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Critique du Tome 7 par Gillossen, série toujours aussi bonne a priori, mais qui en aurait douté ?!:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/bd/cycle/sandman-898
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Aïe ! là je me sens obligé de protester ... pas sur la qualité générale de la série, bien sûr, ni sur la note attribuée...Mais bien contre le fait de revenir sur le "problème" de la colorisation pour ce septième tome.Pour moi, les dessins un peu "underground" et la colorisation "cheap" sont un obstacle, certes, mais à la lecture du premier tome ! Et franchement, soit on lit ce premier tome, on rentre dedans et on oublie tout-à-fait les défauts de cette mise en image, soit on les considère comme rédhibitoires et on abandonne. Mais arrivé au tome 7 (un excellent cru à mon avis, mais un très mauvais choix pour débuter la saga : je pense que des portes s'ouvrent déjà sur la fin, et certaines, ouvertes au début, se referment...) on oublie tout ça... En plus de la date de publication originale, les dessins "moches" s'expliquent aussi par la publication en comics de 22 pages, chez DC Vertigo, dans un contexte ou pour faire "adulte" et "indépendant", une BD devait avoir un dessin bizarre et une colo mal fichue. Il n'y a qu'a voir les premières publications de "l'association" en france pour comprendre le raisonnement... Mais bon, je suis sans doute très partial sur ce sujet, alors ne prenez pas trop au sérieux mes états d'âme sur la critique... ;)Un point quand même qui participe des superlatifs que cette série de BD attire (dans mes messages et ailleurs). C'est une des rares séries qui a su échapper quasi-totalement à la récupération routinière qui est le lot des comics US : ici, pas de premier tome flamboyant suivi d'une interminable série routinière (Books of Magic), pas de récupération du personnage par d'autres scénaristes, pas de baisse de régime, pas de suite demi-sel après quelques années. Sandman est écrit d'un bout à l'autre (je l'espère, je n'ai jamais lu les t9 et 10 !) comme une épopée tragique, une comédie inhumaine, bref un cycle de fantasy à part entière.
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C'est à dire que pour le coup, ça m'a vraiment sauté à la figure avec ce tome, qui semble être de mon point de vue le pire de tous. Du coup, je me suis senti "obligé" d'en reparler, car effectivement, j'avais fait l'impasse précédemment.Sylvaner a écrit :Mais bon, je suis sans doute très partial sur ce sujet, alors ne prenez pas trop au sérieux mes états d'âme sur la critique...
C'est pas faux...En plus de la date de publication originale, les dessins "moches" s'expliquent aussi par la publication en comics de 22 pages, chez DC Vertigo, dans un contexte ou pour faire "adulte" et "indépendant", une BD devait avoir un dessin bizarre et une colo mal fichue. Il n'y a qu'a voir les premières publications de "l'association" en france pour comprendre le raisonnement...

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Couverture et présentation du prochain volume VF, en avril !Voici le quatrième volume “made in Panini” consacré au Maître des Rêves et à la série étrange et irréelle de Neil Gaiman. Une tempête qui ébranle la réalité elle-même amène un groupe depersonnages hétéroclites à s’abriter dans une auberge où chacun va raconter l’histoire de sa vie. Des histoires qui mettent en perspective la nature même de la fiction et des rêves…L’univers de Sandman n’est à nul autre pareil, que ce soit dans la sphère des comics ou ailleurs. Et si vous n’avez pas encore goûté à ce grand moment de littérature, n’hésitez pas : comme pour tous les albums de la série, cette aventure est relativement accessible pour les nouveauxlecteurs.
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Euh, le sujet n'avait pas été remonté depuis ?
:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/763 ... De-Sandman

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J'ai profité de ce week-end sur le flanc pour me replonger dans Sandman depuis le début (1/ j'avais l'état d'esprit un rien dépressif appropriéSylvaner a écrit :Un point quand même qui participe des superlatifs que cette série de BD attire (dans mes messages et ailleurs). C'est une des rares séries qui a su échapper quasi-totalement à la récupération routinière qui est le lot des comics US : ici, pas de premier tome flamboyant suivi d'une interminable série routinière (Books of Magic), pas de récupération du personnage par d'autres scénaristes, pas de baisse de régime, pas de suite demi-sel après quelques années. Sandman est écrit d'un bout à l'autre (je l'espère, je n'ai jamais lu les t9 et 10 !) comme une épopée tragique, une comédie inhumaine, bref un cycle de fantasy à part entière.

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Les Bienveillantes, le tome 9, est sorti, acheté, lu !Deux fois plus épais que les précédents, c'est une sorte de final grandiose : on y retrouve les personnages du tome 1 et des suivants, les intrigues nouées tout au long de l'histoire resurgissent, les dettes contractées sont réclamées... De la grande fantasy, avec une trame et une continuité toujours aussi soignée. Cela dit, un nouveau cap est aussi franchi dans la médiocrité des dessins... autant, je protestais contre l'avis de Gillo sur le tome 7, autant le tome 8 présentait une amélioration relative (rappelons que les dessinateurs se succèdent au fil des épisodes) mais là, sur certains passages c'est vraiment irregardable. Heureusement, les textes restent de très haute tenue !Reste à attendre le tome 10, qui sera plutôt un épilogue qu'une conclusion...(attention, ne pas lire l'introduction avant l'histoire principale, elle est bourrée de spoilers).
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En fait, le personnage appartient à DC Comics qui a fait un accord avec Gaiman, la compagnie s'engage à ne pas l'utiliser sans son autorisation. Sandman est donc apparu dans le cadre d'un épisode de JLA (Justice Leaue of America) scénarisé par Grant Morisson (un ami de Gaiman), dans cet épisode, les justiciers (Superman, Batman, Flash, Green Lantern) entraient dans le royaume des rèves pour demander l'aide de Sandman contre un vieil ennemi.Sylvaner a écrit :Un point quand même qui participe des superlatifs que cette série de BD attire (dans mes messages et ailleurs). C'est une des rares séries qui a su échapper quasi-totalement à la récupération routinière qui est le lot des comics US : ici, pas de premier tome flamboyant suivi d'une interminable série routinière (Books of Magic), pas de récupération du personnage par d'autres scénaristes, pas de baisse de régime, pas de suite demi-sel après quelques années. Sandman est écrit d'un bout à l'autre (je l'espère, je n'ai jamais lu les t9 et 10 !) comme une épopée tragique, une comédie inhumaine, bref un cycle de fantasy à part entière.
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Réjouissances pour ces 20 ans ::arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/8576-Sandman-Fete-Ses-20-Ans
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Affiche très sympa en tout cas, où le lecteur de la série retrouve quelques personnages secondaires mais emblématiques, les Eternels (sauf Destruction, mais n'est-ce pas un peu normal ?
et L'auteur à la batterie si je ne m'abuse...Allez, pour les 20 ans de Sandman, je vais avaler les tomes 6 à8 (enfin très bientôt !
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Cela dit, on aura droit à de l'inédit ce mois-ci !

Toutes les bonnes choses ont une fin : voici le dernier tome du chef-d’oeuvre de Neil Gaiman. Dans cet ultime volet, tous les rêveurs se réunissent pour pleurer la mort du Roi des Rêves… Une petite consolation cependant pour ceux qui se demandent comment ils vont pouvoir continuer à passer de bonnes journées : Panini comics leur propose la réédition des premiers volumes !C’est Sandman qui, aux États-Unis et ailleurs, a principalement fait la renommée de Neil Gaiman. En France, on se souvient aussi de la série 1602 chez Marvel. Il a également donné sa vision des Éternels de Jack Kirby.
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Gillossen donne son avis sur la conclusion de cette extraordinaire série !
:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/bd/cycle/sandman-898
