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Posté : lun. 7 avr. 2008 13:34
par NeoSib
Mirsky a écrit :NeoSib a écrit :Bon le roulement d'yeux t'aurais peut-être pu t'en passer, vu que j'ai jamais dit que c'est parce que c'était trash que c'était bien.
qui a dit que les smileys facilitaient la communication entre internautes ;)ce n'est pas spécifiquement ton discours que je visais avec cette phrase mais bien l'état d'esprit actuel véhiculé par les médias en général qui veut que plus c'est trash, mieux c'est (cf, plus c'est vendeur)... et pour moi American Psycho représente bien cet état d'esprit
Ok désolé, comme tu me quotais j'ai cru que ça s'adressait a moi... :rouge:Ceci dit je persiste a dire que la violence est loin d'être gratuite, et qu'au contraire elle sert totalement le propos du bouquin. Je trouve ça dommage de s'arrêter a cet aspect alors qu'il y aurait tellement plus a dire.Et concernant l'humour du livre, ça me parait quand même assez explicite lors de certains passages : le coup du banc évoqué plus haut, la scène au resto avec sa petite amie,
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lorsqu'il lui faut bouffer un cube pour chiottes

, etc...Je n'ai d'ailleurs trouve qu'une seule scène réellement choquante en fait :
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celle du meurtre du gamin dans le parc, ou il se fait ensuite passer pour un médecin pour finir de le voir mourir.Le reste est une escalade dans l'exagération, destinée a faire réfléchir le lecteur sur le fait que l'histoire ne pourrait qu'être fantasmee par Bateman.Je suis d'ailleurs en train de lire Glamorama et cet aspect (ce qui se passe est-il réel ou pas ?) est beaucoup plus pousse. Et comme c'est du Ellis je m'attends pas a une explication a la fin...

Posté : lun. 7 avr. 2008 23:11
par ashes
L'humour est noir et grinçant pas de soucis là dessus et je l'avais bien compris mais je ne pense pas que cette exageration soit ici pour nous faire hurler de rire. C'est beaucoup trop méticuleux pour cela. Peter Jackson pourrait lui donner des cours de ce qui est drôle dans l'exageration (eg son premier film, "Bad Brain")Quand à savoir si le tout est réel ou pas, c'est il est vrai plutot bien pensé mais la coupe était décidément trop pleine pour moi. Mais je pense bien avoir saisi le concept. Ceci dit c'est un livre à connaître mais il faut vraiment s'accrocher, et je ne pense pas être trop sensible.Ceci dit, ton avis m'interesse beaucoup (en mp peut être) car je n'ai jamais trouvé de gens qui avaient aimé et pouvaient m'expliquer pourquoi, ce qui n'a pas l'air d'être ton cas, bien au contraire.Ashes
Posté : jeu. 10 avr. 2008 21:06
par NeoSib
ashes a écrit :L'humour est noir et grinçant pas de soucis là dessus et je l'avais bien compris mais je ne pense pas que cette exageration soit ici pour nous faire hurler de rire. C'est beaucoup trop méticuleux pour cela. Peter Jackson pourrait lui donner des cours de ce qui est drôle dans l'exageration (eg son premier film, "Bad Brain")Quand à savoir si le tout est réel ou pas, c'est il est vrai plutot bien pensé mais la coupe était décidément trop pleine pour moi. Mais je pense bien avoir saisi le concept. Ceci dit c'est un livre à connaître mais il faut vraiment s'accrocher, et je ne pense pas être trop sensible.Ceci dit, ton avis m'interesse beaucoup (en mp peut être) car je n'ai jamais trouvé de gens qui avaient aimé et pouvaient m'expliquer pourquoi, ce qui n'a pas l'air d'être ton cas, bien au contraire.
Bah j'en ai raconté pas mal déjà quand même, non ? :)Ceci dit j'ai pensé à 2, 3 trucs de plus.Déjà pour te répondre je suis pas sûr que comparer l'humour des premiers films de Jackson (d'ailleurs c'est
Bad Taste ou
Braindead mais il faut choisir

) avec celui d'American Psycho soit très pertinent. Déjà évidemment par le fait que c'est difficile de comparer un bouquin avec un film, mais aussi parce que le but n'est pas le même. Là où chez Jackson c'était de l'hommage gore (aux Monty Python pour le premier et Buster Keaton pour le deuxième) qui restait dans le domaine du potache et ne s'embarrassait d'aucune considération autour, chez Ellis ça fait parti d'un plus gros tout quand même. Et attention je ne suis pas en train de dire que l'un ou l'autre des objectifs est mieux, je dis juste qu'ils sont incomparables.Sinon quelques points du bouquin pour continuer de montrer que c'est quand même plus intéressant qu'un simple livre choc :
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- D'abord une petite idée pour finir sur le côté violent du bouquin, il me semble intéressant de parler du moment où Bateman, narrateur du bouquin et parlant donc de lui à la première personne, passe à une narration à la troisième personne. Ca se situe au moment où il est poursuivi par les flics. En plus des aberrations totales de ce passage (trois voitures de flics en face de lui qui lui tirent dessus mais le ratent, alors que lui arrive carrément à en exploser une...), ce changement de narration marque à mon avis le changement total d'attitude du personnage qui n'est plus que dans le fantasme total d'une autre vie.- Ensuite, on a parlé de la violence, mais pas du côté sexuel du bouquin, alors qu'il est tout aussi primordial en s'inscrivant lui aussi dans l'objectif de l'auteur. Le fait que Bateman ne parle jamais (ou quasiment jamais) de ses relations sexuelles avec sa petite amie (Evelyn) me parait assez éloquent. Parce qu'à mon avis, les autres relations sexuelles décrites par le narrateur sont aussi de l'objet du fantasme.Rappelons juste que Bateman est le narrateur, on peut imaginer que s'il ne parle pas de ses ébats avec sa copine, c'est parce qu'il suppose qu'ils sont inintéressants pour le lecteur. Autrement dit il s'emmerde pas mal avec elle, et on voit bien dans les autres scènes qu'il a de plus en plus de mal à la supporter.Le fait qu'il n'y ait aucune description concernant sa copine, en opposition avec le souci du moindre détail lors de ses autres parties de jambes en l'air me semble vouloir dire qu'il ne fait qu'imaginer ces dernières (que ce soit avec Courtney comme avec les nombreuses prostituées qu'il ramène chez lui). D'autant qu'on retrouve le même crescendo sexuel que pour le côté violent, pour que finalement les deux s'emmêlent de plus en plus.- Pour finir je voulais évoquer le passage où il ramène sa secrétaire chez lui. Pourquoi Bateman, soi-disant grand serial killer dépourvu d'émotion, n'arrive pas à la tuer ?A mon avis, ce passage reflète un événement réel dans la vie de Bateman. Une sorte de passage à l'acte manqué pour quelqu'un qui se fantasme serial killer et qui n'arrive pas à l'être.
Bon vous allez dire que je me suis bien branlé là-dessus, et si ça se trouve vous allez me prouver point par point que mon interprétation est foireuse (les détails du bouquin me sont désormais un peu flous, ça fait quelques mois que je l'ai terminé), mais ça montre qu'il est possible que
American Psycho vaille peut-être bien plus que sa simple réputation d'œuvre choc.(Bon par contre j'arrive un peu à court d'idées, mais au moins vous m'avez donné envie de le relire pour être sûr que j'ai pas raconté un ramassis de conneries là

)
Posté : jeu. 10 avr. 2008 21:31
par Zébulon
Changement total de style après une période fantasy (et avant quoi?)
ou comment le christiannisme s'est séparé du judaisme en moins d'un siècletrès intéressant

Posté : sam. 12 avr. 2008 15:45
par Vintage
Hello,juste pour vous informer que le BRAZIL de ce mois-ci consacre 20 pages aux mythes du vampire et de Dracula.
Posté : sam. 12 avr. 2008 16:37
par Kronos
La Bête Humaine d'Emile Zola.. C'est un classique que m'oblige à lire mon prof de français ces derniers mois. Littérature qui m'est un peu inconnue, très sombre, j'ai été très emballé par ce livre. Zola s'est beaucoup informé avant de faire ce livre (comme cela est son habitude), et on peut parfaitement cerner la vie de l'époque et la difficulté de la vie. On suit donc les histoires de Roubaud et de sa femme Séverine, du mécanicien Jacques Lantier, dans un livre traitant de sujets graves, comme le se*e (la sécurité enfants ne me permet pas de poster avec le "x"), la violence, le jeu, la jalousie. Le roman connaît parfois quelques longueurs, mais est sujet à de nombreux rebondissements. Le style de Zola est tranchant, le vocabulaire est parfois cru. En bref, je vous conseille fortement l'achat de ce livre (les classiques coûtent entre 4 et 5 euros.PS: Cela m'a donné au goût à la littérature de ce siècle, si bien que j'ai acheté Notre Dame de Paris d'Hugo, autre grand auteur du XIXème.EDIT : EN VOULANT MODIFIER MON MESSAGE, J'AI POST2 UN AUTRE. A SUPPRIMER SVP, DESOLE !EDIT@almaarea : Je m'en suis occupée ! Pas de problème

Posté : dim. 13 avr. 2008 09:26
par Faith
Kronos a écrit :EDIT : EN VOULANT MODIFIER MON MESSAGE, J'AI POST2 UN AUTRE. A SUPPRIMER SVP, DESOLE !
Tu peux le supprimer toi-même. En bas à droite de ton message, tu as "citer" "modifier" et "supprimer" ;)Pour rester dans le sujet, mes lectures récentes, il y en a plusieurs (bac de français oblige) mais celle que j'ai le plus apprécier est
Madame Bovary de Flaubert, sûrement à cause de l'ironie de l'auteur envers son personnage. Le passage du marriage est vraiment génial, avec la pièce montée :DAyant eu des échos pour le moins peu engageant, j'ai vraiment été surprise par la facilité avec laquelle j'ai lu ce livre.Autre livre très agréable :
Candide de Voltaire

Classique parmis les classiques celui-là, qu'est-ce que c'est drôle quand on l'étudie, en plus notre professeur adorait ce livre et ça se voyait dans ses cours :)Sinon, en lecture cursive, on avait
Le Baron Perché d'Italo Calvino, l'histoire d'un jeune baron qui décide, par protestation, de vivre sa vie dans les arbres. Le style léger de l'auteur est vraiment très agréable et ça se lit vite

Posté : dim. 13 avr. 2008 17:26
par Coeurdechene
@Faith : Sur Madame Bovary, je viens de finir un roman contemporain qui pourrait t'intéresser et t'ouvrir des perspectives sympas dans le cadre d'un esposé ou d'un oral :
Contre-enquête sur la mort d'Emma Bovary de Philippe Doumenc.Je l'ai lu dans le cadre du Prix Biblioblog de cette année car il fait partie de la sélection, et moi du jury ;)Sinon, en ce moment je lis Etat d'Urgence, de Michael Crichton, un romancier que j'adore. Plus d'infos quand je l'aurais achevé (mais surtout mon site est un journal de lecture, donc...).Edit :Et hop, ça y est. J'ai fini le Crichton.

En quelques mots, l'histoire tourne autour de Peter et Sarah. Lui est avocat, elle est secrétaire. Ils travaillent tous deux pour Georges Morton, un multimilliardaire qui finance des mouvements et organismes écologistes. Seulement, voila que Mr Morton meurt dans un accident de voiture juste après avoir annoncé son refus de financer une énorme campagne d'information sur le réchauffement global. Voici donc Peter et Sarah embarqués dans une course contre la montre et surtout... contre le temps.Un thriller efficace qui bouscule pas mal les idées et les grandes théories sur les dangers climatiques et les fameux complexes industriels. A lire avec un esprit critique.
Posté : mer. 16 avr. 2008 21:44
par Tisse Ombre
Etat d'urgence est une sombre merde, et très très dangereux.Avant de gober pour argent comptant les conneries de ce bouquin, lis cette critique autrement plus réfléchit de ce livre
Posté : jeu. 17 avr. 2008 01:29
par Coeurdechene
Tisse Ombre, si tu l'as lu et que tu ne l'as pas aimé, tant pis.Pour ma part j'ai apprécié l'histoire (comme dans tous les romans de Crichton). Quant à "gober pour argent comptant les *conneries* de ce bouquin", il n'en est rien. Je relève qu'il a une argumentation étayée, appuyée sur des exemples et des articles précis de scientifiques.Personnellement, je ne suis pas d'accord avec toutes les théories qu'il soulève, mais il a le mérite de les présenter.Quant au Cafard cosmique, j'ai lu la critique et en prend acte. Sur wikipédia il y a aussi une très bonne critique avec des extraits de commentaires de scientifiques ayant lu le roman. Malgré tout, cela reste un roman.Au passage, je tiens à souligner la dernière phrase de ma présentation : A lire avec un esprit critique
Posté : jeu. 17 avr. 2008 13:25
par Tisse Ombre
Bien sûr après pour l'histoire c'est les goûts et les couleurs, je voulais juste attirer l'attention sur le côté dangereux du livre car Crichton dit nombre de choses qui sont fausses. après tu as un esprit critique qui ne prends pas pour argent comptant tout ce qu'il peut dire, c'est bien, mais franchement vu le chiffre de vente de crichton et le nombre de lecteurs qui n'ont pas ton esprit, il vaut mieux rappeler que ce qu'il dit est à 90% faux.
Posté : jeu. 17 avr. 2008 17:29
par zedd
Je suis un train de lire ce petit bijou de polar totalement jouissif!
Une blessure ayant mis fin à sa carrière de joueur de base-ball, Henry Thompson s'installe à New York. Il y devient barman et si alcoolique qu'il faut lui ôter un rein.Un jour, son voisin de palier lui demande de lui garder son chat «juste pour quelque temps». Bien qu'il ne raffole pas de ces animaux, Henry accepte. Au fond, il est gentil. Il aurait mieux fait de ne pas l'être... Aussitôt, ce sont les ennuis et les violences qui commencent : rossé par des mafiosi russes aussi bêtes que vulgaires, des voyous très soupe au lait et un flic new-yorkais corrompu jusqu'à la moelle, Henry se retrouve pris dans une bagarre dont il ne saisit pas l'enjeu pendant que tous s'acharnent sur lui. Dur, très dur... Sauf qu'ici, les coups, même s'ils ramollissent la cervelle, aident à comprendre. Voire à triompher.
Posté : dim. 20 avr. 2008 22:11
par Jayce
Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant est ainsi convié par son père à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y " adopter " un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets " enterrés dans l'âme de la ville " : L'Ombre du vent. Avec ce tableau historique, roman d'apprentissage évoquant les émois de l'adolescence, récit fantastique où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafôn mêle inextricablement la littérature et la vie.
Né à Barcelone en 1964, Carlos Ruiz Zafón vit aujourd'hui à Los Angeles. A 14 ans, il écrit son premier roman, histoire truculente de cinq cents pages. A 19 ans, il choisit de faire carrière dans le monde de la publicité, qu'il quitte rapidement pour se consacrer à El principe de las tinieblas. Ce roman, qui lui vaudra en 1993 le premier Edebé, prix de littérature jeunesse, se vend à 150 000 exemplaires et se retrouve traduit dans plusieurs langues. Suivront El Palacio de la medianoche, Las Luces de septiembre et Marina. L'ombre du vent a obtenu le prix Planeta.
Posté : lun. 21 avr. 2008 00:08
par Bubble B
Ahhh, l'ombre du vent!!! J'ai découvert Zafon dans mes années lycée en espagnol et j'en garde un excellent souvenir ! :pSinon, j'ai apperçu plus haut Kronos parler de Zola... Si la Bête Humaine t'a plu, attaque toi à la série complète des Rougons Macquart (le livre que tu as lu en est un des 21 volumes de la série...) Personnellement, j'ai une nette préférence pour l'Assomoir et La fortune des Rougons....Je vois qu'il y a beaucoup de genres divers, quelqu'un aurait une opinion sur Corps et Biens de R. Desnos? J'en suis seulement à la moitié et j'ai la sensation de redécouvrir le surréalisme B)BubbleB
Posté : lun. 21 avr. 2008 15:58
par almaarea
J'accuse l'Ombre du vent d'avoir considérablement écourté mes nuits (j'aurais pu écrire "ma nuit" étant donné que je lui ai fait son compte dès le lendemain

). Une ambiance brumeuse et gothique, à mille lieues de l'image que je me faisais de Barcelone, et une intrigue menée tambour battant et réservant bien des surprises. On ne le lâche pas avant la fin

Je regrette simplement que l'idée de base, un cimetière des Livres Oubliés, soit finalement si peu développée...*Mode modo on* Pensez aussi à parler de vos lectures
fantasy, le forum est là pour ça à la base

*Mode modo off*
Posté : jeu. 1 mai 2008 22:43
par Publivore
Le dernier en date en ce qui me concerne est le premier volume de
Millénium de Stieg Larsson, l'un des évènements littéraires de 2007... Et je comprends pourquoi. Une fois accroché, difficile de laisser le bouquin pour aller dormir, probablement en raison de la personnalité hors du commun de l'une des "héroïnes", Lisbeth Salander. (Au fait, après avoir lu ce livre, je me demande si c'est une bonne idée de rester connecté à internet...

)
Posté : ven. 2 mai 2008 00:32
par Coeurdechene
J'ai fini tôt ce matin
Le Secret du Dixième Tombeau de Michael Byrnes.Il fait parti de mes achats France Loisirs... Mais j'ai trouvé le roman agréable. En tout cas largement mieux que le dernier que je leur avais acheté (Le Dernier Templier) qui est une insulte à l'intelligence du lecteur.
Jérusalem, de nos jours.La ville est en émoi, les forces israéliennes et palestiniennes sont sur les nerfs et Graham Barton, archéologue, se retrouve associé à Razak, un médiateur musulman, pour tenter de comprendre ce qui a été volé lorsqu'un groupe armé à fait sauter une charge explosive sous le Mont du Temple et mis à jour une salle secrète. Barton se penche sur l'analyse des neufs ossuaires restant dans la crypte. Mais quid du dixième ?Parallèlement, Charlotte Hennesey, docteur en génétique, est "invitée" par le Vatican à mener des analyses sur leur dernière acquisition : une relique très précieuse, un ossuaire du Ier siècle après Jésus Christ...
Bon, on peut rapidement lire entre les lignes et personne n'est étonné de savoir à qui appartiennent les os en question.Pour ma part, l'enjeu du roman se situait plus sur le rendu des tensions en Terre Sainte entre les différentes religions. Ainsi que sur les descriptions (très agréables et technique juste ce qu'il faut) des paysages et des investigations des scientifiques. Pour ma part, une lecture loisir que je n'ai pas boudé. Un agréable moment, sans être transcendant. Je rapprocherai la polémique de l'histoire, du film
Le Tombeau pour ceux qui connaissent...
Posté : ven. 2 mai 2008 12:56
par Gillossen
Pas original pour deux sous et comme en pilotage automatique, mais plaisant le temps d'une lecture.

Je rapprocherai la polémique de l'histoire, du film Le Tombeau pour ceux qui connaissent...
Ah, le Tombeau et ses rabbins-ninjas...

Posté : mer. 7 mai 2008 13:16
par Misanthrope
Entre 2 tomes des Monarchies Divines, je viens de finir le Magasin des Suicides de Jean Teulé. UN VRAI BIJOUX!!!!!!!!!!
Présentation du livre : Vous avez raté votre vie ? Avec nous, vous réussirez votre mort ! Imaginez un magasin où l'on vend depuis dix générations tous les ingrédients possibles pour se suicider. Cette petite entreprise familiale prospère dans la tristesse et l'humeur sombre jusqu'au jour abominable où surgit un adversaire impitoyable : la joie de vivre... C'est drôle (humour noir garanti), c'est très bien écrit... A lire absolument!!!! L'auteur aurait pu tomber dans le sordide avec un sujet pareil mais au contraire, on se prend à sourire voire à rire au fil des pages...PS : Pour information, je suis dans Darling du même auteur... Une histoire vraie mais on a du mal à le croire tellement c'est hallucinant ce qui arrive à cette Tartine!!!
Posté : mer. 7 mai 2008 13:25
par Sered
Darling a été adapté au cinéma il y a peu.Je n'ai pas lu le livre mais le film était poignant. Avec Marina Foys et Guillaume Canet.Sered