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Personnellement les livres se déroulant à Londres ne m'ont jamais attiré... sans raison particulière , je ne suis pas anglophobe !Je ne sais pas pour quoi mais s'est un fait. En règle général j'ai du mal avec les livres se déroulant dans notre monde hors moyen-age / antiquité mais c'est pire avec Londres !Par contre je suis d'accord avec le fait qu'on puisse nommer cette ville capitale de la fantasy , vu le nombre d'ouvrages s'y déroulant (Pourquoi personne n'écrit de bouquins fantasy sur Beuvry ?)

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Puisque la fantasy est d'origine anglo-saxonne, ça ne m'étonne pas beaucoup. Ça me fait penser aux films américains où quand les extraterrestres envahissent le monde, on dirait que ça se résume aux USA (et qu'il n'y a que New York qui est détruite) ! :DJe n'ai jamais visité cette ville, mais elle a une réputation d'excentricité et une histoire (on trouve un peu d'Oliver Twist et ses bas-fonds de Londres dans Nverwhere avec son Londres d'en Bas après tout) qui doivent bien se prêter au genre.

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Seb a écrit :Est-ce que je suis le seul à trouver les trois premières phrases du résumé sont plus que bancales ?

Ouh la, bien vu. Ce n'est même plus "bancales", c'est carrément une boucherie grammaticale...

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Est-ce que ce n'est pas le créneau de Jean-Luc Marcastel, justement, la fantasy régionaliste ?
Et en jeunesse tu as Eric Tasset qui se balade en Isère avec son héros Thomas Passemonde.
"Il n'existe rien au-dessus du métier de bibliothécaire" Terry Pratchett