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Même avec la critique plutot positive (merci gillo), ca ne m'inspire pas trop.J'ai peur de revoir mon jugement à la baisse sur Hobb, en comparaison avec d'autres de ses oeuvres...

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Je n'ai pas du tout aimé le dernier magicien(pourtant comme le prouve mon pseudo, je suis plutot fana de Robin Hoob)SpoilersPour moi ce n'est pas une oeuvre de fantasy (ce qui n'est pas pour moi un coté négatif) mais la description de la folie (schizophrénie, paranoia) d'un ancien du Vietnam mais je n'ai pas du tout accroché.....

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Euh, il y a de ça, (le côté " ancien combattant "...) mais de là à dire que ce n'est pas de la fantasy... :blink: :) Ce n'est pas comme si tout nous était révélé comme inventé par exemple. Mais ce n'est pas de la Fantasy " classique ", c'est sûr, et ça change de Fitz. ;)

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En fait le choix est laissé au lecteur : à nous de décider si le magicien est tout seul dans sa folie ou s'il partage ses "aventures" (ce n'est pas le mot adéquat) avec Raspoutine et les autres. Moi je l'ai vu uniquement comme la description vue de l'intérieur de sa folie mais je conçois bien qu'on puisse le voir autrement!le problème c'est que, pour moi, l'intérêt du roman se limite un peu à ce coté flou et c'est cela que je lui reproche. Je suis d'accord que la frontière entre monde vraiment imaginaire et reve (ou folie) n' est pas en soi un argument de l'intéret que l'on peut porter à telle ou telle oeuvre.

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Justement, je pense que je partagerais plus facilement ton point de vue s'il était vraiment tout seul dans son délire. :) Mais avec les autres, qu'ils soient " magiciens " ou pas... On n'a pas non plus de " twist " final. Mais c'est vrai que le flou est tout de même présent ! :)

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Personnellement je n'ai pas vraiment accroché au roman, même si il est de Robin Hobb. Les aventures du héros désabusé et privé de pouvoir ne m'ont pas franchement enthousiasmé et le ton du récit ne m'ont pas donné une meilleure impression. Pourtant, l'histoire du début paraissait bien partie, et l'étude du caractère du magicien est très bien menée mais... B)

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Tu n'as pas accroché, ça se comprend très bien. Moi-même, j'ai tout de même eu du mal... Je dirais que c'est un roman assez casse-gueule... Sans vouloir non plus donner l'impression de le défendre à tout prix. ;)

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J'ai lu le dernier magicien il y a peu de temps et j'ai été assez déçu par ce livre.MAis si je trouve que le début est exellent. On ne comprends pas bien tout ce qui ce passe, le livre est assez décousu, sans un vrai fil conducteur ce qui rend trés bien l'ambiance du livre. LA vie d'un clochard, sans vraiment d'histoire, on hésite entre le reve et la réalité...MAis, dès l'arrivé de la serveuse ( je sais plus trés bien son nom ), julia je crois, j'ai trouvé que le livre perdait vraiment de son interet. Meme si cela lui fait un retour dans son passé douloureux et si cela accentue le coté irréel de sa vie "magique", je n'ai pas accroché à cette parti. Tout à partir de cette rencontre et jusqu'à la fin m'a laissé un gout amer.

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Eh bien, pas très positifs tous ces avis! :o Pour ma part, j'ai bien accroché. J'aime beaucoup la fantasy urbaine où on ne sait pas vraiment situer la frontière entre réalité et imaginaire et dans ce livre, elle est vraiment difficile à cerner!J'ai adoré l'ambiance du début où l'on suit les aventures du Magicien avec les différents personnages qu'il incarne, ses règles qu'il ne doit surtout pas enfreindre, les personnages que l'on découvre, vraiment très plaisant! :) J'ai préféré ce début au passage avec Lynda où l'on bascule plus dans la réalité que dans la fantasy. Mais cela permet d'en apprendre un peu plus sur le passé du Magicien. SPOILERS : J'ai trouvé ça très interessant de voir comment son ancienne personnalité reprend le dessus et comment ses règles du moins les vraies doivent l'empêcher de redevenir comme il était.Pour l'intrigue, c'est vrai que c'est un peu confus et que ce n'est pas elle qui fait l'interêt de cette histoire. Mais ça ne m'a pas géné dans le sens où après tout on parcourt le roman en suivant le Magicien et la confusion qui règne dans son esprit ressort dans l'intrigue de l'histoire, même si évidemment un peu plus de clarté aurait été la bienvenue.Ce livre sort des sentiers battus, comme tous ceux écrits sous ce pseudonyme apparemment, alors c'est sûr que ça peut destabiliser mais j'ai au contraire apprécié cette histoire dans les rues de Seattle avec sa galerie de personnages comme sait si bien les décrire l'auteur et le mystère qui plane sur le passé du Magicien. B)

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Après avoir lu "Le dieu dans l'ombre" de Megan je m'attend à du bon :) .J'adore la fantasy urbaine et quand on me dit que le roman est étrange ça m'attire d'autant plus (bizarre non :D ).Je trouve la couverture originale superbe...sniff pourquoi ils changent les couvertures ?Bref j'attendrais que ma bibliothèque le commande (c'est grâce à elle que j'ai pu lire Le dieu dans l'ombre) et ils ont interet de le faire :P.

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Je pensais avoir deja donne mon avis il y a plusieurs mois, mais apparemment, c'est pas le casJ'avais plutot apprecie, les personnages sont vraiment tres biens depeints, et la faiblesse du scenario ne m'avait pas du tout gene, puisque je n'y ai pas du tout fait attention. J'ai eu l'impression que ce livre ne servait qu'a retracer un portrait et, sous cet angle, il est reussi. Personnellement, je lui aurais mis 8.5/10

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La couverture est jolie, dans le même style que le grand format. Ils ont changé de caractère pour le nom ? C 'est moche !Je l'achète et le lis dès que je peux !

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Je me réponds donc à moi-même...D’entrée, je suis assez surpris (déçu) de voir que ce livre est très loin d’enthousiasmer tout le monde…… Parce que moi je l’ai vraiment bien aimé !Autant (à la limite) Neverwhere ne m’a pas laissé un souvenir impérissable, autant j’ai inhalé un charme très particulier de ce roman.Les premiers chapitres sont fabuleux, on est totalement emballé par une vie qui ne pourrait être plus affligeante de banalité…à première vue. Pas de combats contre des goules sanguinaires, pas de métro fantômes, non, juste les petites manières d’un clochard qui n’en est pas un. Ca va bien un tant, c’est sûr, mais Lindholm sait s’arrêter au moment opportun.Et que dire du fait que les dialogues sont restreints mais que je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer. Plus encore, on a l’impression qu’il n’y a pas de trame scénaristique. Au contraire, la progression est totalement inhérente à l’histoire, on nous fait miroiter une montée en puissance avec ce MIR, mais cela n’arrive pas vraiment. En comparaison d’American Gods de Gaiman, proche d’une certaine façon (« héros pris au piège », personnage de Raspoutine avec … je ne retrouve pas le nom…, onirisme, etc.) je trouve dans ce dernier que l’évolution du récit est beaucoup plus décousue. L’arrivée de Linda scinde le livre et inaugure la deuxième partie. Avant, la descente aux enfers machiavélique du magicien est quand même assez jouissive ! Mais parfois excessive, c’est vrai. C’est d’ailleurs là qu’il faut noter le principal point noir du livre. Le soudain retour de Mitch est un peu trop soudain, en fait. Linda, et les changements qu’elle induit chez le Magicien sont parfois exagérés. Cependant, on ne peut nier que le peu de personnages sont bons, et on rentre dedans sans mal. Si l’envie vous prend de baffez la soûlante Linda, c’est que le pari est quelque part réussi ! De suite, j’ai fais le parallèle avec Mother London de M. Moorcock. Je crois qu’on ne peut pas ne pas le faire. Ce début (le bus), ces personnages singuliers invisibles aux yeux de tout le monde, cette magie (lire les pensées dans l’un, les soigner dans l’autre), les origines de cette magie liées à un traumatisme (Blitz pour l’un, et Vietnam pour l’autre), l’ambiguïté manifeste de cette magie qui demeure toujours à la limite de l’imaginaire et du réel sans jamais la franchir (absolument remarquable pour Le Dernier Magisien), les deux œuvres ont des similitudes. Alors on dira qu’au niveau de la forme, le chef d’œuvre de Moorcock est bien plus complexe. Mais dans le fond…il y a beaucoup à creuser sous les abords accessibles du Dernier Magicien. Surtout, ne pas se fier au résumé (vraiment nullissime !).Le roman peut gêner par son manque de « fantasy », peut être, mais ça ne veut pas dire qu’il n’est pas scintillant. Car pour moi, c’est ce qu’il est.

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Merci pour cet avis Altan. J'ai Le Dernier magicien sur la pile "à lire" depuis bien longtemps déjà, mais les différents avis m'avaint quelque peu refroidi, en tout cas convaincu qu'il y avait des choses plus intéressantes à lire avant. Tu viens de me faire changer d'avis.

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Comme Pumila, j'ai le dernier magicien dans ma pile de lecture.L'argument choc pour le lire, pour moi, c'est que ça manque de "fantasy".ça sera sûrement ma prochaine lecture.Sered

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Content que ça ait donné l'envie de le lire à d'autres !Après mon avis est personnel (je ne rembourserai pas l'achat si ça ne vous plait pas ! :mrgreen:), je comprend que ça ne plaise pas forcément, j'y ai vu des intérêts que d'autres n'ont pas forcément (la ville m'intéresse !).De toute façon, au regard de la taille du livre, vous ne perdrez pas de temps !

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J'ai trouvé cette lecture très originale, loin de ce qu'on connait de l'auteure, mais j'ai trouvé ce livre d'une simplicité charmante, on ne sait jamais si les personnages sont de simples marginaux déjantés ou s'il s'agit vraiment de pouvoirs, et rien ne vient finalement influencer le jugements du lecteur, magie ou folie, on n'a même pas envie de trancher et j'aime beaucoup ce principe.Thys

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Je vois ce que tu veux dire par l'emploi de "charmante", mais dis comme ça, je trouve que ça pourrait être légèrement trompeur sur le ton du roman, tout de même plutôt noir. ;)