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Je viens de finir Les Centaures dans mon marathon Callidor et je ne suis pas déçu !
Comme le dit Gilthanas dans sa critique le livre est d'une poésie, d'un charme et d'un romantisme incroyable ! S'il me fait penser à la fin du Seigneur des anneaux témoignant du déclin des elfes, il n'en est que plus beau par la comparaison !
On retrouve ce peuple fort et en communion avec la nature mais dont la race est en déclin, les naissance se raréfient et il est incapable de s'adapter aux conditions climatiques changeantes. En face de celui-ci on a une race chétive et faible dont seules la capacité d'adaptation et l'agilité lui permet de survivre puis de se répandre !
La plume est magnifique et magnifiée par les illustrations qui ponctue le récit !
Bref un nouveau succès total des éditions Callidor...
Comme le dit Gilthanas dans sa critique le livre est d'une poésie, d'un charme et d'un romantisme incroyable ! S'il me fait penser à la fin du Seigneur des anneaux témoignant du déclin des elfes, il n'en est que plus beau par la comparaison !
On retrouve ce peuple fort et en communion avec la nature mais dont la race est en déclin, les naissance se raréfient et il est incapable de s'adapter aux conditions climatiques changeantes. En face de celui-ci on a une race chétive et faible dont seules la capacité d'adaptation et l'agilité lui permet de survivre puis de se répandre !
La plume est magnifique et magnifiée par les illustrations qui ponctue le récit !
Bref un nouveau succès total des éditions Callidor...
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Akallabeth a écrit :S'il me fait penser à la fin du Seigneur des anneaux témoignant du déclin des elfes, il n'en est que plus beau par la comparaison !
Ouh là là, la phrase qui donne envie ! J'avais déjà prévu de lire le livre, j'avais pas besoin de l'envie de me précipiter dessus !
« Le Seigneur Ogion est un grand mage. Il te fait beaucoup d’honneur en te formant. Mais demande-toi, mon enfant, si tout ce qu’il t’a enseigné ne se résume pas finalement à écouter ton cœur. » - Tehanu, Ursula K Le Guin
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Haha, tu vas lancer un gros troll ici avec une comparaison pareille 
mais c'est une très belle fin, en effet, dotée d'une grande puissance poétique. Je ne sais pas si on peut comparer les deux livres dans les autres domaines, car leurs univers et même leurs thèmes restent très différents.
L'univers des Centaures est préhistorique, très proche de la mythologie gréco-romaine classique dans ses inspirations, et il choisit de rester assez simple dans sa description de différentes cultures ; celui du SdA est médiéval et beaucoup plus détaillé (ce n'est pas un jugement, simplement un constat de deux choix différents dans la création d'un univers).
Pour ce qui est des thèmes, Le Seigneur des Anneaux est surtout une méditation sur la mort et l'immortalité, tandis que dans Les Centaures on sent beaucoup plus l'influence des conceptions de l'Histoire de l'époque de l'auteur, ce qui rend certains aspects du roman plus datés. Par contre, les deux romans traitent du Mal (et Les Centaures est nettement plus pessimiste sur la nature humaine de ce point de vue).
mais c'est une très belle fin, en effet, dotée d'une grande puissance poétique. Je ne sais pas si on peut comparer les deux livres dans les autres domaines, car leurs univers et même leurs thèmes restent très différents. L'univers des Centaures est préhistorique, très proche de la mythologie gréco-romaine classique dans ses inspirations, et il choisit de rester assez simple dans sa description de différentes cultures ; celui du SdA est médiéval et beaucoup plus détaillé (ce n'est pas un jugement, simplement un constat de deux choix différents dans la création d'un univers).
Pour ce qui est des thèmes, Le Seigneur des Anneaux est surtout une méditation sur la mort et l'immortalité, tandis que dans Les Centaures on sent beaucoup plus l'influence des conceptions de l'Histoire de l'époque de l'auteur, ce qui rend certains aspects du roman plus datés. Par contre, les deux romans traitent du Mal (et Les Centaures est nettement plus pessimiste sur la nature humaine de ce point de vue).
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Très bonne surprise en effet que cette réedition de Callidor. Le ton tragique et mélancolique m'a vraiment touché, et cette atmosphère de préhistoire "à la grecque" est suffisamment originale pour attirer l'intérêt du lecteur. Une belle découverte.
Pour ma part je n'ai pas fait de rapprochement avec le sda.
Pour ma part je n'ai pas fait de rapprochement avec le sda.
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relax67 a écrit :Cela fait un bon moment que je n'entends plus parler des éditions Callidor; depuis le début de l'année et la "parole aux éditeurs" en fait.
Ils n'ont rien publié de nouveau cette année il semble. Ont-ils des problèmes?
Les parutions chez Callidor, jusqu'à présent, sortent toujours (sauf la première) entre octobre et décembre. ;-)
