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Bibliothécaire/correspondant de presse/ouvrier dans les vignes. Et après, je m'étonne de jamais avoir le temps de lire 
Plus sérieusement, mon métier principal est désormais bibliothécaire et comme ce n'est pas un temps complet, je pige à côté dans un journal du coin et j'aide dans la ferme de mes parents.

Plus sérieusement, mon métier principal est désormais bibliothécaire et comme ce n'est pas un temps complet, je pige à côté dans un journal du coin et j'aide dans la ferme de mes parents.
Expert ès calamités
"Nous adorons tous les histoires. Nous vivons pour elles" Comme un diamant dans ma mémoire GG Kay
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Après une expérience de développeur web, je redeviens étudiant, dans un cursus qui aborde (entre autres) la gestion documentaire et la veille informationnelle.
J'espère pouvoir profiter de ma réorientation pour mettre un pied dans le monde des livres et/ou de la fantasy (ou, plus globalement, dans l'Imaginaire).
J'en profite pour glisser une petite bouteille à la mer : Je suis actuellement en recherche d'un stage (non rémunéré) de 12 à 16 semaines en région Toulousaine ou en télétravail. N'hésitez pas à me contacter en mp si ça vous intéresse
J'espère pouvoir profiter de ma réorientation pour mettre un pied dans le monde des livres et/ou de la fantasy (ou, plus globalement, dans l'Imaginaire).
J'en profite pour glisser une petite bouteille à la mer : Je suis actuellement en recherche d'un stage (non rémunéré) de 12 à 16 semaines en région Toulousaine ou en télétravail. N'hésitez pas à me contacter en mp si ça vous intéresse

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Ah tiens, je n'étais jamais par ici, encore... ! bcp de profils librairie/doc/bib
ce n'est pas très étonnant, cela dit.
Je suis bibliothécaire (aussi), dans une BU.
Je m'occupe des abonnements de périodiques, des commandes d'ebooks pour toutes les bibliothèques du réseau et de la numérisation des collections patrimoniales pour l'université (ça c'est chouette).
Avant, j'étais fleuriste. Il m'arrive de rêver de bouquets parfois encore. Un jour, je quitterai mon job, et je ferai autre chose. J'ai déjà des idées, mais ce n'est pas encore mûr.
J'aime bien l'idée de faire plein de trucs différents dans une vie. Comme si on était un chat et qu'on avait 9 vies

Je suis bibliothécaire (aussi), dans une BU.
Je m'occupe des abonnements de périodiques, des commandes d'ebooks pour toutes les bibliothèques du réseau et de la numérisation des collections patrimoniales pour l'université (ça c'est chouette).
Avant, j'étais fleuriste. Il m'arrive de rêver de bouquets parfois encore. Un jour, je quitterai mon job, et je ferai autre chose. J'ai déjà des idées, mais ce n'est pas encore mûr.
J'aime bien l'idée de faire plein de trucs différents dans une vie. Comme si on était un chat et qu'on avait 9 vies

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Zoéprendlaplume a écrit :Avant, j'étais fleuriste. Il m'arrive de rêver de bouquets parfois encore. Un jour, je quitterai mon job, et je ferai autre chose. J'ai déjà des idées, mais ce n'est pas encore mûr.
Je suis à la fois ravie pour toi et très jalouse. J'ai aussi un projet de reconversion pour cette année, mais même si je sais qu'il FAUT que je le fasse, parce que je suis au bout du rouleau en ce qui concerne mon job actuel et que ça ne pourra que m'aider à m'épanouir, l'idée de lâcher le boulot qu'on fait depuis 12 ans et pour lequel on a fait 5 ans d'études, c'est terrifiant... :/
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C'est sur que le risque peut parfois faire peur... Il faut évaluer le rapport risques/bénéfices parce que si tu es vraiment à bout dans ton job actuel, il faut un changement. Environnement/société/poste ou alors réorientation si ce n'est pas suffisant. Après, quand tu quittes un boulot, tu as des moyens pour partir avec un quelque chose et surtout plein pour te former. Ne serait-ce qu'un dispositif comme le CPF. Essaie de te renseigner auprès aussi de structures comme les CCI, Chambre de métier de l'artisanat... Il y a aussi des collectivités qui aident les jeunes entrepreneurs : pépinières d'entreprise, aides à l'installation, à l'achat de matériel, etc. Je ne suis pas un expert mais ça doit se trouver sur internet ou auprès de gens spécialisés.
Bon courage dans tous les cas !
Bon courage dans tous les cas !
Expert ès calamités
"Nous adorons tous les histoires. Nous vivons pour elles" Comme un diamant dans ma mémoire GG Kay
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Je rebondis sur ce que dit terriblius : j'ai vu pas mal de collègues jeunes et (beaucoup) moins jeunes réussir leurs reconversions dans des domaines divers et variés en s'appuyant sur leurs heures de CPF (aujourd'hui renommé DIF)
L'inconnu est souvent terrifiant, parce qu'on sait ce qu'on quitte mais pas ce qu'on va trouver tout au long du chemin - mais cela dit, on passe tellement de temps au travail que quand le burn out guette ou est déjà là, il est temps de partir pour s'épanouir ailleurs.
L'inconnu est souvent terrifiant, parce qu'on sait ce qu'on quitte mais pas ce qu'on va trouver tout au long du chemin - mais cela dit, on passe tellement de temps au travail que quand le burn out guette ou est déjà là, il est temps de partir pour s'épanouir ailleurs.
Memento mori
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Saffron a écrit :Zoéprendlaplume a écrit :Avant, j'étais fleuriste. Il m'arrive de rêver de bouquets parfois encore. Un jour, je quitterai mon job, et je ferai autre chose. J'ai déjà des idées, mais ce n'est pas encore mûr.
Je suis à la fois ravie pour toi et très jalouse. J'ai aussi un projet de reconversion pour cette année, mais même si je sais qu'il FAUT que je le fasse, parce que je suis au bout du rouleau en ce qui concerne mon job actuel et que ça ne pourra que m'aider à m'épanouir, l'idée de lâcher le boulot qu'on fait depuis 12 ans et pour lequel on a fait 5 ans d'études, c'est terrifiant... :/
Je comprends tout à fait ton point de vue, et c'est exactement cette raison qui me pousse à attendre avant de faire autre chose.
Cela dit, je ne suis pas dans ta situation qui semble te faire bcp souffrir... C'est parfois très difficile de se lancer, d'imaginer tout perdre, devoir tout recommencer, sans garanties, et regarder derrière en se disant "tout ça pour ça"... Mais la seule chose que je peux te conseiller, c'est de te préserver au maximum. On passe trop de temps au boulot pour en souffrir :-(
Et puis tes études, tout ce que tu as pu faire jusqu'ici... ne sera jamais perdu. On pourrait croire que mon passé de fleuriste ne sert à rien, et pourtant il m'a sauvé à l'oral de bibliothécaire !! et avant d'être fleuriste, j'avais fait des études de lettres, qui m'ont été utiles pour me retrouver là aujd. J'ai été dans un service financier aussi, pendant un temps, et ben ça m'aide bien au quotidien pour suivre mes marchés et mes commandes.
Bref, tout ça pour dire que de mon point de vue, dans la vie tout sert à un moment ou à un autre; je suis profondément persuadée que tout ce que tu as fait jusqu'ici tu pourras le réinvestir, autrement.
Peux-tu te faire accompagner dans ta reconversion ? As-tu dans ton job actuel la possibilité de faire un bilan de compétences, ou comme le suggèrent les copains ci-dessus, d'utiliser tes heures de CPF ? Ca te permettrait peut-être de tâter le terrain, d'y aller petit à petit, et de voir comment ça se passe, d'appréhender ta "nouvelle vie", de te projeter...
Bref, je t'envoie plein d'ondes positives, et du courage pour ton job actuel. Fais au mieux pour toi, et quand le moment viendra... fonce

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Vous êtes tous adorables, je n'avais pas prévu que mon message déclenche autant de réactions bienveillantes et encourageantes, merci. 
Je suis en fait dans une situation un peu particulière, dans la mesure où je suis travailleuse indépendante (traductrice technique pour être précise), avec un "second job" bénévole en tant que journaliste musical qui me passionne à côté (mais dont je ne peux pas faire mon "vrai" métier pour cause de "y'a pas de débouchés"). Je cotise comme tout un chacun au CPF, mais pour les indépendants, il y a plus de conditions que pour les salariés en ce qui concerne la validation des formations. Dans l'idéal, je ferai financer ma formation (que j'ai déjà bien identifiée ; je voudrais mettre mes TOC à profit et devenir home organizer
) avec mon compte CPF, mais au pire, je la financerai moi-même, ce n'est pas un problème. Ce qui m'inquiète surtout, c'est de devoir changer le mode de vie et de travail que j'ai depuis 12 ans (même si je resterais à mon compte en changeant de boulot) et qui me permet d'avoir mon second job de rêve à côté. C'est quand même super cool de pouvoir à l'heure actuelle dire à mes clients "je peux pas, j'ai Hellfest". Avec de possibles chantiers en tant que home organizer, je serais peut-être moins à même de faire ce que je veux de mon temps, et c'est ça qui m'inquiète un peu (et je ne rentre même pas dans les détails du "quand est-ce que je bosse ce que me filent mes deux profs de chant si je ne suis pas à la maison"...). En fait c'est vraiment le changement lui-même, ce retournement complet de ma routine de plus d'une décennie, qui me terrorise. Mon anxiété et moi n'aimons pas trop le changement de façon générale...
Mais il reste évident que quelque chose doit changer. Si j'étais salariée, je serais en arrêt maladie à l'heure qu'il est, mais comme je suis indépendante, la couverture est une blague, donc financièrement parlant, c'est plus intéressant pour moi de bosser à mi-temps pour préserver ma santé mentale. Et pour contribuer à mon épanouissement (ou, dans le cas présent, tout simplement ma guérison mentale), il FAUT que je fasse autre chose...

Je suis en fait dans une situation un peu particulière, dans la mesure où je suis travailleuse indépendante (traductrice technique pour être précise), avec un "second job" bénévole en tant que journaliste musical qui me passionne à côté (mais dont je ne peux pas faire mon "vrai" métier pour cause de "y'a pas de débouchés"). Je cotise comme tout un chacun au CPF, mais pour les indépendants, il y a plus de conditions que pour les salariés en ce qui concerne la validation des formations. Dans l'idéal, je ferai financer ma formation (que j'ai déjà bien identifiée ; je voudrais mettre mes TOC à profit et devenir home organizer

Mais il reste évident que quelque chose doit changer. Si j'étais salariée, je serais en arrêt maladie à l'heure qu'il est, mais comme je suis indépendante, la couverture est une blague, donc financièrement parlant, c'est plus intéressant pour moi de bosser à mi-temps pour préserver ma santé mentale. Et pour contribuer à mon épanouissement (ou, dans le cas présent, tout simplement ma guérison mentale), il FAUT que je fasse autre chose...
Re: Que faites-vous dans la vraie vie ?
879Dans la vraie vie... je lis Elbakin, j'écoute les podcasts, et j'enseigne les mathématiques pour payer mon accès internet. Et une fois par an je déambule au "Festival Livres et BD Les Bulles" près de chez moi, ce week-end, à la salle Jean Monnet de Saint-Genis-Pouilly (01).
Assez surpris et surtout ravi de tomber en déambulant sur des piles de livres d'Estelle Faye et Lionel Davoust, avec les auteurs opportunément placés derrière les tables.
Il et elle sont aussi intéressants et agréables à écouter (mais en moins de 15 minutes, parce qu'ils ne font pas qu'écrire et parler, ils dédicacent aussi!) que lorsqu'ils procrastinent, et je suis sorti de salon raccompagné par Mériane et Justinien.
Ils y seront encore demain (dimanche 23 mars).
nb : édité le 23/3 pour supprimer un commentaire pouvant être mal interprété.
Assez surpris et surtout ravi de tomber en déambulant sur des piles de livres d'Estelle Faye et Lionel Davoust, avec les auteurs opportunément placés derrière les tables.
Il et elle sont aussi intéressants et agréables à écouter (mais en moins de 15 minutes, parce qu'ils ne font pas qu'écrire et parler, ils dédicacent aussi!) que lorsqu'ils procrastinent, et je suis sorti de salon raccompagné par Mériane et Justinien.
Ils y seront encore demain (dimanche 23 mars).
nb : édité le 23/3 pour supprimer un commentaire pouvant être mal interprété.
Modifié en dernier par Essen le dim. 23 mars 2025 09:44, modifié 1 fois.
Re: Que faites-vous dans la vraie vie ?
880Faut-il rappeler qu'Elbakin, c'est du bénévolat à 100%, page Agenda comprise ? 
