atmosphère assez déstabilisante de conte pour adulte. Par contre le bouquin que j'ai trouvé est une édition de l'Atalante découpée et je ne sais pas trop comme je vais faire pour mettre la main sur la seconde partie...:(En tout cas je pense qu'à l'occasion j'essayerais de dépoussiérer Elric pour voir si, par hasard, je ne serais pas capable de l'apprécier maintenant. ;)

491
Je me suis replongé dans Elric, que j'avais lu il y a longtemps, je suis à la moitié de Stormbringer, un plaisir à lire et à relire, je me procure du coup petit à petit tous les écrits de Moorcock :).

495
Merci pour l'article, je vais disséquer
qui a été mis en pièces pour inclure l'histoire dans la continuité des premiers films, tout en essayant de rendre hommage à chaque note, chaque appendice et chaque lettre de J.R.R. Tolkien.
très discutable, mais c'est l'avis du journaliste.
voit l'oeuvre de Tolkien comme à peine plus qu'une vision conservatrice figée dans un statu-quo, une aventure qui amène son héros dans un "Aller et Retour" plutôt que dans un monde où l'expérience ne permet pas de rentrer ensuite tranquillement chez soi.
là par contre, c'est une lecture bien courte de croire que les hobbits rentrent chez eux inchangés pour vivre heureux en bonne santé comme si de rien n'était.
le vaste catalogue de noms, de lieux, d'anneaux magiques et de rois des nains de Tolkien est "une confirmation pernicieuse des valeurs d'une classe moyenne dépourvue de moralité."
Je ne connais pas assez les valeurs de la classe moyenne amorale pour comprendre le rapport.
pour y voir, non pas "le merveilleux chaos de la réalité" mais "la stabilité, le confort et une forme de catharsis sécurisante".
pour une narration utilisant un personnage aimant le confort, ça ne me surprend pas. Quand au chaos, dans un univers secondaire, la réalité est celle que décide l'auteur.
Les habitants de Melniboné ne sont pas les elfes spirituels, presque angéliques, de la Lothlórien, mais une race d'autocrates décadents dont les pouvoirs magiques proviennent de démons.
On parle bien des elfes qui voulaient laisser la compagnie se faire bouffer par les orques plutôt que de les laisser entrer à cause de leurs lois sur l'immigration ? Qu'aurait-il dit des elfes du premier âge ?En définitive, ce qu'il n'aime pas, c'est que les "gentils" aient gagné à la fin ? C'est pas nouveau.

497
Qu'aurait-il dit des elfes du premier âge ?
+1 pour Foradan.J'ai un respect immense pour l'oeuvre de Moorcock, et le cycle d'Elric est une de mes références majeures en fantasy, et même plus généralement en littérature Pourtant je ne peux m'empêcher de lever un sourcil à la lecture de cet article. Que Moorcock et ses comparses furent à l'origine d'un nouvel élan, d'une nouvelle vision des récits de l'imaginaire, d'accord, rien à redire.Affirmer que chez Tolkien, les personnages ne retire aucune expérience de leur voyage, que les elfes sortent tous d'une pub pour Ushuaïa... Je pense que c'est faire preuve d'une assez importante méconnaissance de l’œuvre. Peut-être fut-ce le cas dans les innombrables pastiches du SDA, mais dans ce cas le Professeur n'a aucune responsabilité. Et surtout, j'ai encore l'impression de lire des gens, qui s'ils ont fait plus que regarder les films, que j’adore au demeurant, ont limité leurs lecture au SDA, et peut-être au Hobbit, sans jamais tourner une page du Silmarillion, ou des contes perdus. Les "elfes angéliques" ?? Et Fëanor ? Et Maeglin ? Et Eol ?Les aventures, de simple aller-retour ? Passons outre le départ de Frodon pour l'ouest, marqué par le Roi Sorcier, Arachne, et l'Anneau, et rappelons Turin, Tuor, l'évolution et l'affirmation de Sam...Bref je trouve tout ça très léger, presque caricatural. :|

498
Je connais pas vraiment Elric et je ne suis pas une adepte à 100% du SdA (pas taper!) Mais j'ai quand meme été surprise par le ton de l'article en le traduisant. J'ai aussi eu l'impression que le journaliste s'arrêtait à une vision très clichée de l'oeuvre de Tolkien que beaucoup de non-specialistes peuvent avoir, en grande partie à cause des adaptations cinematographiques. Meme si je ne vois pas bien ce que Thandruil a d'angélique xD

499
Je vais nuancer : autant Moorcok, dans ses critiques des années 70, n'avait pas de silmarillion (paru seulement en 77), autant en 2015, ça relève de la paresse intellectuelle, et je ne sais pas quelle est la part du journaliste entre les propos qu'il relève sans les dater et ses propres avis.