Moriakin a écrit:Aragorn, jaloux du succès inattendu de Gandalf chez la gente féminine, se retire pour sauter du haut des murailles...
Tout en plongeant dans le vide Aragorn pensa: "A présent plus rien sauf le Hasard ne peut me sauver!.. Sauf peut-être un miracle, ou la chance, ou le destin, ou..." Le Dunedan ne put finir sa phrase car il venait de s'écraser sur un cavalier qui allait prestyement à Minas Tirith. Appelez ça le hasard, un miracle, la chance, ou le destin... Mais vous rigolerez moins en sachant que le fils d'Arathorn était tombé les côtes en avant sur l'épée que brandissait le cavalier, ou plutôt la cavalière... "'Tain qu'est-ce qui s'passe", pensa-t-elle alors qu'elle se relevait de sa chute de cheval, puis voyant Aragorn parterre, l'épée enfoncé dans les côtes elle prononça ces paroles devenu à présent mythiques de par l'émotion et la douleur qu'elles dégages: "M%$µ#! Aragorn! Oh p§¤°/* on est dedans jusqu'au cou là!" Car c'était Arwen qui apportait Anduril à Aragorn, cette même Anduril qui siédeait à présent dans ses côtes. L'Elfe sortit prestement l'épée des cotes de sonb bien-aimé et sortit un anneau de sa poche: c'était Vilya, l'anneau des vents, qu'elle avait dérobé à son père! Elle l'enfila et prononça une incantation à voix basse tout comme Gandalf, des paroles anciennes que l'on peut approximativement traduire aujourd'hui par: "Force Bleue!" Elle devint alors une guerriere géante entouré par les vents avec une armure argenté et bleue, comme l'anneau argenté orné d'un saphir qu'elle avait au doigt. Elle pointa l'anneau vers Aragorn, prit une profonde et un éclair partit du saphir pour s'abatre sur Aragorn! Se dernier ouvrit alors les yeux et totalement guerrit il s'écria: "P§!%£$ j'ai fait un de ces rêves! Euh, il est quel heure là?"