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Tout d'abord, j'espère que vous être prêts pour une quasi totale absence de sérieux parce qu'il n'y a pas de raison de se refuser un peu de légèretéJe réponds à quelques messages qui se trouvent dans le sujet podcasts en réaction au podcast n° 15 Fantasex@ Plume (message #730) c'est étonnant que, me sachant fan de Kushiel, tu puisses penser que je manie le fouet 
@ Zendoc (#731 et 736) : tu écoutes tous les podcasts la nuit ou c'est juste pour celui-là ? 
Et je te confirme pour la technique on est au point, maintenant qu'elle est ta note artistique ? 
@ Aglaranna : "du pur plaisir". C'est toujours notre objectif 
@ Eorlingas "trop court ... plaisir". Ben 2 h quand même Monsieur est ... exigeant 
@ Sambagnard : 
tout à fait l'esprit@ Cédric Ferrand : alors John Doe t'a répondu, oui c'est bien de commencer par le commencement et donc La Marque, c'est le mieux pour aborder l'un des univers de Carey. Cela dit je crois que certains ont carrément préféré sa vision des méchants dans la duologie The Sundering (non traduite) Pour ma part sa façon de concevoir les relations sexuelles et de placer les scènes charnelles correspond à ce que je considère comme le plus réussi en fantasy qui ne soit pas étiquetée "romance". Son choix est surtout de mettre en avant une société où la notion d'amour n'est pas entourée de tous les tabous judéo-chrétiens que nous connaissons (en tout cas beaucoup moins) et cela change le regard sur toutes les interactions, y compris sexuelles évidemment. Et pas d'accord avec toi sur la dimension sexuelle assumée dans un jdr parce que je vais peut-être t'étonner mais dans mes souvenirs de rôliste il y a le roleplay excellent d'un de mes camarades campant un personnage féminin en mode de séduction active et pas qu'avec les PNJ. Je jouais un perso masculin et il s'en est fallu de peu que ... bref donc la dimension sexuelle était présente 
. Mais pas de détails sur la dimension, c'est toujours barbant les gens qui racontent leurs parties non ? :lol:Pour moi le rôliste n'est pas toujours prêt à broder sur des sujets qui ne font pas avancer l'action (ce que certains appellent des scènes "gratuites" en littérature ou dans les films) Et bien souvent, le sexe... ben ça repousse un peu l'action centrale. En ce qui concerne un jeu de rôle Kushiel, franchement pas certaine (il me semblait avoir déjà répondu mais j'ai oublié) il y a pas mal de roleplay sur certains sites US et c'est adulte, assumé et décomplexé. Et aussi parfois très barré. Honnêtement j'aimerais assez en discuter une fois que tu auras lu les livres parce que cela va être compliqué sans spoiler un minimum. Pour ce qui est du sujet central de ce fil, j'espère que ceux qui liront Petites morts de Kloetzer auront envie d'en parler... nan rien
@ Zendoc (#731 et 736) : tu écoutes tous les podcasts la nuit ou c'est juste pour celui-là ? Et je te confirme pour la technique on est au point, maintenant qu'elle est ta note artistique ? @ Aglaranna : "du pur plaisir". C'est toujours notre objectif @ Eorlingas "trop court ... plaisir". Ben 2 h quand même Monsieur est ... exigeant @ Sambagnard : tout à fait l'esprit@ Cédric Ferrand : alors John Doe t'a répondu, oui c'est bien de commencer par le commencement et donc La Marque, c'est le mieux pour aborder l'un des univers de Carey. Cela dit je crois que certains ont carrément préféré sa vision des méchants dans la duologie The Sundering (non traduite) Pour ma part sa façon de concevoir les relations sexuelles et de placer les scènes charnelles correspond à ce que je considère comme le plus réussi en fantasy qui ne soit pas étiquetée "romance". Son choix est surtout de mettre en avant une société où la notion d'amour n'est pas entourée de tous les tabous judéo-chrétiens que nous connaissons (en tout cas beaucoup moins) et cela change le regard sur toutes les interactions, y compris sexuelles évidemment. Et pas d'accord avec toi sur la dimension sexuelle assumée dans un jdr parce que je vais peut-être t'étonner mais dans mes souvenirs de rôliste il y a le roleplay excellent d'un de mes camarades campant un personnage féminin en mode de séduction active et pas qu'avec les PNJ. Je jouais un perso masculin et il s'en est fallu de peu que ... bref donc la dimension sexuelle était présente . Mais pas de détails sur la dimension, c'est toujours barbant les gens qui racontent leurs parties non ? :lol:Pour moi le rôliste n'est pas toujours prêt à broder sur des sujets qui ne font pas avancer l'action (ce que certains appellent des scènes "gratuites" en littérature ou dans les films) Et bien souvent, le sexe... ben ça repousse un peu l'action centrale. En ce qui concerne un jeu de rôle Kushiel, franchement pas certaine (il me semblait avoir déjà répondu mais j'ai oublié) il y a pas mal de roleplay sur certains sites US et c'est adulte, assumé et décomplexé. Et aussi parfois très barré. Honnêtement j'aimerais assez en discuter une fois que tu auras lu les livres parce que cela va être compliqué sans spoiler un minimum. Pour ce qui est du sujet central de ce fil, j'espère que ceux qui liront Petites morts de Kloetzer auront envie d'en parler... nan rien 145
Ok, je termine ma relecture d'Ambre et j'attaque Kushiel pour me faire une idée.Et on en reparle dans le sujet dédié par la suite.Witch a écrit :@ Cédric Ferrand : alors John Doe t'a répondu, oui c'est bien de commencer par le commencement et donc La Marque, c'est le mieux pour aborder l'un des univers de Carey. Cela dit je crois que certains ont carrément préféré sa vision des méchants dans la duologie The Sundering (non traduite) Pour ma part sa façon de concevoir les relations sexuelles et de placer les scènes charnelles correspond à ce que je considère comme le plus réussi en fantasy qui ne soit pas étiquetée "romance". Son choix est surtout de mettre en avant une société où la notion d'amour n'est pas entourée de tous les tabous judéo-chrétiens que nous connaissons (en tout cas beaucoup moins) et cela change le regard sur toutes les interactions, y compris sexuelles évidemment.
C'est parce qu'il y avait comptabilité sexuelle hors jeu, si je comprends bien.Moi, hétéro, j'ai toujours eu du mal à me faire séduire par mes copains barbus.Mais j'avais le même problème en théâtre d'impro : même sur la patoche, j'avais du mal à me laisser aller à ce genre de jeu. Mes équipiers étaient capables de se rouler des galoches pour de rire et d'aller dans des histoires sentimentales lors des impros, et je restais systématiquement sur le banc de touche. Foutue éducation catho de scrougneugneuh.Witch a écrit :Et pas d'accord avec toi sur la dimension sexuelle assumée entre un jdr parce que je vais peut-être t'étonnée mais dans mes souvenirs de rôliste il y a le roleplay excellent d'un de mes camarades campant un personnage féminin en mode de séduction active et pas qu'avec les PNJ. Je jouais un perso masculin et il s'en est fallu de peu que ... bref donc la dimension sexuelle était présente
Ça dépend. Moi, une fois, avec mon Elfe niveau 7, eh ben... Non, c'est toujours chiant les évocations de partie, tu as raison.Witch a écrit :Mais pas de détails sur la dimension, c'est toujours barbant les gens qui racontent leurs parties non ?
Il faudrait que les enjeux passent aussi par le sexe et pas seulement par le combat ou la magie.C'est rarement le cas. Il existe peu de scénarios basés sur des querelles amoureuses. Pourtant, il me semble qu'un certain William Branlelance (pour ne citer que lui) a démontré que c'était un moteur narratif puissant.Sinon, j'ai écrit un JdR intitulé Soap : la Rediffusion (c'est gratuit) qui permet d'incarner un héros de soap opera. Les 3 caractéristiques sont Amour, Gloire et Beauté. Il y a du sesque dedans (enfin, non, c'est juste de la séduction, le sexe n'est jamais montré à l'écran dans ces productions). Mais tout l'intérêt du jeu réside dans les relations complexes entre les personnages. J'ai fait jouer de belles scènes de drame sentimentale entre Emiliano et Cindy. Bon, c'est parodique, mais ça permet de se focaliser sur la séduction.Witch a écrit :Pour moi le rôliste n'est pas toujours prêt à broder sur des sujets qui ne font pas avancer l'action (ce que certains appellent des scènes "gratuites" en littérature ou dans les films) Et bien souvent, le sexe... ben ça repousse un peu l'action centrale.
C'est noté. Rendez-vous est pris.Witch a écrit :En ce qui concerne un jeu de rôle Kushiel, franchement pas certaine (il me semblait avoir déjà répondu mais j'ai oublié) il y a pas mal de roleplay sur certains sites US et c'est adulte, assumé et décomplexé. Et aussi parfois très barré. Honnêtement j'aimerais assez en discuter une fois que tu auras lu les livres parce que cela va être compliqué sans spoiler un minimum.
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Je n’avais pas encore essayé les podcasts, et j’ai choisi le bon numéro pour commencer, que du plaisir (et pendant 2h qui plus est 
). J’ai bien ri (« Tu ne passeras pas !»). Pour en revenir à Carey, je trouve que sa principale réussite est de mettre en exergue le désir, libéré de tout carcan et de toute contrainte, dans la seule limite du consentement mutuel. Et ça va plus loin que les tabous judéo chrétiens, puisque la liberté possible en terre d’ange ne se retrouve nulle part ailleurs, que ce soit à en skaldie, a carthage, en ch’in, au bhaktipur etc…Seule compte l’attirance, sans que le sexe, la morale, l’origine, la situation sociale ou même l’amour ne viennent interférer. J’avais lu dans je ne sais plus quel sujet que certains lecteurs avaient trouvé des passages de kushiel difficiles à supporter ; je n’ai pas eu cette impression car quelle que soit la situation (ex Melisande et ses fléchettes), c’est le désir qui transparait (dans une moindre mesure à Darsanga également, sinon certains passages auraient été intolérables à lire). Effectivement Carey permet aussi à ses lecteurs d’avoir une vision plus juste du bdsm, avec tous ses codes, ses subtilités. Pour en revenir au sexe en général dans la fantasy, je trouve qu’il a toute sa place tant que ça s’intègre au récit et aux relations entre les protagonistes, qu’ils soient homo ou hetero. Et il est dommage qu’il soit mis de coté dans un certain nombre de livres, car ça enlève du relief aux personnages (ex dans l’Empire ultime). Voila pour terminer je ne sais plus qui a abordé le fait que les personnages féminins dans la Rdt sont cantonnés à leur rôle de femme, se languissant/s’énervant/s’inquietant pour leur compagnon tandis que ce dernier a un rôle dans l’Histoire mais je suis plutôt d’accord.Sur ce je m’en vais télécharger les précédents podcasts.
). J’ai bien ri (« Tu ne passeras pas !»). Pour en revenir à Carey, je trouve que sa principale réussite est de mettre en exergue le désir, libéré de tout carcan et de toute contrainte, dans la seule limite du consentement mutuel. Et ça va plus loin que les tabous judéo chrétiens, puisque la liberté possible en terre d’ange ne se retrouve nulle part ailleurs, que ce soit à en skaldie, a carthage, en ch’in, au bhaktipur etc…Seule compte l’attirance, sans que le sexe, la morale, l’origine, la situation sociale ou même l’amour ne viennent interférer. J’avais lu dans je ne sais plus quel sujet que certains lecteurs avaient trouvé des passages de kushiel difficiles à supporter ; je n’ai pas eu cette impression car quelle que soit la situation (ex Melisande et ses fléchettes), c’est le désir qui transparait (dans une moindre mesure à Darsanga également, sinon certains passages auraient été intolérables à lire). Effectivement Carey permet aussi à ses lecteurs d’avoir une vision plus juste du bdsm, avec tous ses codes, ses subtilités. Pour en revenir au sexe en général dans la fantasy, je trouve qu’il a toute sa place tant que ça s’intègre au récit et aux relations entre les protagonistes, qu’ils soient homo ou hetero. Et il est dommage qu’il soit mis de coté dans un certain nombre de livres, car ça enlève du relief aux personnages (ex dans l’Empire ultime). Voila pour terminer je ne sais plus qui a abordé le fait que les personnages féminins dans la Rdt sont cantonnés à leur rôle de femme, se languissant/s’énervant/s’inquietant pour leur compagnon tandis que ce dernier a un rôle dans l’Histoire mais je suis plutôt d’accord.Sur ce je m’en vais télécharger les précédents podcasts.148
" Voila pour terminer je ne sais plus qui a abordé le fait que les personnages féminins dans la Rdt sont cantonnés à leur rôle de femme, se languissant/s’énervant/s’inquietant pour leur compagnon "Je préférerai que tu abordes ce sujet dans les bons posts, on pourrait parler plus longuement de la lecture diagonale, subjective ou du puits à "moutons". En moins ironique, et car c'est pas le sujet, rarement lu plus erroné et plus faux.Ps: fin de l'aparté.
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Idem, ça résulte à mon sens d'une lecture superficielle.Pour revenir sur le sujet j'ai apprécié la partie du podcast sur Carey qui a su s'affranchir de nombreuses normes sociales en abordant librement la question du sexe et du désir. Les auteurs à avoir franchi le pas comme elle en fantasy sont cependant peu nombreux (Anne Rice avec les infortunes de la belle au bois dormant par exemple, voire Audrey français avec la trilogie de la chair, bien que les scènes charnelles soient plus maladroitement amenées par moment). Sera-t-elle une chef de file?led a écrit :" Voila pour terminer je ne sais plus qui a abordé le fait que les personnages féminins dans la Rdt sont cantonnés à leur rôle de femme, se languissant/s’énervant/s’inquietant pour leur compagnon "Je préférerai que tu abordes ce sujet dans les bons posts, on pourrait parler plus longuement de la lecture diagonale, subjective ou du puits à "moutons". En moins ironique, et car c'est pas le sujet, rarement lu plus erroné et plus faux.Ps: fin de l'aparté.
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Hey mais on en a parlé (moi aussi j'avais lu ton édito, me suis dit que quelqu'un te renseignait sur les sujetsJohn Doe a écrit :Ah, je vois que mon édito de la semaine dernière a été lu par au moins une personne...Anne Rice avec les infortunes de la belle au bois dormant
) Et moi j'ai vraiment pas aimé. C'est répétitif, pas très bien écrit je trouve et moins rigolo qu'un Hugues Douriaux par exemple (que je crois avoir oublié durant le pod du coup 
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Je n'ai pas adoré non plus la trilogie en-dehors de quelques passages mais le côté assumé de cette oeuvre par l'auteur m'a bien plu. Pour Hugues Douriaux on peut aussi en débattre car il y a de nombreuses scènes sexuelles mais qui sont bien moins décrites que dans Carey ou Rice. Et puis il y a un petit côté second degré dont je ne suis pas sûr qu'il était voulu par l'auteur...Witch a écrit :Hey mais on en a parlé (moi aussi j'avais lu ton édito, me suis dit que quelqu'un te renseignait sur les sujetsJohn Doe a écrit :Ah, je vois que mon édito de la semaine dernière a été lu par au moins une personne...Anne Rice avec les infortunes de la belle au bois dormant
