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Je voudrais revenir sur deux point qui m'ont fait bondir :- Pour Stéphane Marsan la critique dans la presse ne sert à rien. Toute exposition est bonne à prendre. Plus on parle de ses livres, plus il peut avoir de nouveaux lecteurs, que ce soit dans Le Monde ou ailleurs.- Stéphane Marsan n'aurait pas publié Neverwhere. Sauf que Neverwhere est considérée comme l'une oeuvre fondatrice de la fantasy urbaine.
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Journée d'écoute de podcasts Elbakin.net ce jour... celui-ci m'a captivé en ce sens que les 3 heures d'écoutes passent facilement.En effet Stéphane Marsan à une grande facilité pour s'exprimer et "raconter" son histoire (et celle de Bragelonne à travers lui). On sent à la fois le patron, le passionné de livres et l'aisance relationnelle d'un tisseur de réseau.Très intéressant et instructif de part les petites anecdotes qui ponctuent son argumentaire et ses réponses à vos questions (vous remettez une pièce dans la machine et elle repart pour une demi heure de récit
).Naturellement il est fortement dithyrambique sur ses choix d'éditeur qui sont succès. La chance et les chefs-d’œuvre semblent jalonner son parcours :lol:Mais ce que l'on retient c'est quelqu'un qui aime son métier et partage son histoire et celle de Bragelonne en toute "simplicité", avec un parler plutôt franc et que l'on sent "proche" dans sa manière d'en parler.Merci à vous pour l'avoir invité et merci à lui du temps qu'il a pris pour répondre pour notre plaisir.

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Avant de demander un changement qualitatif, peut-on demander à un éditeur d'aller au bout des cycles qu'ils lancent ?J'ai un peu peur pour la Roue du Temps, quand je constate la mésavanture des "Révélations de Riyria", où il ya beaucoup moins d'enjeu...Gillossen a écrit :Pour le coup, je suis d'accord avec Herbefol : si Brage publie moins de titres, c'est surtout parce que le "marché" le leur impose. Et sur ces 6 premiers mois, je n'ai pas franchement remarqué de changement qualitatif particulier dans leur catalogue.
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Suspense !en tout cas, j'ai fini de l'écouter hier. j'aurais bien aimé l'écouter en une seule fois mais en une dizaine, c'est bien aussi
!! en tout cas, Stéphane Marsan est un très bon orateur ! je n'ai pas vu passer les 3h de podcast et j'ai appris pas mal de choses. très intéressant ! merci à vous !

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Je ne sais pour quelle raison, Je n'ai découvert que relativement récemment les podcasts d'Elbakin !Je les ai tous écouté avec délectation !Ce n'était pas une surprise mais Stéphane Marsan est un orateur vraiment remarquable. Les 3h passent à une allure folle et on vit avec lui son histoire et celle de Bragelonne. J'ai en plus appris plein de choses sur la maison d'édition et sur le monde du livre en général.Vraiment passionnant, Stéphane Marsan m'emporte à chacune de ses anecdotes ainsi qu'à chacun de ses coups de cœur, chaque bouquin qu'il pitch, j'ai envie de le lire ! Pas pour rien que Brage sont excellents en comm' avec un directeur éditorial comme ça !
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Je crois qu'on est tous d'accord, Stéphane Marsan sait se raconter et défendre ses idées comme il faut. Le podcast va suffisamment loin dans la connaissance du monde de l'édition sans pour autant abreuver l'invité de questions ; j'aurais bien aimé, en plus, un petit point sur la politique de Bragelonne sur la multiplication des ouvrages cartonnés (les cas des livres de Patrick Rothfuss sont notables et j'ai peur pour le tome 3 des Salauds Gentilshommes) ou gadgétisés (ex: mois du cuivre) et la hausse très sensible des prix en conséquence. C'est une partie importante pour nos porte-monnaie comme pour l'harmonisation de nos bibliothèques. :-)