Verdict : il faut continuer sur cette lancée.Ce prélude m'a laissé une très bonne impression. C'est rythmé, on n'a pas le temps de s'ennuyer, vous avez réussi à accrocher l'attention du lecteur en moins de 4 pages (et çà c'est vraiment important). Ce n'est qu'un prélude mais en tout cas ça donne envie de lire la suite. Et le fait de revenir sur la jeunesse du Doyen (un peu paradoxal ce que je dis) dans une ambiance vampirienne est très sympa.Dans les messages précédents, il est dit qu'il y a quelques maladresses et j'en ai effectivement relevé quelques unes. J'ai tenu à les souligner pour vous aider dans la poursuite de votre carrière d'écrivain à 4 mains.
![Sourire :)](./images/smilies/smile.png)
« Ce sang…tout ce sang…ce n’est pas possible…n’es-tu doncpas humain ? »— Oh si, bien plus que tu ne l’as jamais été ; c’est mêmecomme cela que j’ai eu l’idée de dissimuler un piège à ours avecl’odeur de mon propre sang ; un piège hors de portée d’un animaltel que toi.— Animal ? Pauvre fou, nous sommes les princes de la nuit,nous sommes immortels !— Alors, tu n’as aucune crainte à avoir…. Tu étais déjà mort,depuis bien trop longtemps pour faire un bon vivant…in nominePatris, et Filio, et Spiritu Sancto » murmura-t-il en répandantquelques gouttes d’eau bénite sur la dépouille qui se désagrégeaitsous ses yeux mi-clos.
On ne comprend pas très bien comment le vampire se fait tuer. Il aurait peut-être fallu décrire plus en détail ce passage.
Ainsi, les semaines passèrent dans l’étude de documents, decartes, de chartes, de blasons, dans des langues parfois auxconfins de l’oubli, tandis que Van Helsing avait obtenu que soncollègue soit confié à la médecine tant du corps que de l’esprit.
collègue = Stocker ? On le devine par la suite mais il vaut mieux le préciser dès le début de la phrase car la référence précédente à Stocker remonte assez loin dans le texte (non cité ici).
Et Van Helsing se figea en voyant que cet homme portait lamême marque au cou que Stocker ! A ceci prêt que cette fois-ci,l’homme paraissait de cire, la peau du visage et du cou (on nepouvait guère en voir plus à cause de son manteau d’hiver) étaitaussi tirée que peut l’être celle d’un tambour avant de se déchirer,et sa blessure ne saignait même pas…Délaissant le cadavre et la femme hystérique qui hurlait deplus belle au soin des voisins accourus entre-temps, il scruta lesalentours avec l’horreur de ce qu’il pressentait dans l’œil:...
le cadavre de la femme [...] qui hurlait : une morte peut-elle hurler ?Qui délaisse le cadavre ? L'homme à la peau de cire ou Van Helsing ?Le lecteur a tendance à rapporter le pronom "il" au dernier personnage cité (donc ici l'homme à la peau de cire) qu'à Van Helsing.En fait ce ne sont pas vraiment des maladresses d'un point de vue de la syntaxe mais plutôt des phrases qui prêtent à confusion.Voilà voilà en espérant que ces critiques vous seront utiles.Bonne continuation.
![Surprise :o](./images/smilies/ohmy.png)