Re: Et Asimov, b****l ?!?
Posté : jeu. 4 avr. 2024 09:51
Et voilà la fin du tome 5 ! J'ai été très surpris de le trouver aussi dense - notamment par rapport aux autres. J'ai aussi trouvé qu'Asimov prenait également plus le temps de poser le décor avec de longues descriptions.
Par curiosité je suis allé voir la construction du Cycle des Robots et ai vu la date de parution. Ceci explique cela.
Les dialogues sont toujours aussi présents mais j'ai trouvé que l'auteur trouvait des ficelles un peu trop "grosses" pour répondre à ses questionnements. Il y avait moins de finesse dans l'approche. La plume aide beaucoup à faire passer ce petit défaut car c'est toujours aussi croustillant.
Je comprends beaucoup mieux l'importance du cycle des Robots dans l'oeuvre globale de l'auteur - notamment Fondation. Le Dr Fastolfe aborde pour la première fois le terme de la psycho-histoire et bien que cela semble n'être qu'un balbutiement, on en comprend l'intérêt en voyant la "guerre d'opinion" qui se dessine entre Fastolfe et Amadiro.
C'est encore plus intéressant à la lecture du chapitre final. Tout prend sens.
Je me répète encore et encore mais ce tome démontre une fois de plus le côté visionnaire d'Asimov - notamment sur la société humaine. Par le prisme de la Terre, d'Aurora et de Solaria; j'ai vraiment le sentiment de retrouver certains modes de vie actuels. Alors le tome est plus contemporain que les précédents mais tout de même...
Vu le final, vu la notion abordée de Psycho-histoire... Le titre du dernier tome "Les robots et l'Empire" est assez évocateur sur le contenu de celui-ci. J'ai très hâte de m'y plonger.
Par curiosité je suis allé voir la construction du Cycle des Robots et ai vu la date de parution. Ceci explique cela.
Les dialogues sont toujours aussi présents mais j'ai trouvé que l'auteur trouvait des ficelles un peu trop "grosses" pour répondre à ses questionnements. Il y avait moins de finesse dans l'approche. La plume aide beaucoup à faire passer ce petit défaut car c'est toujours aussi croustillant.
Je comprends beaucoup mieux l'importance du cycle des Robots dans l'oeuvre globale de l'auteur - notamment Fondation. Le Dr Fastolfe aborde pour la première fois le terme de la psycho-histoire et bien que cela semble n'être qu'un balbutiement, on en comprend l'intérêt en voyant la "guerre d'opinion" qui se dessine entre Fastolfe et Amadiro.
C'est encore plus intéressant à la lecture du chapitre final. Tout prend sens.
Je me répète encore et encore mais ce tome démontre une fois de plus le côté visionnaire d'Asimov - notamment sur la société humaine. Par le prisme de la Terre, d'Aurora et de Solaria; j'ai vraiment le sentiment de retrouver certains modes de vie actuels. Alors le tome est plus contemporain que les précédents mais tout de même...
Vu le final, vu la notion abordée de Psycho-histoire... Le titre du dernier tome "Les robots et l'Empire" est assez évocateur sur le contenu de celui-ci. J'ai très hâte de m'y plonger.