BD bien reçue Merci encore Gillossen. Pas encore entamé la lecture de Célestopol mais ça ne saurait tarder.

BD reçue et lue !Très bonne intro à l'univers de Celestopol, on y retrouve quelques clins d’œils à différentes nouvelles le tout agréablement mis en image ! Ca m'a donné envie de connaitre les autres œuvres de Em !Les seuls petits bémols que j'y mettrais c'est 1/ c'est trop court : la nouvelle c'est pour les bouquins, en BD on en veux plus ! :p2/ Je voyais quelque chose de plus sombre (illustration de Simonetti oblige) et glauque !

J'ai reçu la BD et j'ai bien aimé la lecture. Ce fut trop court mais c'est quand même intéressant de voir cet univers transposé en images. J'AI été très heureux de retrouver 2 personnages croisés dans une autre nouvelle et j'espère bien les recroiser dans une autre nouvelle. Le dessin m'a plus surtout du côté des décors. C'était un très bon avant goût du recueil. Il ne me reste plus qu'à me procurer le dit ouvrage.

Akallabeth a écrit :2/ Je voyais quelque chose de plus sombre (illustration de Simonetti oblige) et glauque !

Ben, quand même, il ne faut pas faire peur aux gens. ^^Et puis, + long, moi aussi, je suis d'accord, aucun souci, mais ce n'est pas gratuit tout ça. En tout cas, merci pour Em pour vos retours !

J’ai reçu la BD et c’est une bonne surprise ! Je n’ai pas encore lu Celestopol mais je trouve que ça pose déjà un univers et une ambiance steampunk très sympa qui donnent envie de se lancer dans le recueil.:)Même si le dessin n’est pas toujours parfait, (je trouve les lignes un peu trop épaisses et le traité en réduction peut-être pas assez précis, mais après c’est un style), il est dynamique, plein de jolis détails et l’ambiance est bien travaillée : le choix des couleurs est très chouette ! Mon seul bémol serait sur les bulles de dialogue qui sont trop présentes et qui peuvent plomber les cases, c’est dommage :/Une bonne mise en bouche en tout cas, mission accomplie

C'est gentil pour les couleurs. On voulait garder une certaine cohérence avec la couverture de Marc Simonetti. :)En passant, pour la BD : si certain(e)s d'entre vous n'ont pas été "livré(e)s", faites-moi signe par mail ou MP ! Ce n'est pas normal. Je sais qu'il y a déjà eu deux cas de personnes qui ne l'avaient pas reçue, une erreur corrigée depuis. Bon, et si vous êtes de Québec ou des environs, un exemplaire gratuit se balade en ville. Oui, c'est très localisée comme promo.

Très belle initiative de ta ta part Gillossen.

Oh, c'est sympa ça :)J'ai lu la BD et elle met agréablement en jambes, même si je me joins aux précédents avis, je n'aurais pas craché sur quelques pages de plus . J'aime beaucoup l'aspect steampunk et ça donne envie d'avoir le recueil pour se plonger dans cet univers plus en détails.

Et la chronique d'Asavar est en ligne : http://www.elbakin.net/fantasy/roman/celestopol-5162

Merci pour la chronique! J'en suis à un peu moins de la moitié du receuil, je repasserai donner mon avis une fois terminé.

Toujours pas reçu perso... :(Merci pour la chronique !

Tout est en route, mais bon, la Poste belge, comme d'habitude...

Lu aussi (merci les exclus des Imaginales, ça m’a évité d’attendre le bon vouloir des Postes belge et française !) et j’en ressors comme Asavar avec une impression très positive.Petit disclaimer pour commencer : je fais partie des lecteurs qui n’ont pas accroché au Village. Comme j’ai eu l’occasion de le dire à Gillo, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de bonnes idées, mais j’en suis quand même sortie assez mitigée. Du coup, j’abordais Célestopol avec une certaine inquiétude, en croisant les doigts pour ne pas avoir à écrire encore un mail mi-figue mi-raisin à Gillo. :PEt bien je n’avais aucune raison de m’inquiéter, pour moi c’est du très bon. L’écriture était une de mes principales critiques concernant Le Village, et j’ai trouvé que l’amélioration était spectaculaire sur Célestopol. J’ai l’impression que la "mode" est au recueil de nouvelles reliées par un fil rouge, qui ne forment pas tout à fait une histoire complète-mais-en-fait-si, et ce n’est pas pour me déplaire. C’est très agréable de retrouver des personnages transverses d’une histoire à l’autre, à commencer par le despote en chef.J’ai apprécié la diversité des nouvelles, entre celles qui versent dans l’action pure et celles qui sont beaucoup plus introspectives (mention spéciale au "Boudoir des âmes" à ce niveau-là). De façon générale, les nouvelles avec un personnage central automate m’ont carrément émue. Le recueil réussit à être à la fois cynique et touchant, et ce sont souvent les personnages non humains qui m’ont le plus remuée.Et puis la ville, quoi ! Les cités steampunk russisantes sur la Lune, on n’en croise pas tous les quatre matins ! Célestopol n’est jamais vraiment décrite dans son ensemble, on la découvre par petits bouts au fil des nouvelles, mais ça suffit pour faire naître une ambiance – paradis pour les uns et enfer pour les autres.C’est un bon 7/10 pour moi et je peux le recommander en toute objectivité !

J'aime bien ce résumé, "cynique et touchant", je ne sais pas pourquoi. :pAu moins je termine décidément bien la semaine, alors que le livre vient à peine de sortir. :)Ah, et puisqu'on m'a posé la question en me demandant ce matin si c'était normal, les signes "bizarres" dans la nouvelle "La Danse des libellules", c'est simplement du mandarin.

Allez, lu également. Et approuvé !Je ne suis pas un habitué du format recueil de nouvelles, ceci expliquant sûrement que j'ai lu Célestopol plus lentement qu'un roman standard (genre Le Village ), mais j'en ressors ravi. J'avais aimé Le Village malgré quelques tics de jeunesse (petits soucis de rythme parfois, méchant qui en fait des caisses) et je trouve qu'Emmanuel s'est amélioré dans son style. L'écriture format nouvelle apparaît ici concise, efficace, avec ce qu'il faut de poésie et d'imaginaire quand même. Cette exploration de la cité lunaire via le regard de multiples protagonistes permet de saisir au mieux son atmosphère rétro-futuriste empreinte d'âme slave. On a l'impression d'y être, de se promener avec les protagonistes le long des canaux de Sélénium, de gravir le beffroi de Saint Basile, ou même d'aller parfois en escapade à l'extérieur du dôme. Dépaysement assuré (et big up au splendide artwork de Marc Simonetti). Mais effectivement, Célestopol, c'est aussi le destin croisé d'âmes blessées, à la dérive, à commencer par ce duc Nikolaï méprisé par la tsarine, rejeté par ses proches, qui tente dans son exil lunaire d'exister par-delà tous ceux qui le méprisent / le rabaissent. En ressort un personnage mystérieux et fascinant, parfois un peu caricatural aussi (réaction très cruelle dans "les Jardins de la Lune"), que l'on aime détester mais avec lequel on entre souvent en empathie. Des personnages touchants, il y en a des caisses, comme ce viticulteur qui s'enferme dans le mensonge, ces frères ennemis amoureux d'une même femme que les événements acculent au drame, ce voleur épris d'une belle violoncelliste française (magnifique scène sur la glace au passage), ces automate humanisés, ici un fugitif voulant admirer l'intérieur du dôme, là une esclave sexuelle éprise d'une cliente, là encore un "médium" ballotté par la tragédie. D'autres personnages sont attachants : Anton le journaliste désabusé, Clémence l'historienne têtue, Igor le contremaitre bourru et indépendant... et bien sûr le truculent duo Arnrun et Wotjek, la cow girl islandaise et l'ours parlant ayant droit au beau rôle dans deux nouvelles, un caméo dans une autre et aussi une petite BD pour ceux qui ont précommandé le livre. En espérant voir ce duo débonnaire et comique tenir le haut de l'affiche lors d'un prochain roman ?Je n'ai pas vraiment de reproches à faire à ce recueil hormis il est vrai quelques imperfections formelles (couvertures cartonnée fragile, quelques coquilles de ci de là) et, évidemment, quelques nouvelles en deçà des autres (pour ma part : Oderint Dum Metuant trop prévisible - je sais que cet avis ne sera pas partagé, La chambre d'ambre trop anecdotique, la danse des libellules un peu tirée par les cheveux dans sa conclusion, les jardins de la lune trop succincte). Quelques fins sont un peu abruptes, il faut aimer "rester sur sa faim". Fly me to the moon est autosuffisante et antérieure aux autres nouvelles, ça se sent mais je ne vois pas comment la placer autrement dans ce recueil. Pour le reste honnêtement on navigue entre le vraiment très bon et l'excellent, et je ne peux que vous recommander particulièrement Face cachée, Dans la brume, Le boudoir des âmes, Fly me et Tempus fugit qui sont vraiment superbes... pour plein de raisons différentes.Je noterais à 8/10. Bravo à Emmanuel, ça ne présage que du meilleur pour ses prochains projets en cours

Merci pour ton avis ! C'est toujours plaisant si on sent une évolution. Bon, et que vous ayez lu ou pas (encore...) Célestopol, gros billet tourisme sur le blog. Si vous l'avez déjà lu, j'espère que ça vous évoquera des souvenirs, et si non, que ça vous donnera envie, bien sûr.

Quelle lecture agréable que fut Celestopol. Je ne suis moi non plus pas un habitué des recueils de nouvelles mais au contraire de Ser Garlan j'ai lu ce recueil comme un roman. J'ai été littéralement emporté par les destins des personnages, ceux-ci aurait largement pu être au cœur d'un roman à eux seul. Chacune des nouvelles est différente, mais sont tout de même reliées entre elles par le biais de la ville elle même. Vraiment, la cité de Celestopol est un personnage à part entière. Dans chaque nouvelle, on en apprend un peu plus sur la ville et ses merveilles, mais aussi de ses bas fonds et de son côté plus sombre. Il m'arrive encore de m'imaginer des scènes du "roman" tellement certaines ont une réelle puissance d'évocation. Les personnages sont l'autre grande force du livre. Ils ont tous une personnalité qui leur est propre, ils sont littéralement humains, surtout les automates qui sont à mon avis les personnages les plus réussis de l'ouvrage. Deux personnages sortent quand même du lot par rapport aux autres et ce sont les deux mercenaires, Arnrun et Wotjek. Quelle paire ces deux là ! J'espère sincèrement les revoir dans d'autres nouvelles ou pourquoi pas dans un roman.J'ai eu un petit pincement au cœur lorsque j'ai tourné la dernière page, je voulais rester à Celestopol et y admirer les canaux de sélénium, rencontrer de nouveaux personnages, aller jouer au Casino flottant,etc.Cette lecture fut pour moi un véritable coup de cœur et j'espère sincèrement retrouver cet univers un jour.

Reçu vendredi et presque fini ! ;)Je suis d'accord pour dire qu'il y a vraiment une amélioration depuis le Village, en particulier sur les personnages qui me semblent bien plus consistants que dans le premier. J'aime beaucoup l'ambiance de la ville et de ses bas-fonds. Une ambiance sombre, souvent glauque, se terrant dans l'ombre du faste et de la splendeur de la noblesse sélénite. Une dualité parfaitement représentée par le maître de la ville : le duc Nikolaï qui est un personnage omniprésent et plein de mystère. C'est d’ailleurs lui la véritable incarnation de la ville !Le coté nouvelle est extrêmement bien exploité ici avec des histoires courtes centrées sur une (bonne) idée et qui ne s'encombre pas de chichis. Bien sûr toutes ne sont pas égales et si certaines nous envoie sur la lune, d'autres nous laissent plus froids mais les gouts et les couleurs... ;)Bref j'ai pas terminé mais j'aime déjà !

Merci ! Je t'avoue que je suis déjà content que tu l'aies reçu sans "trop" attendre.